Steven Gunnell confond son film sur Jésus avec Jésus lui-même


 

Le mec est et a l’air taré. Il se gratte de partout, il est bourré de tics, il n’est pas en paix (malgré la fausse décontraction et la fausse foi affichées). Il aligne les connecteurs linguistiques bobos (« tac », « les gars », etc. Manque plus que le « allez, aur’vouère! » final…). Il fait tout comme les protestants (même le tirage de cartes « Jacques a dit/Jésus te dit »). Et il porte la Marque de la Bête (la « ride du lion ») sur le front. #SingularityIsDevil. Il prend son film sur Jésus pour Jésus en personne : le transfert pathologique. J’espère que Steven Gunnell (Steven Tunnel, comme le surnomme mon frère haha! #MonFrèreEstUnGénie) sera présent en « guest star » surprise au futur Congrès Mission (le rassemblement des marchands du Temple de l’Église) dans 8 jours… comme ça, la coupe sera pleine pour les participants (qui auront – je compatis pour eux – à supporter l’insupportable : le concert de Glorious). Ô que l’Église catholique en France pète la forme en ce moment !
 

 
 

N.B. : Deux autres articles dans le même thème : article 1 ; article 2 (sur « Roi des rois »).

La rétrogradation

Je sors de ma première réunion collective RSA à Saint-Denis. J’étais entouré d’une vingtaine de personnes. Sans mentir : le Quart-Monde. Et moi, bardé de diplômes et de talents, parmi eux. N’arrivant pas à trouver de travail. À cause de mes idées et valeurs. À cause de ma Foi. À cause de la doxa gay friendly (homophobe, en réalité) et de la trahison des catholiques. Quel gâchis et quelle absurdité…

Retour sur scène

Je vais très probablement fouler à nouveau les planches d’une scène de théâtre et être l’un des protagonistes principaux d’une pièce. Après des années d’absence (la dernière fois, c’était il y a plus de 10 ans, au théâtre Le Bout à Paris : ça date ).
 

C’est fou, la vie ! Je suis très excité. Ça a toujours été là ma place. Et je me sens beaucoup plus mûr et en confiance qu’à l’époque. Beaucoup plus légitime. Avant, je me regardais trop jouer, je n’étais ni en phase avec les textes que je devais interpréter ni en phase avec moi-même; je n’excellais qu’à la mise en scène. Désormais, je pense avoir grandi, et être capable aujourd’hui d’incarner un personnage, et, plus que ça encore, de « tout défoncer »!

Les hommes homos qui ont fait n’importe quoi de leur sperme, et qui se sont fait voler leur(s) enfant(s)

Réalité invisible et dont personne ne parlera (sous peine de subir, comme moi, une kabbale pour « homophobie intériorisée », parce que je dénonce de réelles injustices et souffrances).
 

Je connais des gars homos, aujourd’hui quinquas, apparemment adorables et romantiques, qui ont sexuellement fait n’importe quoi de leur vie, et se sont fait avoir sur toute la ligne par les femmes (supposément « amies ») ou les couples de lesbiennes de leur entourage, en se faisant voler leur sperme puis leurs enfants (à jamais!) par des femmes égoïstes. Et le pire, c’est que malgré l’arnaque, malgré le fait qu’ils aient pratiqué ce que le mariage gay a fini par autoriser bien après, et en souffrent aujourd’hui, ils trouvent le moyen d’idéaliser et de défendre le mariage gay, ces couillons! Les bras m’en tombent. Ils n’ont aucune conscience ! Ce sont des gros bébés immatures.
 

Exemple : avant-hier, je rencontre un gars. Il a 51 ans. Il a, par don « amical » de son sperme, permis à sa meilleure amie d’avoir une fille (qui a maintenant 14 ans), et à un couple de lesbiennes d’avoir un fils (qui en a maintenant 13). Concernant la soi-disant « meilleure amie » – une amitié vieille de 25 ans! – une fois que leur enfant est née, et que la mère a obtenu ce qu’elle voulait (en gros, elle lui a fait un bébé dans le dos), elle a totalement tourné le dos à son « meilleur ami gay » et il n’a même plus accès à sa fille. Terrible trahison! Dans ses premières années, il écrivait de temps en temps aux anniversaires. Mais, de guerre lasse, il a jeté l’éponge, voyant l’indifférence de la mère puis de la fille. Le « père » gay a été tout bonnement rayé de la carte! Quant au projet de co-parentalité (ou plutôt, ici, devrais-je parler de « co-procréation ») avec le couple lesbien, j’ai bien compris, aux dires de cet homme, qui n’a aucun contact avec les deux femmes voleuses, qu’elles se sont comportées avec lui de manière odieuse et l’ont laissé sur le carreau, ne lui permettant pas de revoir « son/leur » fils.
 

Voilà. C’est ça, la réalité sexuelle et familiale de certains hommes homos d’aujourd’hui. Apparemment célibataires. Parfois même cathos! Et qui ont à la fois exploité des femmes et ont été exploités par elles. Et ce n’est absolument pas un cas isolé. J’en connais d’autres ! Le vol d’enfants ou trafic d’enfants dans le milieu gay est monnaie courante. Les parricides – symboliques ou réels – opérés par des femmes profiteuses (« filles à pédés » mères célibataires voire lesbiennes) aussi. Et ils sont la plupart du temps invisibles. Soit parce qu’ils sont la résultante de petits arrangements « amicaux » éphémères entre adultes idéologisés qui ne signent entre eux que des pactes sans contrat légal et sans argent, soit parce que les géniteurs égoïstes ferment leur gueule (par honte, par dépit, par intérêt, ou par souffrance).
 

Ce qui est sûr , c’est que ça doit être horrible d’avoir des gamins disséminés dans la Nature (le mec dont je vous parlais me disait que physiquement, son fils était sa copine conforme. En revanche, sa fille ressemble à sa mère… donc il a encore moins d’atomes crochus avec elle, et moins de velléités de la revoir) et avec qui tu n’as aucun lien, et eux aucun désir de te voir ni de te connaître!