La France en guerre en 2030?


 

L’épisode 50 du podcast SINGULARITY IS DEVIL arrivera probablement jeudi prochain, le 27 novembre.
 

En lien avec ça, je vous transmets cette vidéo qu’une amie m’a envoyée à l’instant, à propos d’une menace de guerre pour 2030 brandie il y a dix jours, dans le cadre très officiel de l’Armistice (le 11 novembre).

 

Faut-il y croire et la prendre au sérieux ? À mon avis, oui et non.

 

Non, parce que la Russie n’a pas l’étoffe ni les troupes pour s’engager dans une guerre de grande ampleur.

Non, parce que Jésus nous a prévenus qu’il ne fallait pas croire toute rumeur ou menace de guerre, car c’est rentrer dans le jeu du démon. « Vous allez entendre parler de guerres et de rumeurs de guerre. Faites attention ! ne vous laissez pas effrayer, car il faut que cela arrive. » (Mt 24, 6)

 

Oui, parce que des instances supérieures (la Gouvernance antéchristique mondiale, en l’occurrence) autres que les nations nommées et impliquées dans ces scénari de guerre, sont quand même à la manœuvre, et peuvent créer des conflits réels terribles au motif de les éviter.

 

Dans « Singularity is Devil » justement, j’ai placé l’éclatement de la Troisième Guerre mondiale pour 2028 (avec l’invasion de la Pologne par la Russie) ; et 2029 pour la bombe nucléaire en Iran…

 

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Jésus ne veut pas que vous fassiez de lui votre roi

Le problème de ces fous de Dieu (Cardinal Sarah, Mel Gibson, Steven Gunnell, Éric Zemmour, les cathos tradis, et même le « pape » actuel) qui veulent faire de Jésus leur roi, c’est qu’ils n’ont pas capté que lui ne veut pas du tout de cette royauté et de ce titre : « Jésus savait qu’ils allaient venir l’enlever pour faire de lui leur roi ; alors de nouveau il se retira dans la montagne, lui seul. » Jn 6, 15)
 

N.B. : À l’instant, le tweet de ce taré de Mel Gibson.
 

 

Les souverainistes « patriotes » polonais utilisent Jésus pour défendre leur nationalisme


 

N.B. : Je vous renvoie à ma critique du dessin-animé « Roi des rois », sorti au cinéma.

Le mystère « Pauline Réage » enfin dévoilé !


 

Pour la « petite » histoire (qui finit par être une grande !), la comédienne qui joue brillamment le personnage de l’adolescente Lilou dans mon podcast Singularity is Devil, a changé de nom et m’a demandé de se faire appeler « Pauline Réage » afin de me permettre in extremis d’utiliser quand même sa voix.
 

Au départ, et très naïvement, j’ai cru qu’elle avait tiré ce pseudonyme de son chapeau, surtout en réaction sanguine et animale de défense… car elle a pris peur de ma réputation internétique catastrophique, et a failli se retirer intégralement du projet. Elle a gentiment accepté de rester malgré tout dans le podcast à la condition que je modifie sa voix, en plus de ne pas dévoiler son vrai nom. Sur le coup, je m’étais dit : « Pauline Réage… RÉAGIT! Logique! C’est son mode de défense et de résistance. Elle sort les griffes, pour finalement se laisser quand même apprivoiser. »
 

Mais sa couverture s’est révélée plus subtile, érudite, inventive, sulfureuse, que je ne l’avais soupçonné. Pauline Réage est – je ne l’ai découvert qu’avant-hier – un nom d’emprunt ! Donc il constitue un choix politique autant qu’artistique. Et historique.
 

De surcroît, et à son insu, cette comédienne est un génie, car elle a choisi (très certainement sans le faire exprès) un pseudonyme indirectement lié à la singularité en tant que duplicité hybride résistante : Pauline Réage est en effet le masque que l’auteure d’Histoire d’O, roman érotique à scandale de 1954, a choisi pour passer inaperçue. Et la singularité m’a conduit à Pauline Réage ! C’est en écoutant le psychanalyste et philosophe Pierre Bayard, auteur du livre Je sommes plusieurs (2025) sur les personnalités multiples et la singularité, raconter sa rencontre impromptue avec Dominique Aury (alias « Pauline Réage » ), que j’ai ouvert les yeux !
 

Sacrée Lilou !
 

Et je citerai pour finir Dominique Aury, à la page 108 de Je sommes plusieurs, parler de son autre-elle-même (Pauline Réage), par rapport à Histoire d’O : « C’est le livre d’une inconnue dont je suis stupéfaite à la limite qu’elle ait été moi. »

Ces non-cathos qui se croient « plus cathos que les cathos »

Très intéressante, cette poussée de catholicisme, cette récupération actuelle de Jésus, cette revendication de l’« identité », de la « civilisation » ou des « racines » chrétiennes, par ces non-cathos qui soudain se croient sincèrement « plus cathos que les cathos » ! (je rappelle que Zemmour est d’éducation juive mais pas juif pratiquant, qu’il se dit athée, qu’il a quitté sa femme pour se mettre avec une petite jeune, et qu’il n’a que mépris pour saint Paul, le concile Vatican II, et l’ensemble des catholiques ordinaires qu’il juge « trop mous, trop gentils et trop protestantisés » : j’ai déjeuné avec lui et je l’ai entendu de mes propres oreilles). C’est exactement la Christomania mondiale (les Rameaux nouvelle formule) et le retour de Barabbas et des zélotes millénaristes christocentrés qui veulent faire de Jésus un roi (contre l’avis de ce dernier : « Jésus savait qu’ils allaient venir l’enlever pour faire de lui leur roi ; alors de nouveau il se retira dans la montagne, lui seul. » Jn 6, 15), que je vous avais annoncés. Bienvenue dans la Fin des Temps !
 

 

Il nous faut vraiment méditer sur la figure ambiguë des zélotes. Par exemple, comprendre que Barabbas, loin d’être un simple agitateur patriote qui n’avait rien à voir avec Jésus, a voulu au contraire représenter et incarner politiquement Jésus mieux que ce dernier : il voulait « juste » faire du Christ une force politique et de contre-pouvoir face à l’occupant romain, et même face à l’occupant juif. Cela est très clair dans l’excellent film « Jésus » de Zeffirelli. Autre exemple : il nous faut comprendre que Judas, plus subtilement et moins rentre-dedans que Barabbas, a essayé d’épater le Sanhédrin juif et de faire valider cléricalement la divinité de Jésus (pour le faire roi) par des voies « canoniques » officielles. C’est là sa principale trahison. Barabbas est politiquement ce que Judas a été religieusement : les tenants d’un millénarisme régalien. Et pour revenir aux délires mystiques sincères de Zemmour, il ressemble au zèle du terroriste saoudien de l’attentat du marché de Noël de Magdebourg, Taleb Jawad Al-Abdulmohsen, en 2024, qui s’est cru plus allemand et plus catholique que les catholiques allemands, et qui prétendait désislamiser l’Allemagne… alors qu’il est psychiatre, étranger et musulman !

Les corrections de prières universelles


 

Aujourd’hui, à la messe à Saint Roch, j’étais à nouveau préposé à la lecture de la prière universelle. Le curé aime bien quand je lis, et surtout, me dit-il, « quand j’mprovise et mets ma touche personnelle ». Et effectivement, il m’arrive de retoucher des choses, de corriger, d’enlever (toutes les mentions au « Bien commun », par exemple. Le Bien n’a rien de « commun », il est extraordinaire! non mais !… Ou bien les prières de conversion orientées vers les autres et non pas vers soi: une hérésie ! On ne prie pas Dieu pour que les autres changent mais pour que soi change d’abord!). Il m’arrive de rajouter des choses aussi.
 

Et là, pour la 3e intention de la P.U., j’ai supprimé la mention des « familles homoparentales » (ça n’existe pas, l’homoparentalité, ou bien les « familles homoparentales »: le couple homo n’est par nature pas procréatif, donc ce n’est ni un mariage ni une famille. Il peut, dans le meilleur des cas, être une structure affectivo-éducative où s’exerce une paternité adoptive et éducationnelle symbolique positive et féconde, ça ok, mais en aucun cas il ne constitue une structure procréative, donc une « famille ». Il faut arrêter de nous mentir ! Même pour notre bien. Aimez-nous, parlez de nous les homos, mais pas comme ça !). Et j’ai remplacé aussi la mention des « familles monoparentales » par « les parents qui élèvent seuls leur enfant » (Là encore, la « monoparentalité », c’est un mythe, une légende contemporaine, une aberration. « Elle a fait ou il a fait un bébé tout-e seul-e », ça n’existe que dans les chansons de Goldman!). Ce n’est pas nous rendre service ni nous aimer en vérité que de nous décerner des titres ou des noms qui ne correspondent pas à notre réalité. Wake up! On se réveille les bobos gay friendly !

Steven Gunnell confond son film sur Jésus avec Jésus lui-même


 

Le mec est et a l’air taré. Il se gratte de partout, il est bourré de tics, il n’est pas en paix (malgré la fausse décontraction et la fausse foi affichées). Il aligne les connecteurs linguistiques bobos (« tac », « les gars », etc. Manque plus que le « allez, aur’vouère! » final…). Il fait tout comme les protestants (même le tirage de cartes « Jacques a dit/Jésus te dit »). Et il porte la Marque de la Bête (la « ride du lion ») sur le front. #SingularityIsDevil. Il prend son film sur Jésus pour Jésus en personne : le transfert pathologique. J’espère que Steven Gunnell (Steven Tunnel, comme le surnomme mon frère haha! #MonFrèreEstUnGénie) sera présent en « guest star » surprise au futur Congrès Mission (le rassemblement des marchands du Temple de l’Église) dans 8 jours… comme ça, la coupe sera pleine pour les participants (qui auront – je compatis pour eux – à supporter l’insupportable : le concert de Glorious). Ô que l’Église catholique en France pète la forme en ce moment !
 

 
 

N.B. : Deux autres articles dans le même thème : article 1 ; article 2 (sur « Roi des rois »).

La rétrogradation

Je sors de ma première réunion collective RSA à Saint-Denis. J’étais entouré d’une vingtaine de personnes. Sans mentir : le Quart-Monde. Et moi, bardé de diplômes et de talents, parmi eux. N’arrivant pas à trouver de travail. À cause de mes idées et valeurs. À cause de ma Foi. À cause de la doxa gay friendly (homophobe, en réalité) et de la trahison des catholiques. Quel gâchis et quelle absurdité…