Archives de catégorie : Je l’ai dit

Les Français sont extras : ils sont difficiles à convaincre par rapport au vaccin anti-COVID


 
 
 
 
 
 

En fait, je nous trouve, nous Français, absolument extras et exceptionnels. Vraiment. Alors que toutes les grandes puissances économiques commencent à dire massivement « oui » au vaccin anti-COVID (en particulier l’Inde où le taux de confiance est de 87 % ; en Australie, c’est 79 %), les seuls réfractaires et durs à convaincre (et heureusement!), ce sont les Français (avec 54 % de la population d’accord avec la vaccination).
 
 
 
 
 

Et le durcissement de la vaccination se voit notamment à travers le secteurs aérien : par exemple, la compagnie aérienne australienne Qantas impose désormais à ses voyageurs d’être vaccinés pour embarquer. L’étau se resserre. Mais je vais essayer prochainement d’écrire un article sur les bonnes raisons de refuser ce vaccin.
 
 

N.B. : On va devoir rentrer en résistance +++. Il faut informer les gens sur les dangers de la vaccination, notamment en s’appuyant sur les loupés et les dangers du vaccin anti-H1N1.

La présidente du Chili, Madame Bachelet, défend ouvertement la Franc-Maçonnerie


 

 

La présidente du Chili, Madame Bachelet (je précise qu’elle a imposé le « mariage » gay à son pays de manière totalement anti-démocratique), texto : « Nous avons besoin des principes francs-maçons, de nous unir en une seule Humanité, puisque c’est cela que nous sommes. » C’est dingue. Les Francs-maçons ne se cachent même plus. Ils jouent – c’est le cas de le dire – franc jeu !

S’il y a bien un truc qui ne passe pas avec moi c’est le mensonge


 

S’il y a bien un truc qui ne passe pas avec moi, c’est le mensonge.
 

Je viens de perdre à l’instant celle que je croyais une « amie » parce qu’elle s’est mise à soutenir mordicus face à moi ce mensonge évident (orchestré par la chaîne ARTE, avec son documentaire « Petite Fille » de Sébastien Lifshitz, racontant l’histoire d’un petit garçon transgenre – donc qui se sent fille mais qui n’en est pas moins né garçon – que son entourage conforte dans ses fantasmes d’être de l’autre genre sexué que le sien) qu’un petit garçon qui se sent fille devient une fille et n’est plus un garçon. WTF ? Et je précise que cette « amie » a toutes ses neurones.
 

Et comme je l’ai mise devant son mensonge éhonté, elle a sorti la carte hypocrite de la victimisation : elle a retiré mes commentaires dénonçant ce reportage fallacieux qu’elle promouvait comme une « grande oeuvre cinématographique », sous prétexte qu’ils « heurteraient ses amis trans qui tomberaient dessus » et qu’elle « voulait les protéger ». Je lui ai répondu – ce qui vrai en plus – que 1) je connaissais largement plus de personnes transgenres et transsexuelles qu’elle (et donc qu’elle n’avait pas plus le droit que moi de parler en leur nom) ; et que 2) ce n’est pas en cachant à ses ami(e)s trans la vérité et en les confortant dans leurs mensonges et souffrances qu’elle allait les aider vraiment et les « protéger ». Tout le contraire! Surtout quand on sait toutes les souffrances que ces personnes endurent, largement plus à cause des mensonges des « gays friendly » qu’à cause des vérités qui leur sont cachées.
 

Il y a quelques mois, j’ai fait la rencontre réelle d’un gars qui – je vous jure que c’est vrai – m’a avoué qu’il avait été abandonné à la naissance dans une cage d’escaliers, enveloppé dans un sac poubelle !! Et ces menteurs de « gay ou trans friendly » vont avoir le culot de te sortir que le seul et unique problème de ces personnes, c’est « le regard des autres », c’est l’ « opposition au mariage gay » ou à l’ « hormonisation des mômes ». Ils se foutent de la gueule de qui??

La question sur laquelle tout le monde sèche par rapport à l’homosexualité

La question fondamentale sur laquelle se cristallisent toutes les incompréhensions, les tensions et les impuissances par rapport à l’homosexualité, et que j’entends de la part de certaines personnes croyantes en couple homo (fidèle et respectueux) qui viennent vers moi en toute honnêteté et paix, c’est celle-ci : « Qu’est-ce qu’on fait de mal ? » ou « À qui fais-je du tort ? ». Et un jour, quand j’aurai le temps, après mon documentaire et après mon « Dictionnaire des Codes Apos » (avec pour base Joséphine ange gardien), j’aimerais beaucoup écrire un livre avec pour titre « Couple homo : qu’est-ce qu’on fait de mal? ». C’est sur cette question que même les personnes d’Église sèchent. Et pourtant, elle est cruciale. Et chercher à y répondre, en plus de décrire ce qu’est le péché et ce qui ne l’est pas, permettra à bien des personnes de comprendre l’Église, à bien des catholiques d’aimer les personnes homosexuelles, et à bien des personnes homosexuelles de résoudre leur problème et d’être heureuses. Tant qu’on n’y répond pas, on fait les choses par devoir, par superstition, et on se rend malheureux.

Pensées secrètes de table

Ce midi, à table, face à mon père avec qui j’échangeais des banalités (pour une fois !), je pensais dans ma tête (mais évidemment, je me suis gardé de lancer le débat haha) : « Le monde se divise grosso modo en 2 camps : ceux qui baisent et ceux qui ne baisent pas. Ou bien, ceux qui considèrent qu’ils peuvent s’en passer et ceux qui considèrent que baiser c’est vital, obligatoire, et que c’est même dangereux de vivre sans. » Cette division n’est pas nouvelle. Elle existe depuis la nuit des temps. En revanche, ce qui est nouveau, c’est qu’aujourd’hui, ces deux camps ne se respectent plus.

« Parlez-vous catholique ? » (ce n’est pas de moi)


 

Mdr! C’est excellent. Bon, il y a juste pour « La prochaine fois je te défonce = Je te le dis dans un esprit de correction fraternelle », j’aurais plutôt choisi la version plus concise et très Communauté de l’Emmanuel « Je te le dis en toute amitié » 😂. Et puis j’aurais rajouté : « Je te déteste mais je le cache mal = Je prierai pour toi ». Ou bien encore « C’est génial = C’est canon ! » (ça, c’est pour les bourgeoises versaillaises), et bien sûr le « Je t’impose mon avis » = « Jésus te dit que… » ou « C’est la volonté de Dieu » ou « Jésus te demande de… » ou « J’ai dans le coeur une image… » (et des « vraiment » automatiques plusieurs fois par phrase). Sinon, le reste est vraiment bien vu. Le « tiré du sac », c’est tellement ça !

Les prêtres sont à poil


 

Dieu que c’est beau (j’en pleurais de joie hier soir) et tragique à la fois, cette grâce que Jésus me fait de recevoir les confidences des hommes de Dieu que sont les prêtres ! Ça fait un moment qu’ils me parlent spontanément et longuement, que je suis le témoin du courage (j’ose parler de sainteté) mais aussi de l’extrême isolement et désarroi de certains d’entre eux : ceux – très rares – qu’on pourrait appeler les « prêtres justes », qui ne sont pas carriéristes ni étroits d’esprit, qui aiment vraiment les gens et Jésus, et qui sont des esprits brillants du point de vue psychologique, relationnel, humoristique. Ils m’appellent au téléphone pour me décrire la violence des frondes injustes et parfois d’une violence psychologique inouïe dont ils sont l’objet (calomnie, diffamation, jalousies, enquête pour suspicion – qui se révèlera infondée – de pédophilie, etc.).
 

Ils ont très peu de personnes autour d’eux à qui parler, de qui ils peuvent être compris et qui peuvent les conseiller. Et je me rends compte, en les entendant, combien, à part l’armure invisible de la Grâce divine (ce qui n’est déjà pas mal !), ils n’ont quasiment aucune protection. Aucun garde-fou. Peu de vrais amis. Ils sont presque à poil ! En ce moment, ils ne sont quasiment pas soutenus par leur hiérarchie (gangrénée par la lâcheté, le goût du paraître et du pouvoir, la peur d’ « y passer » elle aussi), par leurs camarades prêtres, par leurs fidèles (déconnectés de leur intimité et de la réalité des combats qu’ils mènent) et par les institutions humaines (polices, thérapeutes, médias…).
 

Le cas de l’ami dont je vous parle est très parlant. Accusé à tort de pédophilie par un de ses collègues prêtres, puis par d’autres de ses ennemis, l’enquête l’a finalement blanchi. Mais malgré son innocence, il ressort meurtri de tout ça, et a mis plusieurs mois à pouvoir en parler, à se relever. Et le pire, c’est que son évêque et même les flics lui ont demandé d’étouffer l’affaire (comme si rien ne s’était passé), de ne pas porter plainte contre ses accusateurs et de ne pas se défendre, car la médiatisation de la présomption de pédophilie sacerdotale « le desservirait » et « le rendrait aux yeux du Monde coupable », bien que dans les faits il soit innocent. En gros, c’est le pouvoir de l’image et de la peur. Justice n’est pas faite, et le juste doit fermer sa gueule, encaisser. Le non-lieu est imposé, sans même que ceux qui ont créé ce faux scandale ne soient inquiétés.
 

Que signifie ce cas (qui à mon avis n’est pas isolé) ? Qu’aujourd’hui, un prêtre attaqué (judiciairement, médiatiquement) ne peut pas se défendre, et que même quand il est innocent, il doit laisser ses accusateurs (bien souvent des gens pédophiles ou pervers, pour le coup!) courir dans la nature. S’il ne se défend pas, il se fait bouffer et emprisonner. S’il veut se défendre et mettre ses calomniateurs hors d’état de nuire, son évêque prend peur, et même les forces de l’ordre lui imposent « par prudence » l’impunité des réels fautifs, le silence. Et ça, c’est pour le cas où le prêtre n’est vraiment pas du tout accusable. Je n’ose même pas imaginer le traitement du clerc qui s’est rendu un peu complice du délit dont on l’accuse (Là, il sera mis encore plus bas que terre !).
 

Cette absence quasi totale de protection autour des prêtres justes, en plus d’évoquer la nudité de Jésus juste avant la flagellation, me fait froid dans le dos. Bien que solides psychologiquement et forts (renforcés, à n’en point douter, par la Grâce divine et les Béatitudes énoncées par leur maître Jésus – surtout celles concernant les persécutions), je trouve que les prêtres aujourd’hui sont particulièrement nus, fragilisés et peu soutenus. Ils ont très peu de recours. Nous, petits laïcs, sommes à des lieues d’imaginer ce qu’ils endurent, les machinations qui se trament autour d’eux et qui en ont détruits beaucoup. Car toutes ces attaques sont bien sûr invisibles, sourdes, s’opèrent par derrière, et avec la complicité d’une grande majorité du clergé actuel. Dans ce cas précis des attaques contre le prêtre juste, il n’y a pas un mais deux camps ennemis qui lui tirent dessus : le camp de ses attaquants clairement hostiles, et le camp de ses soi-disant « amis » qui ont peur. Je suis, comme diraient les jeunes, « choqué ».

Mesure-t-on le courage de la Vierge Marie ?


 

Mesure-t-on le courage de la Vierge Marie ? Peut-on seulement avoir idée de ce qu’impliquait son « Fiat » (son « Oui » d’accueillir en elle l’enfant Jésus, Dieu en personne, et de devenir la Theotokos – la « Mère de Dieu ») ? Plus qu’un « Oui » gentillet ou d’ignorance ou d’étonnement ou d’obéissance béate, comme on nous le présente si souvent, Marie a signé son déshonneur, sa honte, son exclusion sociale, et carrément son arrêt de mort ! Car à l’époque, les femmes étant identifiées comme « adultères », c’est-à-dire enceintes illégitimement, étaient non seulement répudiées, marginalisées et stigmatisées civilement, mais aussi carrément lapidées et mises à mort !
 

L’épisode de l’Annonciation (l’annonce de l’Ange Gabriel à Marie) a été, au fil des années, édulcoré et dédramatisé, dépouillé de sa charge tragique et fatale. On a peu à peu retiré à Marie son mérite et sa croix (la croix de la présomption d’adultère qui, pour beaucoup de gens du temps de Jésus, aurait mérité la condamnation à mort). La Vierge Marie a dû vivre toute sa vie avec l’étiquette de « la catin », de « la menteuse », de « la folle », de « l’orgueilleuse », de « l’hypocrite », de « celle qui a fait un bébé toute seule » ou qui « a cocufié Joseph ». Elle a dû endurer toute la haine que véhicule et porte la virginité : cette virginité/perfection/pureté déchaîne – on le voit bien aujourd’hui – les jalousies, la dérision, les sarcasmes, l’incompréhension, la suspicion, la persécution et même les souhaits de meurtre !
 

Voilà pourquoi son « Oui » à Dieu est héroïque et fait d’elle une femme à part. Elle est « bénie entre toutes les femmes » parce qu’en réalité elle est maudite par presque tous les Hommes. Et c’est aussi pour ça qu’elle incarne la Consolation parfaite : elle nous dit à nous tous pécheurs ces mots, en sourdine et par sa seule présence : « Je sais ce que c’est que de passer pour une prostituée, une impure, une folle. J’ai connu les pires humiliations et incompréhensions. J’ai pris les pires risques. Je suis l’Incomprise par excellence. Et je ne le dis même pas. Je l’incarne ! »
 

Pourquoi est-ce que le « Oui » de Marie a été si dur ? Pas seulement parce qu’elle a choisi de porter Dieu en personne, un Mystère qui la dépasse et qui la fera souffrir puisque la vie de Jésus ne sera pas de tout repos. Mais parce qu’elle a accepté de passer pour une folle, pour une femme adultère. Les 7 glaives perçant le cœur de Marie sont divers. Et on a tendance à oublier que Marie, en acceptant de porter Jésus, n’a pas seulement choisi d’avaler une couleuvre, de croire aveuglément en un Mystère immense qui la dépassait et qui l’effrayait de manière irrationnelle : elle a accepté de mourir, de risquer sa vie, elle a choisi l’humiliation maximale. C’est pour cette raison que le diable, face à la Vierge Marie, face à ce modèle exceptionnel de courage, d’abnégation et d’obéissance, n’aura plus rien à dire.

Les 30 « Glorieuses » épiscopales (ou le rétropédalage gouvernemental sur les messes à 30 célébré en magnifique « Reconquête » des évêques français)


 

La limite de 30 personnes par messe annoncée par Emmanuel Macron était une connerie totalement irréaliste et maladroite puisqu’elle partait d’une bonne intention et se voulait une fleur présidentielle offerte aux catholiques. Elle était tellement irréalisable que le Gouvernement s’en serait de toute façon rendu compte et aurait vite fait de réévaluer son offre sans même que les responsables de culte ne s’en gendarment et n’aient à bouger le petit doigt. Donc rien de « courageux » ni d’« exceptionnel » ni de « révolutionnaire » dans la réaction des évêques de France ni dans ce réajustement/rétropédalage de l’Elysée. Juste une réparation logique d’une connerie évidente. Point.
 

 

Mais là où personnellement on a du souci à se faire, c’est pour l’état du journalisme « catholique » et du clergé actuels. Faire de ce « couac » présidentiel – et de la correction évidente de son absurdité – une merveilleuse RECONQUÊTE ÉPISCOPALE, un acte de bravoure et d’autorité, tragique autant qu’époustouflant, de la part de nos évêques (il n’y a qu’à lire l’article dithyrambique, théâtral – et honnêtement grotesque – de Jean-Marie Guénois dans Le Figaro, présentant l’événement comme une spectaculaire Prise de la Bastille : N.B. : Petit jeu = Relevez le champ lexical de l’électricité et du feu, pour voir que ce genre de textes sont carriéristes, démagogiques et maçonniques mais à la sauce « catho »), on va se calmer deux secondes. Quoi qu’en disent les journalistes carriéristes ou les prêtres lèche-culs organisant cette salve d’applaudissements disproportionnée, nul courage de la part de nos évêques français (toujours aussi mous du genou et agonisants, je vous rassure) dans cette affaire. Au contraire : c’est le fait même qu’on présente ce soubresaut de révolte épiscopale/cardinalice comme un signe de vitalité, comme la « résurrection ecclésiale » qu’il n’est pas, qui prouve que le journalisme et le clergé catholiques sont – c’est le cas de le dire – à l’article de la mort. Et le croque-mort du clergé français, c’est Mgr Aupetit (dont quasi personne ne se méfie).
 

Ouvrons les yeux, amis catholiques, et sortons de cette pathétique démagogie cléricaliste. Rien n’a changé depuis le temps de Jésus : les disciples de Jésus étaient nuls ; nos évêques continuent de l’être. Et c’est vraiment pas grave. C’est même normal. Ce qui est en revanche grave, c’est de faire de ces nuls des héros courageux, et que cette entreprise mensongère ne soit ni vue ni dénoncée par la majorité des catholiques aujourd’hui.
 

 

Par ailleurs, je crois que le combat pour les messes – organisé par les pharisiens ritualistes (plus attachés au culte qu’aux personnes, et ayant fétichisé/circonscrit le Christ sous la forme de l’Eucharistie ou du rituel de la messe) – est un faux combat (et c’est pourtant celui qui a chanté l’horrible « À la messe » qui vous le dit…). Nous ne devons pas nous battre pour un sacrement ou pour un rituel – fût-il beau, vital et essentiel (« vital », bon, ça, ça reste à voir : c.f. mon article « La messe, une question de survie? Vraiment ?? »). Nous devons, sans nous conformer ou nous résigner à une censure injuste, aimer les autres et « faire avec » César, sans courber l’échine ni prendre de fausses postures rebelles. Jésus est certes présent dans l’Eucharistie et pendant les messes de manière privilégiée, mais il ne se trouve pas que là. Il se trouve dans infiniment d’autres lieux et sous d’autres formes. Et le rappeler n’est pas du protestantisme. Le protestantisme, il est plutôt du côté des pharisiens ritualistes, civilisationnistes et christocentrés, sur ce coup-là. La messe ou le Christ n’est pas un objet ou un droit fondamental qu’on réclame comme des enfants capricieux ou rebelles (« Rendez-nous la messe !!! »), mais un don qu’on doit désirer, sous toutes ses formes.
 

La Bête dans La Voz ESPAÑA

Depuis que je suis confiné avec mon papa à Cholet, je découvre The Voice version espagnole, La Voz. Complètement différent de The Voice – France ! Autant dans les réactions que dans le répertoire des chansons. Laura Pausini, en coach italienne pétillante, crève littéralement l’écran. Un des grands changements, c’est la présence beaucoup plus claire de la Bête dans les expressions et les métaphores utilisées. « Tu es une bête, tu es un animal, tu as mangé la scène, tu as faim, tu as tout dévoré! ».
 

Je vous laisse un extrait d’un chanteur chrétien, Kelly, qui a fait ce soir une reprise géniale de « Walking on the moon » de Police.
 

 

#LaVoz #Kelly #TheVoice
 
 
 
 

Dado que estoy confinado con mi papá en Cholet, descubro The Voice versión española, La Voz. ¡ Totalmente distinto de The Voice – France! Tanto en las reacciones como en el repertorio de canciones. Laura Pausini, de coach italiana que tiene sal, incendia literalmente la pantalla. Uno de los grandes cambios es la presencia mucho más clara de la Bestia en las expresiones y metáforas utilizadas. « ¡Eres un animal, te has comido el escenario, tienes hambre, lo has devorado todo!« .
 

Os subo un extracto de un cantante cristiano, Kelly, que hizo esta noche un brillante actuación de « Walking on the moon » de Police.