Archives de catégorie : Je l’ai dit

Le scandaleux lynchage contre Julie Graziani : je prends sa défense

Qu’a dit Julie Graziani d’aussi « horrible » pour mériter un pareil lynchage ?

 

Elle a invité les personnes qui divorcent à assumer leur responsabilité et à arrêter de se plaindre et de jouer aux plus pauvres en miaulant auprès du président. Ni plus ni moins.
 

Donc en réalité, je retraduis : elle a défendu les plus pauvres, en dénonçant les faux pauvres ; et en plus, elle a eu le culot de dire à cette société qui n’en a plus rien à faire du mariage et qui divorce à gogo cette vérité : que le divorce a un prix (matériel mais aussi humain), est une faute grave qui impose la retenue, et qu’il est un privilège de riches ; et que les divorcés, avant de se plaindre, devraient réaliser qu’ils n’ont pas tous les droits voire même sont responsables de l’occultation/l’augmentation de la vraie misère. J’en tiens pour preuve que ceux qui, sur les réseaux sociaux, lui crachent le plus violemment à la gueule sont des personnes parmi mes contacts qui sont divorcées et qui refusent de sortir de la victimisation et de s’entendre dire qu’ils ont effectivement peut-être eu tort de céder à la « facilité » (car oui, c’est une facilité) du divorce et qu’elles ont « un peu » merdé.

 

Et que trouve de mieux à répondre et à comprendre la meute des bourgeois anti-mariage et soi-disant pro-pauvres, secondée par les bobos anars d’extrême droite qui lâchent « lâchement » leur ancienne amie (je pense aux honteux éditos de Jacques de Guillebon, directeur de cette merde de journal de droite qu’est L’Incorrect)? Que Julie Graziani serait contre les pauvres (elle serait même macroniste… WTF), défendrait les mariages forcés ou intéressés ou de façade, aurait « gravement dérapé », et devrait même vivre au SMIC. On marche sur la tête ! D’autant plus que, dans les faits, elle a justement défendu les vrais pauvres, qui eux, n’ont même pas les moyens de se payer un divorce et d’aller quémander une prime d’augmentation à Macron. Car je le répète : le divorce (c’est la vérité) est un luxe et un caprice de riches que bien des pauvres ne peuvent pas se payer.
 

 

Qui verra la justesse des propos de Julie Graziani qui a eu le courage de dénoncer l’indécence des bobos libertaires ? Et qui aura le courage de la défendre dans la tempête ? Presque personne. Mais avec deux sous de bon sens, j’essaie d’avoir ce courage. Bravo Julie. Et que cette épreuve te fasse voir tes vrais amis, et aussi que tu es infiniment aimée de Dieu. Et ça, personne ne pourra te l’enlever. On te fait passer pour une entêtée idiote et orgueilleuse parce que tu campes sur tes positions. Mais la vérité, c’est que ta position était bonne : tu n’as juste pas eu le temps de la développer et de l’argumenter (rien à voir avec une « maladresse » de ta part). Elle te fait déjà voir que la plupart des Français en ce moment perdent leur capacité à penser et à aimer (pardon pour eux), que beaucoup de catholiques sont lâches. Mais elle te fera aussi voir que pas tous. Courage.
 

Mi conferencia en Madrid los 14 y 15 de noviembre


 

Estaré presente durante 2 días (el 14 y el 15 de noviembre) para este evento sobre la sexualidad, en la Universidad Rey Juan Carlos, en Madrid (España). Habrá la mesa redonda (a las 12h00), pero también llevaré una conferencia sobre la homosexualidad durante una hora en solitario, a las 19h00, titulada : « Lo que nunca se ha dicho sobre la homosexualidad : las 20 verdades prohibidas »
 

Podéis inscribiros en este enlace.

Ce qui est certain, concernant Joséphine, c’est que je n’ai absolument pas rêvé


 

Ce qui est certain, concernant la série Joséphine ange gardien, c’est que je n’ai absolument pas rêvé. J’ai déjà, la concernant, tout un dossier sur la place des Incas dans le téléfilm de TF1. Et le lien entre Joséphine et la Franc-Maçonnerie luciférienne (loges centrées sur la construction pierreuse et la franchise, ainsi que les civilisations soit héliocentriques – comme les Incas ou les Égyptiens – soit de souche historique maçonnique – l’Écosse et l’Angleterre sont les matrices des obédiences de la Franc-Maçonnerie mondiale) est de plus en plus clair… même si, là encore, personne ne le verra et que je vais encore passer pour un illuminé. Mais rien à battre.
 

Dans le tout dernier épisode inédit de lundi dernier (le n°95 : « L’Esprit d’Halloween »), Joséphine dit textuellement qu’elle est « tailleuse de pierre » en « ateliers » qu’elle anime (comme dans les vraies loges). Elle se définit comme « compagnonne » (en référence au Compagnons du Devoir dont certaines branches sont historiquement maçonniques). Et lorsqu’elle reconstitue magiquement la cheminée du manoir hanté à l’effigie d’un démon (véridique), elle déclare avec fierté, en nous sortant son classique discours de la méthode : « En fait, c’est une technique anglo-guatémaltèse, connue de ma seule confrérie. C’est assez secret… » Bon, elle se plante car on dit « guatémaltèque » (c’est pas grave…) mais à part ça, confrérie + Londres + civilisation précolombienne aztèque + secret + pierres, tout ça dans une même phrase… hmmm… ça commence à faire beaucoup, vous ne trouvez pas ? Et je vous passe le coup de la chevalière en or de Thierry qui réactive le subconscient et la mémoire enfouie de Violette, l’héroïne…
 

 

Avec Joséphine ange gardien, bienvenue en Franc-Maçonnerie ! Dès que je finis le montage du film, je me colle à l’écriture de mon livre sur la Bête de l’Apocalypse dans Joséphine et la série Demain Nous Appartient, promis !

L’empreinte Thierry Jamard


 

Petite pause réflexive dans mon travail…
 

Je repense à la chance inouïe qu’a eue et qu’a encore la ville de Cholet (ma ville de naissance) – et en particulier le collège Jeanne d’Arc où j’ai passé ma scolarité – d’abriter un OVNI et un artiste tel que le prof de musique Thierry Jamard. Son « Club Musique », ses compositions et spectacles, ses comédies musicales (en particulier « Rencontre », « Décibels », « Machination »), ont complètement construit ma sensibilité musicale et celle de nombreuses générations d’élèves. Fan des Beatles, de Queen et de Michel Berger, il a révolutionné la vie de beaucoup d’élèves, éveillé notre créativité et notre sensibilité. C’est même impensable qu’un musicien de cette qualité se soit retrouvé perdu dans une ville comme Cholet, quand ses chansons auraient mérité une audience parisienne et nationale. En tout cas, je réalise le privilège que la Vie (Jésus) m’a fait.

On ne devrait pas gagner sa vie sur le dos de Jésus, mais uniquement la Lui donner… et au péril de sa vie !

On ne devrait pas gagner sa vie sur le dos de Jésus, mais uniquement la Lui donner… et au péril de sa vie !
 

 

Une certaine Église – celle de ses profiteurs corrompus, celle des marchands du Temple – est en train de disparaître. Depuis que la prêtrise s’est professionnalisée et qu’elle est devenue un métier qui sustente, nourrit et blanchit un curé ou une religieuse. Depuis que du poste de journalisme chrétien (je n’ose même plus dire « catholique » !), d’éditeur ou même de directeur d’association caritative dépend le sort et l’économie de toute une famille (la Mission gagne-pain). Depuis que le rôle de « témoin » ou de chanteur chrétien est devenu un business (j’entends les Glorious et les Hopen se réjouir de pouvoir enfin « vivre de la louange »… donc de leurs concerts et ventes de disques). Il est loin, le temps où Jésus non seulement ne fournissait pas un travail mais le faisait perdre, où ceux qui le suivaient ne donnaient pas les restes de leur carrière aux pauvres pour s’assurer leur minimum vital mais étaient des vrais bénévoles (et non des bénévoles de façade, assurés de leur confort et du lendemain) !
 

Ça paraît impensable mais la corruption et le profit à l’intérieur de la Maison fissurent ses murs plus encore que les attaques extérieures. La prêtrise n’aurait jamais dû être un métier mais rester un service gratuit. Le prophète n’aurait jamais dû devenir un journaliste ou chanteur dépendant de ses ventes de disques et d’une com. Et la religieuse peignant ses icônes et confectionnant ses pâtes de fruits ou ses bières aurait dû être la persécutée et la miséreuse que Dieu a toujours voulu qu’elle soit.
 

En parfaits parasites pharisiens, on veut que Jésus fasse bouillir la marmite ? Rien d’étonnant que ça chauffe pour nous !

Missive aux journalistes et aux libraires pour la sortie prochaine de mon livre sur les thérapies de conversion

Les éditions Vérone m’ont demandé de rédiger quelques lignes de présentation de mon livre à l’attention des journalistes et des éditeurs. C’est sorti tout seul ! (lol). J’espère qu’elles vont vous plaire :
 

« Chers amis journalistes ou libraires,
 

Nous vous adressons dans le présent colis un livre qui a de fortes chances de retenir votre attention tant il traite d’un sujet brûlant et vraiment d’actualité : la loi d’interdiction des groupes de thérapies de conversion de l’homosexualité, dont le vote est planifié en France et en Allemagne pour début 2020, et qui a pour but de sanctionner/démanteler tout groupe – scientifique ou religieux – d’accompagnement des personnes homosexuelles (cliniques, séminaires, stages, retraites, groupes de prière, etc.) qui entend modifier, atténuer voire éradiquer l’orientation sexuelle de celles-ci.
 

Ces organismes pastoraux et ecclésiaux, en général protestants, très puissants aux États-Unis et en Amérique latine mais pas du tout en Europe, font dernièrement l’objet en France de reportages télévisés les diabolisant, ainsi que d’auditions à l’Assemblée Nationale pilotées par la députée lesbienne Laurence Vanceunebrock-Mialon, auditions clairement orientées que dans un sens : la victimisation des personnes homosexuelles croyantes ou nées dans des pays à forte tradition religieuse, y compris musulmane. Il va sans dire que la parole n’est pas donnée aux personnes homosexuelles qui sont désireuses, pour des raisons personnelles (par exemple pour gérer une dépression, un mécontentement de se sentir homo, pour se relever après un viol ou un suicide, pour sortir d’addictions, pour s’extraire de relations amoureuses toxiques, pour parfois sauver un couple ou une famille au bord de l’explosion dans le cas d’un époux bisexuel, etc.), politiques mais aussi spirituelles, de les suivre.
 

Malheureusement, cette loi a de fortes chances de passer comme une lettre à la Poste et dans un semblant de débat social qui ne dépassera pas la question clivante « Pourquoi vous êtes pour/contre les thérapies ? » (… autrement dit, dans une vraie foire d’empoigne). En effet, l’année dernière, le Parlement Européen a déjà sommé par décret tous les États-membres de l’Union d’instaurer cette législation prohibitive sur leur territoire, à l’instar de l’île de Malte en 2016. Et rien qu’aux États-Unis, 18 États sur les 50 ont adopté cette proposition de loi qui non seulement réduit les libertés religieuses et médicales, mais – plus grave encore – les libertés homosexuelles, sous couvert en plus de multiplier ces dernières. Aux yeux des législateurs anti-thérapies de conversion, le simple fait de questionner l’homosexualité, de ne pas la valider comme une nature ou un amour « indiscutable », de montrer son possible lien entre souffrance ou violence, d’en faire un débat public, est considéré comme « culpabilisant », « homophobe », « délictueux », « criminel », et mérite donc d’être sanctionné d’une amende, d’incarcération et surtout d’infamie médiatique.
 

Dans un débat qui risque de tourner court vu qu’aucune contradiction n’est admise (et à propos d’homosexualité, il ne faudra pas compter sur les catholiques et leurs chefs, qui sont connus pour leur silence assourdissant), la voix de Philippe Ariño, intellectuel spécialiste des questions d’homosexualité et d’homophobie, homosexuel lui-même, catholique, de gauche, ni pour ni contre les thérapies (il veut juste en parler, les décrire et proposer mieux !), détonne et mérite d’être entendue. Au moins pour prouver que la tradition française du débat démocratique et intellectuel sur les questions fondamentale de sexualité et de Foi n’est pas encore tout à fait morte. »

Visite privée et improvisée de l’Assemblée Nationale


 

Bonne surprise aujourd’hui. Par l’entremise d’une amie qui est femme de député, j’ai eu droit à une visite privée de l’Assemblée Nationale et de l’hémicycle sans que je ne m’y attende ce matin. Bien évidemment, vous vous doutez que j’ai allumé mon Détect’ franc-mac’. Et j’avoue que je n’ai pas été déçu ! Entre les différents détails que j’ai relevés, voici :
 

– les triangles un peu partout.

– les faisceaux des licteurs romains (on en voit beaucoup en loges, et j’en ai aperçus dans les salles de réception des ministres et députés).

– les 4 piliers maçonniques et les pavés mosaïques au sol (c.f. la Salle des 4 colonnes et le Jardin des 4 colonnes).

– le symbolisme passéiste (signature de la Franc-Maçonnerie) sur fond de mythologie gréco-romaine ou de bovarysme soixante-huitard illuminati (les francs-macs adorent aussi l’ordre des Templiers et la Révolution Française). Étant donné que les francs-maçons sont plongés dans le pragmatisme du pouvoir et dans leurs mauvaises actions, et qu’a fortiori ils ont quitté Jésus, pour s’évader et se créer un héroïsme magnifique ils ont fatalement tendance à se réfugier dans le lyrisme échevelé – et insupportable – de la poésie snobinarde « à la Christiane Taubira » (ci-dessous, la citation luciférienne de Jean Tardieu près de la Salle des fêtes ; il y a la Salle des Pas perdus en hommage à Alejo Carpentier ; les recueils de poésies d’Aimé Césaire en bonne place dans la Bibliothèque ; on voit plein de statues grecques et de peintures bucoliques partout).

– le républicanisme impérial et anti-royal (Les murs de velours de l’hémicycle sont tapissés principalement de deux couleurs : le rouge pour la République, et le vert qui est la couleur impériale. Comme par hasard, il manque le bleu qui est la couleur de la Royauté. J’ai d’ailleurs appris que dans la Salle des fêtes, quand ils partagent la galette des rois pour l’épiphanie, ils mangeaient des galettes sans fève, pour qu’il n’y ait pas de roi : principe communiste et républicaniste d’égalité. Ce n’est pas des blagues.).

– l’or (En Franc-Maçonnerie, la recherche alchimique de l’or est centrale). Le prétoire de l’hémicycle est en or massif, ainsi que le fauteuil. Et partout dans l’Assemblée Nationale, il y a des dorures.

– le sauna (Eh oui ! Dans l’enceinte de l’Assemblée Nationale, il y a un sauna. On retrouve donc la chaleur et la luxure.)

– l’omniprésence de la lumière. (Lucifer, quand tu nous tiens… Ma plus grosse découverte, c’est que le toit lumineux de l’hémicycle semble être éclairé à la lumière naturelle du jour, alors que pas du tout : c’est de la lumière artificielle, c’est-à-dire que de nuit comme de jour, à n’importe quelle heure de la journée, sous couvert d’égalité, et surtout pour faire perdre aux députés la notion du temps et des réalités, c’est toujours la même intensité de luminosité qui les éclaire. C’est ce qu’ils appellent de la « lumière stabilisée » ou « à intensité régulière ». Donc même quand une loi de l’ombre est votée à 4 heures du mat’, les députés et les téléspectateurs ont toujours l’impression qu’elle a été décidée et votée avec la sagesse diurne. Effrayant, quand on y pense…).
 

 

 

 

 

 

 
 
P.S. : Au fait, j’adorerais faire de la politique. Mais je serais partisan d’une politique avec pause-déjeuner sandwichs et boîtes de conserves !^^

Avances del montaje del documental « Homosexualidad y Verdad »

¡ Ya está ! ¡ Acabo de terminar de ver todos los videos de nuestra película « Homosexualidad y Verdad » para hacer la selección de las mejores secuencias ! Además, los últimos no engendran melancolía : ¡ realmente nos reímos, desde el principio y especialmente hasta em final ! De verdad, acalora el corazón.
 

Por su parte, Gerson (peruano) continúa cortando y montando estas mismas secuencias. Y seguirá para mí la fase más dolorosa : la transcripción y la traducción bilingüe francés/español de cada uno de los 271 videos. ¡ Pero lo lograré !
 

Además, la buena noticia, es que, iré suministrando poco a poco esta transcripción a los traductores. ¡ Y encontramos a un traductor para el inglés, a una traductora para el italiano, a una traductora para el polaco, a un traductor para el alemán, a un traductor para el japonés e incluso a una traductora para árabe! (Todavía nos falta el traductor para el portugués).
 

Finalmente, Gerson y yo tomaremos 3 días de toma de videos en París, cuando haga buen tiempo, en busca de dos ambientes principalmente : lugares católicos y lugares homosexuales. Para vestir el documental.
 

¡ Las cosas progresan muy bien ! ¡ Gracias Jesús !

Avancée du montage

Ça y est ! Je viens de finir de regarder l’intégralité des vidéos de notre film « Homosexualité et Vérité » pour faire la sélection des meilleures séquences ! D’ailleurs, les dernières n’engendrent pas la mélancolie : on a vraiment bien rigolé, du début et surtout à la fin ! Ça fait chaud au coeur.
 

De son côté, Gerson (péruvien) poursuit le découpage et le montage de ces mêmes séquences. Et va s’en suivre pour moi la phase la plus douloureuse : la retranscription et la traduction bilingue français/espagnol de chacune des 271 vidéos. Mais on va s’y coller !
 

Bonne nouvelle quand même : avec cette retranscription, je vais peu à peu ravitailler les traducteurs du script. Et on a trouvé un traducteur pour l’anglais, une traductrice pour l’italien, une traductrice pour le polonais, un traducteur pour l’allemand, un traducteur pour le japonais et même une traductrice pour l’arabe ! (Il nous manque encore la traduction portugaise).
 

Enfin, nous allons nous prendre Gerson et moi 3 jours de prises de vidéos à Paris, quand il fera beau, en recherchant deux ambiances principalement : lieux catholiques et lieux homosexuels. Histoire d’habiller un maximum le documentaire.

Les choses avancent donc très bien ! Merci Jésus !

Servez-moi un catholique pas catholique, s’il-vous-plaît ( = ou bien une pêche melba mais sans pêche et sans chantilly)


 

Contacté par une journaliste de la chaîne de télévision France 5 pour une émission en prime-time sur le thème « Le poids des traditions » chapeautée par Olivier Delacroix (elle se fait appeler sur Facebook « Floriane Télé »), on m’a demandé de jouer le rôle du « militant » homosexuel opposé à l’Église et ayant réussi à s’affranchir des traditions, « mais quand même catholique ».
 

Comme je ne suis pas en rupture avec l’enseignement ecclésial, comme j’aime la Tradition et que par conséquent j’obéis à l’Église Catholique sans me poser en victime, visiblement, je n’intéressais plus et je me suis fait poliment/tacitement remercier.
 

C’est curieux, ces personnes athées réformatrices ou protestantisées qui recherchent des « catholiques pas catholiques », c’est-à-dire uniquement un certain profil de catholiques : les catholiques rebelles, révoltés et ennemis de l’Église qui, le temps d’une interview, vont interpréter le rôle des catholiques bafoués. Les catholiques encore dans l’Église (donc les vrais) ne sont plus considérés comme « militants » ni même « catholiques ». Un comble.