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Deux nouveaux épisodes de SINGULARITY IS DEVIL : les épisodes 14 et 15 !

Deux nouveaux épisodes du roman-podcast apocalyptique SINGULARITY IS DEVIL de Philippe Ariño sortent en même temps sur YouTube et sur Spotify : l’épisode 14 intitulé « Le Coin gâté » et l’épisode 15 intitulé « This is Singularity » !
 

Avec, pour l’épisode 14, la participation exceptionnelle du chanteur et présentateur télé Jacky M, dans le rôle du cardinal ivoirien Mgr Séka ! (Maintenant, vous devez l’appeler « Monseigneur » ! )
 

 

Publication de l’épisode 6 « Padre Vlog » (parodie satirique des radios chrétiennes) du roman apocalyptique SINGULARITY IS DEVIL

Nouvel épisode du roman apocalyptique « SINGULARITY IS DEVIL » : l’épisode 6 « Padre Vlog »!
 

Il s’agit d’une parodie satirique des radios chrétiennes, et en particulier cathos. Bienvenue sur Radio Notre-Drame ! ^^
 

 

À noter que celui qui assure la voix du père Gaboriau (le talentueux comédien Gauthier Narjollet), le prêtre de l’intrigue (et le futur Grand Monarque), n’est pas du tout catholique pratiquant. Il est pourtant parfait pour le rôle !
 

Par ailleurs, la voix d’Isaline campant le personnage insupportable de la journaliste catho BCBG (toute ressemblance avec Marie-Ange de Montesquieu de Radio Notre-Dame serait purement fortuite…), tombait également à pic, vu qu’Isaline est issue de la bonne bourgeoisie catholique française et en connaît tous les codes et rouages.
 

Pour l’imitation du frère Paul-Adrien (dominicain « influenceur » très présent sur les réseaux sociaux et connu pour ses catéchèses en format court), Laurent K., pas catholique pratiquant non plus, s’est lâché et jeté sans filet ! Et sa séquence, bien que brève, est « priceless »…
 

Enfin, ce podcast est entièrement porté par Anne-Sophie Duvaux (la narratrice). Sans cette dernière, il n’aurait jamais vu le jour. Car honnêtement, pour être capable de dresser un panorama réaliste sur l’état catastrophique de l’Église catholique d’aujourd’hui et des médias censés la représenter, il me la fallait absolument. Anne-Sophie Duvaux est une des seules et rares catholiques lucides que je connaisse en France.
 

(Et pour ce qui est des « jingles » de Radio Notre-Dame, vous reconnaîtrez évidemment ma voix. C’est du pur montage fait-maison. Et on s’y croirait, je trouve ! haha)

Croire que Jésus est Dieu (ou le Christ) ne suffira pas


 

Concernant le linceul de Turin, ce qui va être difficile pour les catholiques, c’est de comprendre que l’enjeu autour de cette preuve surnaturelle incontestable ne va pas être sa contestation (puisque cette dernière est impossible, comme le démontre brillamment cette vidéo), ni même être le déni de la déité de Jésus (puisque celui-ci est impossible : par exemple, les musulmans qui soutiennent que Jésus n’a pas été crucifié sont pris scientifiquement en flagrant délit d’ignorance !). Ce qui va être en revanche archi difficile pour les chrétiens et pour l’Humanité, et en particulier pour les protestants et les catholiques, c’est de faire le distinguo entre LES Jésus (étant donné qu’à la Fin des Temps, la croyance en la déité de Jésus sera communément et universellement validée, y compris par les athées chevronnés et les cartésiens!). Ce sera la question de la SINGULARITÉ. C’est d’être capable de dissocier (comme le fait la vidéo) la « singularité » vantée par l’Antéchrist – qui prendra les apparences singées de Jésus – et la « Singularité absolue » qu’EST le vrai Jésus.
 

C’est donc tout un travail d’identification de la contrefaçon christisante d’une part et d’identification de qui est Jésus d’autre part, qui nous attend. Il ne va pas falloir nous reposer sur nos lauriers, nous catholiques, ni nous sentir « flattés pour Jésus », ni penser que, parce que le Monde va reconnaître Jésus comme Dieu et Fils de Dieu, ce serait « gagné » (pour Lui comme pour nous). Car l’Antéchrist va se faire passer pour Jésus et le singer « à la perfection »! La croyance en la déité de Jésus ne suffit pas, et ne constitue en rien une preuve que les gens sont dans le juste. Rappelons-nous de la « foi des démons » (c.f. Hadjadj), ainsi que de l’entrée triomphale de Jésus à Jérusalem pendant les Rameaux : à proximité de la fin du Monde, Jésus est reconnu en tant que Dieu par TOUS, y compris par les démons et ceux qui vont le crucifier une semaine après.
 

La reconnaissance de la déité de Jésus ne suffira pas. Vous m’entendez bien : la reconnaissance de la déité de Jésus ne suffira pas. Ce ne sera pas encore la Fin. Et ce ne sera pas, en dépit des apparences, Jésus-Christ.
 

Le Troisième Temple de Jérusalem (palais de l’Antéchrist) est déjà en construction

Le millénarisme antéchristique est vraiment à nos portes. Les serviteurs de l’Antéchrist (dont le PDG d’Optical Center, Laurent Lévy, de qui je vous ai parlé il y a peu, en décryptant les messages maçonniques et déistes dans la dernière pub de sa marque, et à qui on donnerait le Bon Dieu sans confession) sont à pied d’oeuvre pour construire le Troisième Temple de Jérusalem (« Maison de Dieu universelle ») où siégera précisément l’Antéchrist qui se fera passer pour le Christ.
 

Vous devez absolument regarder cette vidéo sur l’ « Arabaït ». Elle dure seulement 18 minutes, mais illustre parfaitement la volonté de construire un Dieu humain sur Terre (sans y reconnaître Jésus, évidemment… même si les protestants l’appelleront ainsi) et un règne humano-divin sur Terre (LA tentation millénariste par excellence, précisément !).
 

Courses de Noël apocalyptiques !

Courses de Noël faites ! Et le moins qu’on puisse dire, c’est que j’ai tapé dans l’eschatologique (étude des Fins dernières) ! haha. Et que je compte bien arroser apocalyptiquement amis, famille, coloc, enfants du caté ! (Trop ras-le-bol qu’en ce moment on nous fasse lire de la merde.). Au total, ça fait :
 

– Trois exemplaires du roman Le Maître de la Terre de Robert-Hugh Benson (livre de chevet de nos deux papes actuels).

– Sept exemplaires du roman Père Élijah : une Apocalypse de Michael o’Brien. (J’ai littéralement dévalisé la Procure de Saint Sulpice ! lol).

– Un exemplaire du roman Père Élijah à Jérusalem de Michaël o’Brien (que je n’ai pas encore lu, mais je vais me rattraper^^).

– Deux exemplaires de mon livre Homo-Bobo-Apo (sur Amazon).

– Un exemplaire de la B.D. fraîchement sortie du Père Élijah : une Apocalypse… que je compte bien faire lire en entier tout au long de l’année à mon équipe de catéchisme de Saint Médard (treize enfants de CM2), et offrir à la fin à l’enfant le plus méritant après lecture et analyse collective.
 

Il ne manquait plus que Les 3 entretiens sur la guerre, la morale et la religion + le court récit sur l’Antéchrist de Vladimir Soloviev pour boucler la boucle… mais ce sera pour plus tard !^^
 
 

N.B. : Et en ce moment, avec mon ami trans iranien, nous sommes en train de projeter d’écrire ensemble un essai sur l’Armageddon et la place eschatologique/prophétique centrale de l’Iran dans le scénario des Fins dernières…

La série Les Combattantes de TF1 : bilan, décryptage et constat inquiétant pour notre Monde (la déshumanisation des Humains)


 

Ce qui est très inquiétant pour notre Monde, c’est le progressif retrait d’Humanité des pourtant êtres HUMAINS (qui n’ont que ça, leur humanité, pour exister !), déshumanisation de plus en plus présente dans le discours de nos contemporains. Résultante d’un noachisme misanthrope galopant ainsi que d’une Marque de la Bête (Apo 13, 17) de plus en plus hégémonique pour cette Fin des Temps générale.
 

 

Je le remarquais déjà dans le discours de certains mes élèves (même musulmans), qui n’hésitaient pas à nier l’humanité d’Hitler (en soutenant mordicus que « ce n’était pas un humain mais un monstre » : le déshumaniser par la diabolisation, c’est le meilleur moyen de l’imiter inconsciemment !). Ou quand un pédophile (genre Marc Dutroux ou Nordahl Lelandais) ou un psychopathe (Jeffrey Dahmer) fait les gros titres. Ou quand Trump niait sérieusement devant les caméras l’humanité des migrants mexicains passant illégalement les frontières des États-Unis (il a qualifié ces derniers d’« animaux »). Ou encore quand le Connard (Emmanuel Macron), à plusieurs reprises, nie l’humanité des rebuts de sa Start-up Nation (À la Station F, il a distingué publiquement les entrepreneurs « des gens qui ne sont rien ») ou l’humanité de ceux qu’il veut écraser de son caractéristique mépris (Devant les princes du Sahel, il s’est permis de dire très sérieusement, à propos des ravisseurs de Sophie Pétronin, que – je cite – « ces gens ne sont rien »).
 

Cette tendance à retirer à l’Humain son humanité (en plus, finalement, de sa divinité en Jésus) est très préoccupante mondialement, car elle s’appuie sur une croyance à avoir droit de vie ou de mort, d’éradication ou de Salut, sur toute personne qu’on estime « utile » ou « inutile », « gentille » ou « méchante/dangereuse », du simple fait de la voir comme un objet ou un animal ou un esprit démoniaque monstrueux. Autrement dit, c’est un eugénisme/génocide déguisé.
 

 

Je l’ai vue, cette tendance déshumanisante, dans la dernière série (« création ») de TF1, Les Combattantes, sur fond de Première Guerre mondiale 1914-1918. Je vous passe les détails de cette fresque « historique » presque totalement immorale (féministe, misandre, anticatholique, pro-avortement, pro-homosexualité et pro-inceste) et insultante de la mémoire des vrais combattants. Pour résumer : du sang, de la boue, des larmes, du sexe, des morts… on se serait cru dans un navet cinématographique de Laurent Boutonnat. Mais pour revenir à ma démonstration sur le retrait d’Humanité des Humains, ce qui m’a vraiment marqué, c’est surtout cette insistance sincère à nous prouver qu’il existerait des « êtres humains qui ne seraient pas/plus humains ». Chacune des 4 justicières-pleurnicheuses professionnelles (Camille Lou dans le rôle de Suzanne l’avortrice, Sofia Essaïdi dans le rôle de Caroline la cheffe d’entreprise, Audrey Fleurot dans le rôle de Marguerite la prostituée, Julie de Bona dans le rôle de Mère Agnès) avait son monstre humain déshumanisé qu’elle marquait du sceau « indélébile » et « justicier » de la Bête et de « l’Inhumanité » : Suzanne a sorti au mari de Jeanne Charrier, Lucien, qu’« il était un monstre » ; Caroline a sorti à sa belle-mère Éléonore à propos de son ignoble beau-frère Charles « Votre fils est un monstre » ; Marguerite a sorti à son maquereau Marcel – secrètement amoureux d’elle – qu’il n’était « rien pour elle » (ce dernier, à son tour, a dépersonnifié une autre camarade prostituée de Caroline, Juliette, en la traitant de « marchandise » : « Juliette, t’es rien. T’es personne. Ferme ta gueule ! ») ; et enfin, sœur Agnès a sorti à l’abbé Vautrin (prêtre pédophile et violeur que campe Laurent Gerrat) « Vous êtes un porc. Plus jamais vous ne poserez vos mains sur une de mes sœurs. Où que vous soyez, je serai là. Je les préviendrai pour qu’elles sachent quel genre de monstre vous êtes. Je ne vous lâcherai jamais. ». Je vous avais dit : chacune des héroïnes avait son être humain à monstruosifier ! Pour qui se prennent-elles ? Et surtout, pour qui se prennent les réalisateurs de ces fictions ?
 

Le comble, c’est que cet homicide-déicide luciférien se fait au nom d’un humanisme intégral (l’autre nom de la Bête) et au nom de Dieu (spiritualisme intégral) : les réalisateurs et acteurs se prétendent « humanistes » et croient qu’une fresque pareille – qui ne fait que semer la guerre – fait oeuvre de de « Paix », est « HOMMAGE historique et résurrectionnel des faits, de la vérité et des héroïsmes ». Sidérant.
 

Ce retrait d’humanité est une mode scandaleuse qui devrait tous nous insurger, mais que personne aujourd’hui ne voit et ne dénonce. Je me devais donc de faire ce constat.
 

 

N.B. : Petit détail qui m’a fait doucement sourire, et qui montre le caractère intrinsèquement spirituel et antichrétien de ce téléfilm : c’est la référence (inconsciente ?) à Agnès Thill (députée catholique homophobe). Car, qu’on ne me dise pas que le choix de prénoms de Mère Agnès et de son soldat allemand avec qui elle va être dépucelée, Till, relève du pur hasard…

Le Journal de l’Antéchrist : des nouvelles de la Marque de la Bête

Comme vous le savez, je m’intéresse depuis un certain temps à la « Marque de la Bête » décrite par saint Jean dans l’Apocalypse (Ap 13, 17). La puce RFID subcutanée.
 

Et à 4 « endroits » médiatiques, j’ai vu que le Gouvernement Mondial nous l’impose. Comme si, en animalisant ce qui est par essence inhumain, c’est-à-dire la robotique, il prétendait « humaniser » cette dernière. C’est très étrange, cette humanisation par l’animalisation technologique, par l’image de la Bête.
 

Le premier, c’est la publicité de la marque Apple : « Votre prochain ordinateur n’est pas un ordinateur. » : autrement dit, « c’est vous ». Ou « c’est la Bête ».
 


 

Le deuxième endroit, c’est dans les « Battles » (traduction : « batailles ») de l’émission The Voice. Déjà, la mise en scène représente spacialement la Marque de la Bête (la lettre « V » surmontée d’un « W »). Et ensuite, au moment de l’apparition des deux candidats des « Battles » sur scène, une grille se lève devant eux, en mode « Lâchez les fauves! » L’idée des « Battles », plus que de figurer un ring de boxe ou de catch, c’est de symboliquement lâcher les taureaux dans l’arène. Et les 4 empereurs délibèrent ensuite pouce levé/pouce baissé en ayant droit de vie ou de mort sur la carrière des « bêtes de scène » défilant devant eux.
 


 

Le troisième endroit, c’est la Marque de la Bête présente dans la publicité des rasoirs Bulldog. La Bête s’adresse aux hommes comme un reflet d’eux-mêmes. Le massage tacite, c’est que nous serions la Marque de la Bête.
 

 

Le quatrième endroit, c’est la chanson « Fenomenology » de Lara Fabian, parlant d’un chien ou d’un papillon apocalyptique vénéré comme un Christ sacrifié.

Fin de la papauté pour 2027 ?


 

Dans le documentaire de François Barré sur la prophétie des Papes (dite « de saint Malachie », écrite en 1595), un documentaire certes sensationaliste mais qui a le mérite de dire certaines vérités, la fin de la papauté pourrait bien être fixée à 2027. Même si les prophéties sont élastiques, ne sont pas des sciences exactes (comme je l’explique dans Homo-Bobo-Apo).
 

Pourquoi cette date si précise ? « Axis in medietate signi » est le nom probablement attribué au Pape Sixte V (« l’Axe au milieu du signe »). Le pontificat de Sixte V se situe à mi-chemin de la prophétie des Papes. C’est donc grâce à lui qu’il est possible de dater la fin.
 

La première devise de la prophétie des Papes correspond à Célestin II, élu pape en 1143. Sixte V (le « Pape du milieu ») arrive au trône papal en 1585, soit 442 ans après. Ce qui veut dire que la prophétie doit prendre fin 442 ans plus tard, à savoir en 2027.
 

 

Par ailleurs, la tradition orale a ajouté à la prophétie un dernier pape (après le Pape François : vraisemblablement « Petrus Romanus ») qui n’est pas de Dieu – une certaine « Caput Nigrum » (Pourquoi d’ailleurs ne pas envisager le cardinal Sarah ? Selon moi, c’est tout à fait envisageable, étant donné la cote de popularité de ce dernier auprès des catholiques conservateurs du Monde entier. Ce qui invaliderait la thèse que la « tête noire » renverrait à un jésuite, donc au Pape François…). Et enfin, selon le Pape saint Jean XXIII, l’Apocalypse serait pour 2033. Ça vaudrait le coup de s’intéresser aux prophéties de ce Pape…