C’est incroyable comme la Franc-Maçonnerie met un coup d’accélérateur en ce moment : du 25 au 28 mars, c’est le SALON DE LA FRANCHISE, au Parc Expo de Paris. Dans mon livre Homo-Bobo-Apo, j’ai écrit noir sur blanc que la franchise (ou sincérité) était LA signature de la Franc-Maçonnerie. Et là, dans ces salons, tout le lexique de la Franc-Maçonnerie y est parfaitement lisible : « chantier », « carrière », « projet », « chaîne », « être franchisé », « atelier », « créateur », « bâtir », « construire », « optimiser », « plan », « méthodes », « clefs de réussite », « badge/code », « essentiels/fondamentaux », « boîte », « les 7 péchés capitaux du futur franchisé », « franchiseur », « réaliser », « guide », « maître/Master », « entreprise », etc.
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Ne jouons pas au malin avec la Franc-Maçonnerie (2 exemples concrets de l’étonnante proximité entre Franc-Maçonnerie/Homosexualité/Catholicisme)
Ne jouons pas au malin avec la Franc-Maçonnerie. S’y intéresser ne doit pas revenir à y adhérer. Y compris « de loin », pour « en faire une étude critique/sociologique », pour aller y « évangéliser », et sous prétexte qu’on n’intègre pas officiellement ses loges, y compris en continuant à se prétendre « catholique » et à recevoir les sacrements de l’Église Catholique. Je dis « Attention ! ». La Franc-Maçonnerie, ce n’est pas d’abord une initiation, un adoubement, une entrée volontaire et officielle, une panoplie de gants blancs et de tablier reçue, ni un agenda avec des soirées en loges : c’est la FRANCHISE. C’est l’INTENTION (y compris l’intention anti-Franc-Maçonnerie !) déconnectée de l’Amour de l’Église Catholique. Je sors donc mon panneau « Pente dangereuse ! », même si cette pente est progressive et pas assumée par ceux qui l’empruntent en se croyant plus lucides que les autres.
Je m’appuie sur deux exemples proches (histoire de vraiment vous prouver que la Franc-Maçonnerie n’est pas un phénomène éloigné des catholiques, des familles et de l’homosexualité !) : le premier, c’est le jeune fils d’une amie à moi, qui, par rébellion et révolte contre son éducation chrétienne et ses parents, leur fait du chantage à l’homosexualité et même à la Franc-Maçonnerie. Il est déjà rentré en contact avec des francs-maçons, en lien avec sa pratique sportive (handball professionnel), a visité des loges, et sa fascination arrogante pour la Franc-Maçonnerie n’a presque pas de distance critique puisqu’elle se nourrit d’une vengeance et d’un sentiment d’abandon paternel effectif. Il y a par conséquent dans sa démarche une réelle duplicité. Comme tout franc-maçon (ou toute personne alcoolique/toxico ou toute personne embrigadée dans une secte), il se prétend à la fois plus franc-maçon que les francs-maçons identifiés, et pas du tout franc-maçon… même en y allant.
L’autre cas de louvoiement ambigu touchant l’un de mes proches, c’est celui d’un ami homo de mon âge, qui s’est récemment converti au catholicisme (en s’étant d’abord égaré dans le protestantisme). Il m’a appris hier, « ironiquement », qu’il devenait « franc-mac » : « Samedi dernier, j’ai dîné avec un maître maçon de la GLDF, on a parlé philo et religion. En mai je donne une conf à leur loge près de Lyon. » (*GLDF : Grande Loge De France) Sur le coup, j’ai rigolé avec lui, pensant qu’il déconnait. Puis ce matin, je suis revenu à la charge, pour lui demander des précisions. Je retranscris tel quel notre échange d’aujourd’hui, pour vous expliquer la subtile corrélation entre homosexualité/Franc-Maçonnerie/Intention anti-Franc-Maçonnerie, voire Catholicisme. Je vais simplement changer le nom de cet ami ainsi que sa ville de résidence pour qu’il soit tranquille :
Moi : Jordan, j’ai une question : Quand hier, tu me disais que tu étais franc-mac, en réalité, tu ne plaisantais pas ? Tu n’es pas revenu à l’Église Catholique, en fait ? (Retournes-tu à la Communion et à l’Eucharistie? Réponds-moi en Vérité. Merci.)
Jordan : Étonnant interrogatoire. Je ne sais pas ce qui te fait douter de ma sincérité, mais je ne vois pas une seule bonne raison pour te mentir. Les gens mentent toujours par intérêt ou crainte, y’en a pas ici. Lorsque j’étais devenu protestant, je n’ai pas hésité à te le dire et à te confronter. Ma vie sacrementelle est entre Dieu et moi, nul autre n’a le droit de savoir quand était-ce la dernière fois que j’ai communié ou le contenu de mes confessions. Ce que je peux te dire, c’est que je suis bel et bien revenu à la communion catholique romaine depuis le mercredi des cendres, que je fréquente la FM locale pour des raisons purement apostoliques, avec une pleine lucidité sur son erreur et ses limites, et que je regarde avec bienveillance, estime et miséricorde ses membres. Voilà tout. En toute franchise. Bises.
Moi : La sincérité, ce n’est pas la Vérité.
Moi : Ta vie sacramentelle n’est précisément pas qu’ « entre Dieu et toi ». Elle concerne et embarque tout le monde, à commencer ta famille catholique.
Moi : (à moins d’adopter une conception individualiste et consumériste des sacrements, bref, protestante)
Moi : Quant à la franchise, si tu avais lu avec sérieux mon livre Homo-Bobo-Apo, tu aurais entendu que l’emploi du mot « franchise » est précisément la signature des francs-maçons.
Moi : Donc tu réponds à ma question : tu as quitté l’Église Catholique et tu intègres la Franc-Maçonnerie (même si, en intention, tu veux garder une « distance critique et bienveillante » et te convaincre que tu n’y entres pas comme « initié officiel ».)
Moi : Merci de ta réponse inconsciente, et étonnamment lisible.
Moi : Tu es en grand danger, Jordan.
Moi : Réveille-toi et arrête de jouer au malin (dans tous les sens de l’expression).
Jordan : Je t’ai dit que je suis catholique, j’ai communié pas plus tard que dimanche dernier à la messe avec ma marraine à Saint-Étienne, c’était d’ailleurs mon troisième anniversaire de baptême. A moins que tu veuilles t’arroger le droit de m’excommunier, je suis catholique au même titre que toi. Ce flicage délirant est insupportable, enfin c’est quoi cet interrogatoire, c’est la police homo-bobo-apo ou quoi ? On ne fait pas ça à ses amis.
Moi : C’est toi qui le vois comme un interrogatoire ou une « police ». Moi, je te pose juste des questions. Et si tu le vois comme un jugement, c’est bien que ta pratique t’accuse.
Moi : Quant à l’excommunication, c’est toi qui t’exclues tout seul de l’Église. Pas moi.
Moi : Je te rappelle que tu t’approches des loges, pas seulement en observateur, mais bien pour y donner une conférence (c’est quand même pas la même démarche !).
Moi : Regarde tes actes.
Moi : plutôt que de jouer les victimes (… d’une inquisition que j’incarnerais).
Jordan : Quelle pratique ? Rien ne m’accuse, je ne fais rien de mal. Et alors, s’approcher des loges ? C’est un crime ?
Moi : Non. Ce n’est pas un crime : je l’ai moi-même fait, et je continuerai de le faire.
Moi : Mais ta démarche est autre.
Jordan : C’est quoi ma démarche ?
Moi : Là, tu y interviens.
Jordan : Je ne sais même pas de quoi tu parles.
Jordan : Oui, comme conférencier, c’est des GENS qui écoutent tu sais.
Jordan : Pas des démons.
Moi : Ai-je dit que c’était des démons ?
Moi : Tu veux caricaturer pour ne pas écouter.
Moi : Bientôt, tu vas me dire que ce sont des gens qui écoutent plus que les catholiques…
Moi : Tu files un mauvais coton, Jordan. Je t’aurai prévenu.
Moi : Et ton discours (invocation de la « franchise » de la « sincérité », entre autres) est signé.
Jordan : Calme toi, il n’y a rien qui se passe, je connais la FM et le catholicisme, et j’ai fait mon choix. Par ailleurs, la franchise et la sincérité sont toujours des mots de la langue française, et ça veut encore dire quelque chose, voilà pourquoi je les utilise.
Moi : Je suis très calme. En revanche, je vois que tu n’as pas lu tout mon chapitre sur la franchise (Et merci, je sais encore que ce mot figure dans un dictionnaire et est défini : ce n’est pas la question).
Moi : Et je te dis qu’il y a quelque chose qui se passe (même si tu ne veux pas le voir).
Jordan : Ne t’inquiète pas, si tu ne peux pas me faire confiance, fais au moins confiance à Dieu.
Le diable se niche vraiment dans l’orgueil de l’omniscience ainsi que dans un certain « zèle évangélisateur ».
Inquiétante franc-maçonnerisation des Enfoirés
Je regarde le concert des Enfoirés chaque année, car ils sont un étonnant baromètre social. Et cette année, c’est fou le net virage spiritualiste qu’ils ont pris en direction de la Nouvelle Religion mondiale (Franc-Maçonnerie et satanisme, sur fond d’homosexualité à tous les étages) : ésotérisme, teinte rougeoyante/sataniste de presque tous les tableaux, magie rouge et noire (dite « magie méchante »), mentalisme, dithéisme (manichéisme de l’équilibre, visages coupés en deux), gants blancs dans beaucoup de chansons, réunions de confréries mystiques secrètes, nombreuses références à la Bête, numérologie avec des 666 cachés et tacites, tribalisme, anti-fascisme et Guerre Mondiale, folie pour la transformation, communication avec l’au-delà et les défunts (les zombies ou revenants ont débarqué plusieurs fois), cercles de libertins dix-huitièmistes (masqués, avec clowns démoniaques chantant les démons de minuit), symboles de films d’épouvante, promo de l’adultère et destruction du mariage, bougies maçonniques tout le temps, la Bête et les chimères, transgression de la différence des sexes (et des générations, des espaces, de la différence Créateur-créatures), culte luciférien de la lumière et de l’onirisme, etc. « On fait le show avec le visage ensoleillé, main dans la main pour faire rêver. C’est le message des Enfoirés. Chante pour allumer ces bougies qu’on a laissées dans le noir. » Belle Chaîne d’Union maçonnique finale. Clairement sidérant. L’Antéchrist est sur le point d’arriver avec sa religion antithéiste. Et personne ne voit, ne dénonce. Franchement, pauvre Coluche, il doit halluciner de voir que les Enfoirés, en jouant les Résistants contre le fascisme (alors qu’ils sont l’incarnation de ce dernier, et de la bien-pensance bourgeoise anti-fasciste), sont réellement devenus des enfoirés au sens propre.
Les ondes, espace des démons
J’ai maintenant la confirmation que les ondes (électromagnétiques, radiophoniques, etc.) – qui passionnent tant actuellement les scientifiques francs-maçons – sont les vecteurs ou les canaux de communication avec les démons ou les esprits des âmes damnées. Même les ondes dites « positives ». Ce soir, dans le film « Le Labyrinthe 2 » diffusé sur TF1, un des personnages (Jorge) a déclaré qu’il lui arrivait d’entendre « sur les ondes papoter les fantômes ». Et j’ai vu dernièrement dans une série espagnole une adolescente qui était contactée par des âmes défuntes qui essayaient d’entrer en communication avec elle via sa C-B radio. Je sais qu’en ce moment, certains scientifiques-médiums cherchent dans les ondes un moyen de rentrer en contact avec des entités énergétiques occultes, et même « extra-terrestres ». Et je vois qu’il s’agit, derrière l’excuse scientifique ou médiatique ou humanitaire/optimiste, d’un spiritisme masqué proche du satanisme.
Star Wars, vitrine publicitaire de la Franc-Maçonnerie à la Grande Loge de France
Je me suis rendu cette après-midi à la « rencontre publique » dédiée à Star Wars intitulée « Force et Lumière », appelée « triangulaires », qui a eu lieu à la Grande Loge de France (rue de Puteaux)… et non au Grand Orient comme au départ je l’avais cru. Ce qui m’a permis de découvrir un niveau temple franc-maçon ! Chose étonnante : contrairement au GODF, il y a sur les lieux de la GLDF énormément de vestiges catholiques, mais soit détournés (des dessins humoristiques de saints devant une photocopieuse, des croix chrétiennes mais sans référence à Jésus, etc.), soit carrément jetés aux oubliettes (par exemple, la Croix du Christ a fini aux toilettes…). Le temple où s’est tenue la triangulaire est une réplique d’une église catholique, mais sans statues (à la place, il y a des écussons), sans transept, avec des vitraux vides d’illustrations.
Je n’aurai pas le temps de faire un descriptif détaillé des trois topos que j’ai entendus. Seul le premier, celui de Frédéric-Pierre Isoz de Bex, qui est ouvertement franc-maçon, a vraiment retenu mon attention. Les deux autres conférences (de Sébastien Galano, puis celle du Dr Stéphane Sarrade, savant qui se présente comme un « optimiste ») étaient moins riches en informations… mis à part l’étonnant développement du chimiste concernant la bière (Cela confirme ce que j’écris sur le bobeauf catho hétérosexuel et également sur la substitution chez les francs-maçons du Sang du Christ par la bière).
Néanmoins, voici quelques points qui m’ont marqués dans cette Opération Séduction, et qui viennent compléter mon article sur les liens entre hétérosexualité, Franc-Maçonnerie et Star Wars :
– L’orgueil intrinsèque à la Franc-Maçonnerie : Frédéric-Pierre Isoz de Bex a dit que le but de l’initié maçon, c’est de « pratiquer la Justice en devenant sa propre Vérité ».
– Les francs-maçons pastichent l’Église Catholique, ne serait-ce que dans les mots et valeurs des bobos cathos : notamment, ils défendent la « transmission » (« La transmission est au centre de l’équilibre de la Franc-Maçonnerie » a déclaré Isoz de Bex), l’« Espérance », la « Vie », la « culture » (qu’ils présentent comme une « contre-culture »), l’« humilité ». La lumière qu’il vénère n’est évidemment pas Jésus mais, selon eux, la « connaissance ».
– Les francs-maçons défendent ouvertement l’homosexualité (et c’est un de leurs combats centraux) : Frédéric-Pierre Isoz de Bex a présenté la passion amoureuse, les sentiments humains, comme l’« Amour » suprême : il a affirmé que « l’amour profane qui unit un homme et une femme, ou un homme et un homme, ou une femme et une femme – peu importe – est l’amour absolu ».
– Il a été question de « transhumanisme » (« L’Homme augmenté »), d' »états de conscience », donc d’expansions de conscience, de sacralisation de la conscience humaine : « L’esprit est supérieur à la matière. » (Sébastien Galano)
– Les francs-maçons honnissent le mot « outil » (logique utilitaire, individualiste, synonyme de « se servir ») pour lui préférer le mot « instrument » (synonyme de « servir »). Dans leur masturbation intellectuelle sophiste, ils aiment bien distinguer des concepts (par exemple « la vie » et « le vivant ») pour prouver qu’ils sont intelligents et gnostiques.
– L’« Imaginaire » (l’autre nom du diable) a été maintes fois répété et est vénéré.
– Dans la pensée franc-maçonne, il n’y a pas du tout de place faite au pardon (contrairement au catholicisme, où l’ennemi reste un frère, est humanisé, recherché et pardonné). Selon Frédéric-Pierre Isoz de Bex, par exemple, « Dark Vador n’est rien. Le mal est anonyme. En Franc-Maçonnerie, pour nous, servir nos mauvais compagnons, c’est nous dissoudre ». L’ennemi est « désubjectivé », annihilé au sens propre du terme : il perd son statut de sujet et de personne.
– La Franc-Maçonnerie refuse l’Esprit Saint et la prière : « La paix ne se gagne pas uniquement par la prière. » (Frédéric-Pierre Isoz de Bex a sorti cette phrase, et a été copieusement applaudi). Elle refuse encore plus l’activité des hommes et des femmes de prière. « L’ascétisme conduit à la mort. » (Frédéric-Pierre Isoz de Bex) Les francs-maçons s’intéressent à l’Apocalypse, qu’ils appellent « Le Livre de Jean », mais écartent son « interprétation confessionnelle » (autrement dit sa version catholique), pour ne voir l’Apocalypse que comme un livre de symboles et de mythes. On sent dans leur discours un profond anticléricalisme, une haine de l’Église Catholique Institution.
– La Franc-Maçonnerie refuse les limites et surtout la notion d’inéluctabilité, d’irréversibilité, d’arbitraire christique, refuse toute idée de finitude, et la radicalité du Jugement Dernier de Jésus. Selon les francs-maçons, rien n’est établi, rien n’est définitif. Ils vouent un culte à l’absence de regrets (il ne faut surtout rien regretter!! Ce serait un terrible aveu de culpabilité !! La culpabilité, vous savez, cette horreur qu’auraient créée les catholiques…), ou bien un culte à la « Deuxième Chance » (leitmotiv du téléfilm Joséphine ange gardien ; bizarrement, il n’est jamais question de la troisième, la définitive, celle donnée par Jésus), un culte au « Il n’est jamais trop tard ». Leur refus du jugement, et plus profondément du Jugement Dernier (où il y aura un « C’est trop tard » qui générera une joie éternelle ou des pleurs et des grincements de dents éternels aussi) est leur orgueil. Il y aura une Fin des fins. Pas de rattrapage (Le rattrapage du purgatoire est déjà le Salut). La Porte du Royaume se refermera (à l’entrée du purgatoire et du Ciel). Et pour toujours. C’est la radicalité de la Croix. C’est la Justice tranchante de la Vérité-Charité qui est Jésus. Il n’y a pas d’Amour sans Justice, sans séparation nette, radicale et définitive entre le Bien et le mal.
Dans l’assistance, quand les questions des néophytes profanes fans de Star Wars étaient trop orientées sur le film en lui-même, et que Star Wars perdait son statut de prétexte publicitaire pour imposer discrètement l’idéologie maçonnique, étaient préposés au recadrement et au recentrement du débat sur l’objectif final – FAIRE CONNAÎTRE LA FRANC-MAÇONNERIE – différents initiés dispersés savamment dans la salle. Ces derniers avaient été, je crois, préalablement briefés à ce dressage, et je parie que la grande majorité des auditeurs profanes n’a vu que du feu à cette manipulation, au lavage de cerveaux, et à l’obsession chez leurs hôtes d’absolument faire fusionner la saga Star Wars avec la « grandeur » de la Franc-Maçonnerie. Beau moment « convivial » de manipulation de masse !
La Franc-Maçonnerie parraine Star Wars… oh quelle surprise…
On (dont beaucoup de cathos tradis beaufs) me prend parfois pour un parano, avec mes histoires d’Antéchrist et de Franc-Maçonnerie. Comme si je les voyais partout où ils ne seraient pas. Mais regardez : ils ne se cachent même plus! Le 3 février prochain, à la Grande Loge de France, ils organisent carrément des portes ouvertes gratos sur le thème de « Star Wars », comme je l’avais annoncé depuis longtemps avec le prisme de l’hétérosexualité. Je pense que j’irai… même si je déteste « Star Wars » et son pouvoir d’attraction beauf hétérosexuel.
La franchise, c’est franc-maçon
Ça peut paraître un raccourci, mais « la franchise c’est franc-maçon ». C’est ce que m’a dit avant-hier de manière ramassée et quasi solennelle une amie aveugle, qui m’a avoué que depuis je l’avais reprise dès qu’elle prononçait l’adjectif « sincère » ou « franc » comme quelque d’absolument positif, ça l’avait perturbée fortement… car elle a passé 20 ans de sa vie à se valoir de la franchise pour agir et parler aux gens, et elle n’avait jamais fait le lien entre franchise et Franc-Maçonnerie avant de m’avoir entendu le faire (Je lui racontais que je relevais toutes les mentions à la « franchise » dans la série « Joséphine Ange-gardien). Ça m’a surpris et émerveillé, sa docilité et sa capacité de synthèse. Elle m’a fait mourir de rire en me déclarant d’un air coquin, sans me fixer du regard: « Maintenant, je ne dirai plus que je suis franche. Plus jamais. Moi, la Franc-Maçonnerie, j’aime vraiment pas ça. Et je veux pas être franc-maçonne ! » C’est vrai. Être franc ou sincère, c’est franc-mac. Soyons au contraire vrais comme Jésus.
Film « Cendrillon » sur M6 : beau miroir du néo-nazisme international actuel
Je regarde pour la première fois, et en direct, « Cendrillon » sur M6. Je ne vais pas pouvoir écrire tout ce que je vois, car sinon, j’y passerais des heures, et je ne peux pas faire des articles sur tout. Mais voilà, c’est incroyable tous les codes bobos, francs-maçons et aussi antéchristiques qu’il y a (notamment sur le digital, le noachisme, l’ésotérisme, la Nouvelle Religion mondiale…) ! Le mot d’ordre, c’est « Il faut être courageux et bienveillant » : c’est une définition exacte de l’humanisme intégral, l’autre nom de la Bête. Il est question de la « Guilde des marchands de tissus », de « force au bout du doigt », de « croire en tout » (et notamment aux fées et au langage des animaux), de la bonté qui sauve le monde, de la jouissance d’être soi-même, de la toute-puissance de la foi et de la magie (et même du pardon), du Prince qui se présente comme un « apprenti » puis un « apprenti Prince qui n’en finira jamais d’apprendre », etc. Et sans s’en rendre compte, les antifascistes moralisants d’aujourd’hui reproduisent ce qu’ils croient dénoncer. Nous revenons en plein temps du nazisme (national-socialisme), sauf que cette fois, c’est l’international-socialisme, à la sauce digitalisée. Vous voulez un exemple, un seul ? Hitler, en son temps, avait interdit la chasse à courre, pour ne pas tuer les animaux… et c’est exactement ce que défend Cendrillon.
Publicité Leroy Merlin : toutes les étapes de la démarche franc-maçonne sont dévoilées
« Avoir un projet. Et un jour, se lancer. S’inspirer. Faire soi-même. Construire sa maison, c’est se construire un peu plus chaque jour. Un projet c’est toute une aventure, ça commence par une idée qui peut venir de vous, de nous et nous serons toujours là pour vous accompagner. Ce ne sera pas toujours facile, mais vous pourrez en être fier. Et nous mettrons toute notre énergie au service de la vôtre pour vous accompagner dans cette aventure. Leroy merlin : et vos projets vont plus loin. » C’est exactement le discours que j’étudie et identifie en Franc-Maçonnerie et dans Joséphine Ange gardien.
Par ailleurs, le 666 commence à faire de plus en plus ouvertement son apparition. Hier soir (30 décembre 2017), lors de l’émission The Wall sur TF1, l’humoriste homosexuel Jean-Phi Janssens, ex-steward, au moment d’introduire ses 3 boules, les a placées dans le chiffre 6, en se signant…
Walt Disney, franc-maçon ?
Wikipedia nous dit que l’appartenance de Walt Disney à la Franc-Maçonnerie est une rumeur insensée. La question n’est pas nouvelle. Mais elle est souvent mal traitée. À mon avis, il ne faut pas chercher la Franc-Maçonnerie chez Disney dans les détails trop matériels ou trop visuels (ex : le positionnement des doigts, les gants blancs de Mickey, les équerres et les compas, le pavé mosaïque, les méchants de Disney étiquetés diaboliques, etc.) mais davantage dans les idées, souvent hyper positives et bien intentionnées.
En effet, ce qui caractérise l’idéologie franc-maçonne (comme je l’explique dans mon livre Homo-Bobo-Apo), c’est, entre autres :
1) le lexique de la lumière (et également celui de la force, de l’électricité, de l’énergie, de l’astrologie).
2) le lexique de la construction et de l’architecture (notamment par le recours à l’alchimie, à l’hermétique et aux déplacements de conscience qui transformeraient le cœur humain en cube d’or). La Franc-Maçonnerie défend l’idée que l’Homme se construirait Lui-même par sa propre sincérité/franchise et se sauverait par ses propres actes de solidarité.
3) le lexique de l’humanisme intégral (les valeurs du Christ mais sans le Christ ; le processus de création, de changement et d’amélioration de l’Homme par Lui-même ; la défense de la paix, mais non celle du Christ ; l’optimisme et l’espoir, remplaçant l’Espérance et la Résurrection) et du spiritualisme intégral (comme si nous étions des anges + manichéisme basé sur le dithéisme, comme si le bien et le mal étaient deux forces antagonistes et complémentaires qui s’équilibreraient l’une l’autre).
4) le primat de la subjectivité personnelle (la franchise, la sincérité, les rêves, les projets, la volonté, les sentiments amoureux, l’impression, la conscience) et l’idéologie du non-renoncement (Pour être libre, il ne faudrait renoncer à rien, ni même au mal et surtout pas à soi-même.
5) l’anticatholicisme, le satanisme et le noachisme (le remplacement de l’Homme par la nature et les animaux ; le retour au temps de Noé).
6) la promotion de l’hétérosexualité (toutes les différences sauf la différence des sexes dans le mariage et sauf la différence Créateur-créatures à travers Jésus et l’Église Catholique) et de l’homosexualité. J’ai développé dans Homo-Bobo-Apo pourquoi l’hétérosexualité était le pilier de la Franc-Maçonnerie mondiale.
C’est exactement cette idéologie que l’on retrouve chez Walt Disney et dans ses films :
1) « Quand on prie la bonne étoile » de Jiminy Grillon est la chanson-phare de l’Empire Walt Disney. Et la Fée bleue qui est priée est la fée Électricité. À ce propos, beaucoup de chaînes d’Union (rituel maçonnique appelé aussi égrégore) sont visibles dans les grands classiques Disney.
2) La toute-puissance de la conscience est parfaitement bien représentée par la figure de Jiminy Grillon, le cricket de « Pinocchio ». D’ailleurs, à l’issue de ce film, comme par hasard, le petit insecte reçoit à la place du cœur une médaille plaquée or (« Magnifique ! De l’or contrôlé ! » s’écrie-t-il).
3) Ce sont les valeurs d’amour, de paix, de justice, de respect, de tolérance, de vie, qui sont défendues par Disney. Mais pas du tout la paix divisante et crucifiante de Jésus. Et bien sûr, Jésus n’est jamais nommé par Walt Disney. Il est juste suggéré : « L’esprit d’amour, l’enfant qui naît, sont des trésors qu’il faut garder. Que la paix soit éternelle. » (cf. « Belle Nuit » de « La Belle et le Clochard ») De même que la Franc-Maçonnerie vise l’amélioration, le changement et la création de l’Homme par Lui-même, Walt Disney est obnubilé par l’amélioration humaniste : « Quand je vais faire un tour, je pense toujours à quelque chose qui ne va pas et à comment cela peut être amélioré. »
4) Il est difficile d’ignorer dans la cosmovision de Walt Disney la prévalence de l’onirisme, du rêve, de la volonté personnelle, de l’esprit d’enfance, sur la réalité. « Si vous pouvez le rêver, vous pouvez le faire. » « Tous nos rêves peuvent devenir réalité, si nous avons le courage de les poursuivre. »
5) Toute l’œuvre de Disney transpire l’ésotérisme, le noachisme et le satanisme. Quand on proposa à Walt de réaliser des films sur la religion, il refusa. Bien que baptisé chrétien (chez les protestants), il ne mettait pas les pieds dans les églises et ne pratiquait pas. En revanche, dans ses Silly Symphonies, il se réfère à la Bible, mais seulement pour s’intéresser à Satan, Hadès, ou bien l’Arche de Noé. Question Franc-Maçonnerie, Walt Disney faisait partie d’une loge franc-maçonne connue : Demolay. Il développa une véritable fascination pour la figure d’Abraham Lincoln, le maître des Droits de l’Homme et des Lumières aux États-Unis : quand son studio créa le premier personnage humain totalement fonctionnel d’audio-animatronic pour la foire internationale de New York (1964-1965), Walt Disney lui donna les traits d’Abraham Lincoln ! Et quand on regarde la Walt Disney Company, tout son fonctionnement et ses codes obéissent au fonctionnement et aux codes d’une obédience franc-maçonne : son noyau d’animateurs (que Disney a lui-même baptisé Les Neuf Sages) avec ses tables de la loi (les 12 principes de l’animation), les imagineers (planificateurs et ingénieurs de Disney), la prépondérance de la magie (blanche, rouge et souvent noire), la place des héros et des légendes, le lexique de la quête, l’invocation d’esprits (parfois des défunts, des marabouts, des génies, des feux follets, des demi-dieux), etc.
6) De plus en plus chez Disney, l’amour n’est plus relié à la différence des sexes, et encore moins au mariage, mais juste au culte de la diversité, des « libertés » (« Libérée, délivrée !!! ») et des différences en elles-mêmes. L’anticonformisme et le désir d’autonomie du héros le poussent à croire en l’auto-suffisance et en sa divinité individuelle qui se diluera dans un grand tout énergétique. Quant à l’homosexualité et à la transidentité, elles sont chaque fois plus visibles chez les personnages secondaires des films Disney.