Le sablier à trois temps de Fauchon


 

En prévision de mon prochain shooting photos pour la couverture de mon livre sur Joséphine pour laquelle je serai déguisé en ange (avec des ailes hihi), je cherchais un ou deux accessoires en rapport soit avec la Franc-Maçonnerie (équerre, compas, pyramide avec oeil, soleil et lune, Pavé Mosaïque…) soit avec l’alchimie (sablier, or, distillateur, tamis, creuset, alambics…). Et j’ai trouvé chez Fauchon – quelle horreur de nom de magasin lol – un triple sablier aux couleurs des 3 types de magies utilisées par Jo (magie blanche, magie rouge, magie noire)… et le plus drôle, c’est que j’apprends que ces sabliers au sable coloré calculent des temps d’écoulement différents selon les infusions de thés. J’ai donc découvert d’une part des « distillateurs/décantateurs alchimiques » en quelque sorte, et d’autre part des preuves « vivantes » du lien entre magie et chimie. Marrant, non ?

La société Caliméro « C’est trop injuste ! » (vidéo de Lorie Pester promouvant la congélation d’ovocytes)


 

Hier après-midi, je me trouvais à une célébration d’entrée en Carême à l’église saint Médard organisée pour les enfants du caté âgés de 8 à 11 ans. À un moment, le père Albert Gambart a posé une question à la jeune assistance sur l’injustice (« Qu’est-ce que l’injustice ? ») qui a suscité une réaction spontanée d’une gamine : « L’injustice, c’est quand on n’a pas tous la même chose. » Cette réponse m’a laissé songeur, et même intérieurement sidéré.
 

Nos mômes, tellement manipulés par les messages égalitaristes pro-droits et pro-chances-pour-tous que nous matraque la société communiste matérialiste, ne considèrent plus l’injustice comme le fait de faire le mal. Pour eux, un fait ou une chose deviendra « injuste » uniquement du fait qu’il/elle n’appartient pas à tous de manière identique… Et donc la justice, c’est à leurs yeux le conformisme ou la possession, le fait d’« avoir la même chose » que « les autres » et d’être traités tous pareils… sans penser une seule seconde qu’on peut être maltraités tous pareils, ou bien mal agir ensemble !
 

La comédienne Lorie Pester a bénéficié du même lavage de cerveau, visiblement. Dans cette vidéo pour COSMOPOLITAN, elle se fait la promotrice de la congélation d’êtres humains (elle prône la PMA, les FIV, et surtout la congélation d’ovocytes, la cryogénie), au nom de la lutte contre la maladie (l’endométriose) et surtout au nom de la pseudo « égalité hommes/femmes », de « l’égalité des chances d’avoir un enfant » (« droit à l’enfant »/« droit d’être père ou mère ») et de la lutte contre les écarts entre les classes sociales… sans penser une seule seconde à la manière (la caution d’un trafic humain) dont elle répare ces injustices (elle use elle-même de l’expression « C’est injuste ! »).
 

Ici, une injustice grave se superpose et s’opère au nom d’une « injustice » fausse ou naturelle ou mineure ou fantasmée (car l’égalité hommes/femmes n’existe pas, et heureusement : l’homme et la femme sont différents ; car la justice n’est pas la généralisation, la dépénalisation, l’autorisation massive ni la gratuité d’une pratique mauvaise telle que la conception programmée d’un enfant seul et sans père). Cette interview de Lorie passe en plus dans l’indifférence quasi générale comme une lettre à la Poste, limite comme un joli message de prévention et de lutte contre la pauvreté, la maladie, les disparités sociales, en faveur des droits des femmes et des mères. Mais où va-t-on ?
 

En ce moment, nos contemporains, pour ne plus se voir agir et ne plus porter de jugement moral sur leurs actes, manient et déforment le concept de justice. Ils vont qualifier d’« injuste » non pas les injustices réelles ni le mal qu’ils posent, mais le fait que la société n’autorise pas à tous de poser avec eux cet acte mauvais (c.f. ma vidéo sur le « mariage gay »). Et, par une séduction émotionnelle ou une victimisation touchante, ils justifient de pratiquer les injustices dont ils se croient les poignants dénonciateurs. Je pose donc à tous cette question basique, mais que tout le monde oublie : de quelle injustice on parle ?

Plan de mon futur livre sur Joséphine ange gardien !


 

Voici le plan complet de mon livre sur Joséphine ange gardien ! Et après, j’ai juste à relier les paragraphes entre eux, et ce sera fini !

 

INTRODUCTION

– Une étude qui étonnera/surprendra

– Des résistances inattendues

– Les deux thèses de ce livre : l’instauration de la Blockchain et de la religion solaire (hélicocentrisme)
 

AVANT-PROPOS

– La métaphore du sablier pour expliquer l’entreprise alchimique et maçonnique de Joséphine ange gardien
 

CHAPITRE I – LA RÉVOLTE DE L’ANGE (Se démarquer, marquer la distance)

a) Je suis mon père, je suis ma mère, je suis mon fils

– La famille angélique et adoptive avant la famille de sang !

– La famille chimique, technologique et électrique

b) Les conséquences fâcheuses de la virtualisation de la famille :

– Infanticide

– Parricide

– Matricide

c) Je suis l’Amour sans la différence des sexes (destruction du mariage), je suis un ange asexué

– Divorce

– Charge contre la différence des sexes

– Homosexualité

– Transidentité

d) Je suis moi, je suis ma propre volonté, je suis mon propre chef et Dieu

– Attaque contre les figures d’autorité

– Attaque contre les bourgeois

– Attaque contre l’Église Catholique

– Attaque contre Dieu
 

CHAPITRE II – ENFERMEMENT DANS SON SABLIER ALCHIMIQUE, SON « PROPRE » UNIVERS INTÉRIEUR, SA BULLE D’HERMÉTISME COSMIQUE, À LA RECHERCHE DE SES SOURCES D’INSPIRATION, DE SES « IDÉES CLAIRES », DE SA PASSION (Dire ce qui a marqué, prendre ses marques)

a) Un hermétisme contre un soi-disant autre « hermétisme »

b) Incognito (le culte du secret)

c) S’enfermer dans sa bulle (se reconnecter avec son histoire, sa mémoire morcelée)

d) Se reconnecter avec son cerveau (le dieu !), sa sphère de conscience

e) Se reconnecter avec la Nature (forces telluriques), le Vivant (faune et flore) et l’Univers (Cosmos, énergie de Vie, étoiles, Soleil) pour y puiser l’énergie électrique, solaire (héliocentrisme)

f) La pêche à la lumière et aux « idées claires » (de Descartes)

g) Se reconnecter avec sa passion (soi) et la genèse de celle-ci (la Connaissance, la gnose empirique), pour prendre conscience de son talent

 

CHAPITRE III – L’ÉCRITURE DU PLAN DE CONSTRUCTION (Marquer… des points, des notes, des symboles, des registres, le code, la main, le regard, avec des marqueurs invisibles ; marquer/tracer sa route)

a) Joséphine et ses personnages-copistes écrivent (tables de la loi, Code Civil interne, ordres de mission, diplômes, recettes, journal…)

b) Qu’écrivent les bêtes curieuses joséphiniennes ? (figures géométriques, plans, chiffres, code, données, captures d’écran et photos, preuves…)

c) Sur quoi (supports) les scribes joséphiniens écrivent-ils ? (planches, écrans, tablettes, portables ; sac Mary Poppins, cube, Blockchain et Bitcoin ; l’Humain-même ; main et front = la Marque de la Bête, le 666, les hiérogriffes et tatouages)

d) Pourquoi les scribes joséphiniens écrivent-ils (Connaissance absolue, omniscience, maîtrise du passé-présent-futur, solutions ; Main et Œil maçonniques ; marquer le temps, les Hommes, les cœurs et les esprits) ?

e) Être messager (média) et porter la lumière de la Connaissance aux Hommes
 

CHAPITRE IV – LA SORTIE DU TUNNEL DU SABLIER ET L’EXPLOSION EN FEU D’ARTIFICE COLORÉ (Se faire remarquer, marquer le coup, marquer l’Histoire)

a) Le laboratoire alchimique

b) La Passion : méthode principale du Discours de la Méthode de Joséphine (exprimer ses passions, ses rêves, et sa volonté individuelle)

c) Haine de la raison (science) ; place à l’émotion (débordante) et au vécu empirique de l’expression (raconter une histoire)

d) Combustible des sentiments amoureux

e) Combustible de la communication

f) La traque au secret (vu comme un mensonge) et la sommation à la Vérité (transparence, franchise, sincérité)

g) Combustible de l’aide et de la solidarité (communisme de l’individualisme)

h) Combustible de la fierté

i) Une Force « irrépressible »

j) Une explosion de sens colorée et carnavalesque (et inca !)

k) Combustible de la diversité (culte des différences), de l’originalité, de la nouveauté

l) L’apparent désordre… car maîtrise venant du chaos (Ordo ab chaos)

m) Le savant mélange : après l’euphorie des passions, la concentration et la recherche d’équilibre, d’ordre (rangement et réparation)

n) Passage de la porte
 

CHAPITRE V – ÉDIFICATION DE LA CRÉATURE AURIQUE (le Golem) ET DE LA CIVILISATION CHRISTIQUE (Cité d’or) (Marquer la Bête et les esprits, marquer d’une pierre blanche, marque la pierre ou le tissu, marquer son territoire, marquer Jésus)

a) La création d’or et d’électricité par le déplacement et le mouvement
 

b) La création d’Humanité immortelle (le Golem)

– Création de Nature humanisée (plantes, animaux-chimères)

– La Bête technologique humanisée (Frankenstein, objets vivants)

– Tissu-personne

– Pierre-personne
 

c) La création d’Amour (Magie rouge)
 

d) La création de la Cité, de la Civilisation christique, du Temple solaire

– Au travail !

– Les chantiers pharaoniques du dieu solaire

– Le Ciel (Là-Haut), c’est l’usine
 

e) La création de Divinité

– Déni de la finitude

– Le primat de l’optimisme / Deuxième chance / Pardon / Confiance en soi

– Hédonisme (coolitude et zen attitude)
 

CHAPITRE VI – LA CHUTE DU COLOSSE ANGÉLIQUE ET LUCIFÉRIEN AUX PIEDS D’ARGILE (Perdre ses marques, marquer le sol/la terre, marquer la fin)

a) Joséphine, feu démoniaque

b) Le brasier infernal du Cosmos et du Soleil

c) La décharge électrique luciférienne

d) Le côté obscur de la Force

e) Le réveil de la Bête « naturelle »

f) Le réveil de la Bête « technologique »

g) Joséphine est la Bête

h) Joséphine la sorcière

i) Le savoir bête (la caisse enregistreuse, la boîte noire ; l’assassinat de la culture ; l’assassinat du savoir-faire)

j) Actions magiques de Joséphine : des irréalités (elle ne fait pas des miracles ; elle est juste magicienne)

k) L’Ange exterminateur (la Justicière fournissant une fausse aide : aide légaliste puis aide magique)

l) La magie blanche ou rouge virant vers le noir (les coups de pute de Joséphine ; le mal que fait Joséphine ; le Bien par le mal ; la misanthropie homicide de Joséphine)

m) Joséphine, représentation du diable

n) Joséphine, le double narcissique (diabolos) qui fait chuter (Ange déchu)

o) La tour se fissure, la toile se déchire, les pierres crient

p) Joséphine, Prêtresse de la Mort (channeling avec les morts et les esprits)

q) Joséphine, guide vers l’enfer

r) Série eschatologique (annonçant la Fin des Temps)
 

CONCLUSION

– Joséphine, la vraie pute

– La série européenne antéchristique

Train maya


 

Sur ce logo, vous retrouvez exactement les 5 éléments formant la Nouvelle Religion mondiale : la Bête technologique arrivant au nom de la solidarité pour tous, de l’écologie, et de l’héliocentrisme (culte solaire) inca. C’est la thèse que je développe pour Joséphine ange gardien, également concernée par les Incas. Ça a l’air fou, mais c’est la vérité.
 

Même « pour leur bien » et « le bien de la société », le mariage des prêtres, c’est NON. Les femmes ne sont pas des choses !


 

Je rappelle aux « féministes » de tout poil qui s’enquièrent actuellement de caser au plus vite les prêtres catholiques célibataires pour soi-disant enrayer les abus sexuels sacerdotaux (parce qu’en réalité ces féministes détestent le mariage…) que : 1) les femmes ne sont ni objets ni des bouche-trous ; 2) la personne de Jésus existe vraiment et comble une vie au point qu’elle ne laisse pas de place à d’autres personnes que la communauté paroissiale qui L’incarne. Je sais que c’est difficile à comprendre ( = que les femmes ne sont pas des objets ; pas que Jésus existe), mais faites un effort.
 
 
 

Merveilleux complément de Koceila :
 

Émission Radio Courtoisie du 9 mars 2019 sur l’Ukraine, Goshn, Sodoma et Vatican II

Voici l’émission Le Journal de la Libre France animée par Anne-Laure Maleyre, diffusée le 9 mars 2019 sur Radio Courtoisie. Elle dure 3 heures et est en 2 parties. Dans la première partie, il y a 3 chroniques : d’abord celle de François Lejeune sur l’islam en Ukraine (30 min) ; puis celle de Pierre-Yves Rougeyron (du Cercle Aristote) sur l’Affaire Goshn (30 min… en duplex depuis un TGV !) ; et enfin la double chronique de Philippe Ariño (45 min) à propos d’une part de l’Unité comme Nouvelle Gouvernance mondiale et d’autre part du livre Sodoma de Frédéric Martel (sur l’homosexualité au Vatican). Enfin, en 2e partie d’émission, l’invitée est la youtubeuse Virginie Vota, dont la chaîne s’appelle Esprit Franc : récemment convertie au catholicisme, la jeune femme est sédévacantiste, se revendique de la FSSPX (Fraternité Saint Pie X), ne reconnaît pas François Bergoglio comme Pape et le juge « hérétique », s’oppose au Concile Vatican II (1962-1965). Tout le débat se centrera sur l’Église « conciliaire » et sur la supposée « invalidité » du Concile Vatican II… ce qui vaudra un échange plutôt musclé mais néanmoins fraternel.
 

Vous pouvez retrouver ci-dessous le script des fiches de Philippe Ariño sur ses deux chroniques (en les complétant avec Homo-Bobo-Apo).
 

 

L’UNITÉ POUR ELLE-MÊME COMME NOUVELLE GOUVERNANCE MONDIALE (10 min)


 

Je vous annonce l’arrivée du Gouvernement Mondial (vous savez, cette expression qui fait complotiste). Et je vous dis qu’elle est imminente.
 

Je m’en rends compte à ma petite échelle car je viens, après 3-4 contributions, de me faire virer d’un mouvement appelé Unité Nationale, inconnu du grand public vu qu’il n’existe qu’en suspension, comme un cloud internet, et qu’il n’a l’air de rien : il se présente comme un non-parti, un courant non-lucratif, alternatif, sans étiquette, sans candidat, sans réel programme, sans visage. Pourtant, ce mouvement a le vent en poupe en ce moment, et est en train de doubler tous les partis politiques en France (je dis bien TOUS : même Macron, Marine Le Pen et Wauquiez lui ont envoyé leurs vœux de Bonne Année et le courtisent !) car il incarne – à sa grande surprise – la future et prochaine Gouvernance Mondiale, centrée sur le concept flou d’unité. Et qui, aujourd’hui, peut s’opposer au rouleau compresseur « apolitique » et « anational » de l’UNITÉ ? Désormais, plus personne… à part Jésus et Marie.

 

C’est inéluctable : notre monde se dirige unanimement vers la construction d’un Gouvernement d’Unité internationale. Pour leur survie, les nations, les partis politiques et les religions institutionnelles ne pourront pas y couper. Pile au moment où s’effacent les frontières géographiques au profit des frontières virtuelles et émotionnelles, ce mouvement apparaît comme LA solution. Et je crois qu’il sera suivi par tous les pays du Globe. Une redistribution et une refonte complète du pouvoir est en train de se produire : les gouvernants politiques, en tant que souverains nationaux, sont éjectés les uns après les autres. Comme l’annonce saint Jean dans l’Apocalypse, seuls resteront 10 rois autour de l’Antéchrist à gouverner la planète (des rois irréductibles tels que la Russie par exemple : je vois mal Poutine se plier au concert de l’Europe des Nations). Les autres pays continueront d’exister, certes, mais par pur nominalisme et folklorisme (bref, juste pour le pain et les jeux : foot et tourisme). Et ce mouvement d’Unité est inattaquable puisqu’il n’a pas de chef identifié, abrite apparemment tout le monde, n’a pas d’ambition d’argent ni de pouvoir, pas de visées électorales ni politiciennes, prétend tout accepter et tout accueillir (y compris l’inacceptable !), faire de la place à chacun, être une grande Maison Commune où tout le monde aurait sa place et où personne ne serait ennemis. La devise spéculaire et narcissique de l’Unité Nationale (et finalement Internationale), c’est « Notre idéal : défendre le vôtre ! ». Autrement dit, c’est celle du serpent génésique dans la Bible : contenter tout le monde et dire à chacun « Ton désir individuel est notre ordre et notre roi. Tu seras comme un Dieu et tu seras ton propre chef. Ta volonté et ta perception individuelles sont reines. » La règle qu’ils arborent fièrement comme une loi intangible et juste, c’est l’auto-détermination : tu as carte blanche* ! (* … à partir du moment où tout ce que tu demandes, tu ne te l’imposes qu’à toi-même). Et l’interdit tacite, c’est la recherche et la proposition d’une Vérité unique universelle et d’un chef clairement identifiable en la personne de Jésus.
 

Ma rupture avec Unité Nationale serait arrivée tôt ou tard. Car je savais qu’un jour ou l’autre, on allait se friter sur la question centrale de l’Unité. Que je sois catho, homo, continent, et même opposé au « mariage gay », passe encore (et même très bien ! : c’est exotique, c’est figure puissante de diversité, de changement, de personnalité, de dissidence et de singularité)… mais que je me fasse le promoteur de l’universalité de la divinité de Jésus et que je défende l’Unité autour de Lui et non l’Unité en soi, là, Vade retro !! Que je fasse le recoupement entre leur mouvement et la Franc-Maçonnerie antéchristique – car tel est vraiment le cas (il y a plein de francs-maçons parmi les contributeurs… et j’ai rappelé à toutes fins utiles aux fondateurs d’Unité Nationale que dans le roman Le Père Elijah de Michael O’Brien le Gouvernement Mondial fondé par l’Antéchrist s’appelait « Unitas ») m’a valu un procès verbal en haute trahison ! Tu as le droit de croire en qui tu veux, tu peux même professer que Jésus est Dieu, tu as le droit de t’exprimer publiquement et d’exister tel que tu es, ta croyance ne sera pas remise en question… À PARTIR DU MOMENT OÙ TU LA CIRCONSCRIS À TA SEULE SUBJECTIVITÉ, que tu la fais exclusivement tienne, et que tu ne la présentes pas comme supérieure et universelle. Ces gens-là, au demeurant particulièrement ouverts, n’accueillent le catholicisme que comme un particularisme individuel, un folklorisme de diversité(s) qui ne doit surtout pas dépasser les autres particularismes. Leur ennemi n°1, c’est l’UNIVERSALITÉ DE LA DIVINITÉ DE JÉSUS. Ils tolèrent que nous soyons catholiques à partir du moment où nous privatisons cette croyance, et à la condition que nous nous en fassions détenteurs et que nous la désuniversalisions. Si nous commençons à leur dire que l’universalité de la divinité de Jésus ne nous appartient pas plus à nous qu’à eux mais qu’en revanche elle les concerne et leur est aussi offerte (car Jésus aime tous les Hommes et est le Dieu unique de tous les Hommes sans exception), si nous soutenons que cette divinité universelle dépasse la croyance personnelle et qu’elle existerait même sans cette dernière, que Jésus est notre unité à tous, là, ça ne passe plus du tout ! On est traînés en procès de fondamentalisme. On a le droit d’être cathos ; mais on ne peut pas être TOUS cathos, ni appelés (au nom de l’Amour universel de Jésus) à le devenir. C’est inconcevable, pour eux !
 

Pourquoi je vous parle de tout ça ? C’est pour nous avertir de la puissance de frappe de ce mouvement. Car je suis malgré moi un cas d’école, et de surcroît aux avant-postes : s’ils m’ont accueilli moi (qui suis pourtant très impopulaire pour n’importe quel média : me laisser m’exprimer, c’est courir le risque de salir un parti, une revue ou une chaîne toute entière, et faire passer un groupe pour prosélyte, homophobe, fondamentaliste, haineux, dangereux, bizarre), c’est vraiment qu’ils peuvent aller très très loin dans l’audace et l’acceptation de qui vous êtes. Je vous le dis : en apparence, ils acceptent vraiment tout le monde ! Même les criminels ou ceux qui sont associés à ces derniers. C’est dire s’ils rassurent et vont plaire. Et que cette apparente liberté ou « carte blanche » séduira je pense quasiment tout le monde, y compris les responsables de culte soucieux de leur sécurité et de ne pas voir leur Église-Institution sombrer, y compris les profils les plus atypiques et outsiders dans l’Église, qui se diront : « Eh ben ma foi… ce mouvement ne me correspond pas exactement car il défend mes ennemis ou intègre des gens aux antipodes de mes croyances, il ne défend pas la primauté du Christ, mais bon, il a au moins le mérite de me laisser exister, de respecter ma foi et mes croyances, de défendre la culture et la civilisation chrétiennes, de parler de Jésus en des termes positifs, et de me laisser libre de dire ce que je pense, sans censure et sans jugement… donc faute de mieux, je m’y conforme et je consens à ses limites, j’accepte de ne pas lui reconnaître de chef clairement identifiable. » Beaucoup de catholiques (en particulier ceux qui sont civilisationnistes, royalistes, traditionalistes, ou dits « intégristes », tous les mécontents de l’Église ou du Pape François mais quand même attachés à l’Église) vont se laisser séduire pour ce mouvement car ce dernier se présente justement comme une dissidence qui accueillera même les anticonformistes et les brebis diabolisées (ou dites « fascistes ») : Marine Le Pen, avec son mouvement Rassemblement National, le démontre parfaitement. Elle aussi, elle est pour l’unité en elle-même, pour une unité catho-friendly (même si, dans les faits, et officieusement, elle est anti-cléricale et antéchristique) !
 

Dans le Court Récit sur l’Antéchrist (1900) de Vladimir Soloviev, lors du « concile » que l’Antéchrist organise à Jérusalem, dans le vaste Temple de l’Unité de tous les cultes, la très grande majorité des fidèles et du Clergé se laisse séduire par le Gouvernement Mondial de l’Antéchrist et abandonne le Christ. Presque tous les cardinaux et évêques ainsi que la majeure partie des moines et des laïcs rejoignent l’Empereur sur son estrade. Car ce dernier, afin de dissiper toutes les divisions entre chrétiens, et surtout afin de corrompre chacune des trois délégations chrétiennes (catholiques, protestants et orthodoxes), leur a offert de somptueux cadeaux à leur ressemblance : il promet aux orthodoxes la création à Constantinople d’un musée mondial de l’archéologie chrétienne, destiné à promouvoir la connaissance des icônes et de la sainte liturgie, il promet aux protestants la création d’un institut d’études bibliques mondial voué à la recherche sur l’Écriture Sainte, il promet au Pape son rétablissement à Rome, « à la condition qu’ils le reconnaissent tous comme leur unique défenseur et protecteur ».
 

Pour ne pas céder à ce rouleau compresseur de l’Unité anticonformiste, je vous demande donc avec insistance de ne pas lâcher le Christ, et surtout pas au nom de l’Unité qu’il incarne. Le Christ est l’Unité, mais l’unité n’est pas le Christ. Je vous laisse méditer sur cette phrase.

 
 

SODOMA DE FRÉDÉRIC MARTEL : LIVRE NÉO-NAZI ET HOMOPHOBE MAIS CERTAINEMENT PAS ANTICLÉRICAL (20 min)

Sans transition, parlons maintenant du big bazar actuel dans l’Église Catholique autour des scandales sexuels. Désolé, je n’ai que 20 minutes pour aborder ce gros gros sujet. Et je ne vais même pas pouvoir m’appesantir sur les cas – pourtant très intéressants – de la condamnation à 6 mois de prison avec sursis du cardinal Barbarin, ni des religieuses violées par des prêtres. Je vais me concentrer uniquement sur la sortie remarquée du livre Sodoma de Frédéric Martel, présentant le Vatican comme un repaire insoupçonnable d’homosexualité. J’ai 4 « punch-lines » comme on dit aujourd’hui, c’est-à-dire « révélations coups-de-poing » à vous donner (je n’aurai pas le temps de faire plus) :
 

Première punch-line : Ce livre est homophobe, et non anticlérical. Je connais personnellement Frédéric Martel (suite au Rose et le Noir) : je postule que son livre est une entreprise de vengeance secrète dirigée non contre l’Église (contrairement à ce qu’en caricaturent les médias cathos), ni même contre le célibat consacré, mais contre sa propre pratique sexuelle et contre la communauté homosexuelle : ses descriptions dépréciatives du « milieu homo » et de ses coups bas (p. 22), sa féminisation des prélats, sa haine des personnes homosexuelles « non assumées » selon lui, etc. J’ai vu combien Martel a souffert d’être considéré comme un traître à la Cause LGBT. Son livre, malgré les apparences, n’est pas anticlérical. Il est plutôt revanchard et (malgré les apparences) homophobe. Au moins déjà vis à vis des personnes homos continentes. On le lit entre les lignes : Martel règle des comptes avec ses pairs homosexuels, en se servant des prêtres comme chair à canon. Cette homophobie gay friendly de Martel, personne ne l’a identifiée ni dénoncée. Elle est pourtant là.
 

Deuxième punch-line : Ce livre est néo-nazi. La présomption d’homosexualité généralisée sur la quasi totalité des prêtres (ou, ce qui revient au même, la présomption d’homophobie intériorisée : Martel avance le chiffre de 80 % pour dire que le Vatican est un repaire ou un vivier d’homosexualité) était déjà une accusation et une manœuvre courante des Nazis pour discréditer l’Église et ses serviteurs : Heinrich Himmler, dans son discours du 18 février 1937 à Bad Tölz, disait ceci : « J’estime qu’il y a dans les couvents 90 ou 95 ou 100% d’homosexuels. […] Nous prouverons que l’Église, tant au niveau de ses dirigeants que de ses prêtres, constitue dans sa majeure partie une association érotique d’hommes, qui terrorise l’humanité depuis mille huit cents ans. » Les anti-fascistes et anti-homophobie sont particulièrement fascistes et homophobes. « Anti » est un miroir.
 

Troisième punch-line : les deux concepts idéologiques sur lesquels se basent ce livre sont erronés. Il y a 2 mensonges de fond dans Sodoma que personne ne dénoncera alors qu’ils sont énormes, et qu’ils sont les preuves de la fumisterie qu’est cette étude (bien plus encore que la réfutation des sources de l’auteur ou les procès en déformation des faits) : 1) réduction de la continence à l’abstinence (Martel définit la continence comme « contre-nature » – ce qui est en partie vrai puisqu’elle est surnaturelle – et « criminelle » – ce qui est faux -, p. 16) ; 2) réduction de l’homophobie à un refoulement de l’inclination homosexuelle, au fait de ne pas l’« assumer » ; alors que je prouve que la véritable homophobie est surtout le coming out et la pratique homosexuelle, donc une homosexualité « assumée » dans la caricature de soi et dans le rejet effectif de la différence des sexes.
 

Quatrième punch-line : Avec Sodoma, les catholiques reçoivent leur propre boomerang d’homophobie à la figure. Les médias catholiques sont responsables de ce débordement : de leur part, déni d’une réalité (parmi les catholiques, culture du démenti ou du procès d’intentions) alors que l’homophobie au sein de l’Église est réelle et que la pratique majoritaire de l’homosexualité dans le clergé est réelle (mon cas personnel est significatif : j’ai été désavoué par quasiment tous les cardinaux et évêques, et jamais accueilli par le Pape. C’est dire si effectivement, la défense de la pratique homo est massive dans le clergé !). Ça vous ferait mal de dire « OUI, il y a de l’homophobie de notre part et OUI il y a une pratique homosexuelle sacerdotale massive du fait de cette homophobie » ?? De tendre l’autre joue, au lieu de systématiquement démentir, ronchonner et vous victimiser ?? Par ailleurs, j’ai fait exactement le même travail que Martel sur l’homosexualité sacerdotale, et ce, depuis bien plus de 4 ans (ça fait 15 ans que je parle d’elle). Mais le monde et les catholiques préfèrent leurs ennemis à leurs amis… Ça fait froid dans le dos.

Miracle ce midi à l’église Saint-Médard à Paris (transmission de pensées avec le père Gambart)


 

Je viens d’assister à un miracle ce matin à la messe de Saint-Médard à Paris. Et je ne blague pas.

 

Juste après avoir écouté l’Évangile sur les 3 tentations que le diable inflige à Jésus au désert (Lc 4, 1-13), j’y ai reconnu exactement l’image du sablier alchimique de Joséphine ange-gardien (la tentative de transformer le coeur de chair de l’Homme en coeur de pierre, la tentative de posséder le Monde et ses richesses, la tentative de voler comme Icare en pensant que notre statut d’anges-gardiens nous empêchera de percuter la terre). Et je me suis dit que j’allais en parler dans mon 7e chapitre, en rentrant à la maison.

 

Mais quelle ne fut pas ma surprise d’entendre deux minutes après, mon interprétation et intuition intérieures exprimées à l’identique dans la bouche du père Albert Gambart, qui dans son homélie, sans me consulter, et sans avoir du tout bossé sur l’alchimie comme moi, a souligné les 3 formes existantes de tentations diaboliques en se basant sur l’alchimie ! :
 

1) LA « TENTATION DE DOMINER LA MATIÈRE » et de satisfaire tous ses désirs (je répète mot pour mot le père Gambart) : « Si tu es Fils de Dieu, ordonne à cette pierre de devenir du pain. » dit le diable dans le passage. Le père Gambart a dénoncé, je cite, la tentation en nous de dire « Je suis puissant, je peux changer le plomb en or ! »

 

2) LA « « TENTATION DE DOMINER LES AUTRES » en se prosternant devant les idoles ET DE POSSÉDER LE MONDE (or, villes) : « Je te donnerai tout ce pouvoir et la gloire de ces royaumes, car cela m’a été remis et je le donne à qui je veux. Toi donc, si tu te prosternes devant moi, tu auras tout cela. » dit le diable à Jésus.

 

3) LA TENTATION DE POSSÉDER ET DE DEVENIR DIEU, de Le dominer pour préserver ses intérêts, la tentation de voler, d’oublier que nous sommes poussière, et de se jeter du haut du sablier en pensant qu’on ne tombera pas : « Si tu es Fils de Dieu, d’ici jette-toi en bas ; car il est écrit : ‘Il donnera pour toi, à ses anges, l’ordre de te garder’ ; et encore : ‘Ils te porteront sur leurs mains, de peur que ton pied ne heurte une pierre.’ » dit encore le diable à Jésus.

 

Une fois la messe passée, je discute sur le parvis de l’église avec le père Gambart, en lui partageant la correspondance parfaite entre ma pensée et la sienne au moment de l’homélie. Mieux qu’une télépathie. Il en rit aussi, tout en m’avouant très sérieusement que nous sommes vraisemblablement « connectés » par l’Esprit Saint. Il m’a avoué que l’idée de parler du plomb lui est venue au moment où il m’a regardé dans l’assemblée ! haha.

 

Moi, je dis juste : l’Esprit Saint existe, et fonctionne mieux qu’un téléphone entre le père Gambart et moi, et finalement entre Dieu et tous les Hommes !
 
 

Prière « Jésus, tu fais chier »

(Écrite après la confession de ce matin, je précise.).
 
 
 

Jésus, franchement, tu fais chier.

 

Tu fais chier parce que, étant durablement homosexuel, tu m’accules au célibat si je veux être pleinement heureux et sauvé. Je n’ai pas d’autre alternative.

 

Tu fais chier parce que tu fais foirer toutes mes perspectives affectives, mes étreintes câlines, mes « couples », mes tentatives amoureuses (y compris celles qui étaient prometteuses, respectueuses et n’étaient même pas des « plans cul » !). Parce que je suis tout à toi. Exclusivement, indéfectiblement et sans partage.

 

Tu fais chier parce que tu es plus fort que tous mes prétendants, mes aventures et coups de coeur. Tu les écartes très vite – même les meilleurs – et la partie pour eux est inégale, perdue d’avance.

 

Tu fais chier parce qu’en matière de relations amoureuses tu me décrédibilises totalement aux yeux des autres et même à mes propres yeux. Je me transforme en calamité, en « honteuse » dévote sous Prozac (autrement nommé Confession), en bourreau de coeurs qui humainement ne méritent pas mes atermoiements, ou en cadeau empoisonné. Avec toi, je cesse définitivement de croire en moi. Je ne me crois plus et on ne me croit plus. Tout ça à cause de toi !

 

Tu fais chier car je me rends compte que je ne pourrai vraisemblablement jamais aimer (conjugalement, homosexuellement, sentimentalement et de manière privilégiée : ça ne pourra être qu’en mode invisible, spirituel, et qu’avec toi). Je dois me rendre à l’évidence : je ne tiens pas plus d’une semaine dans la pratique homo. Et « j’admire » la ténacité – ou la folie anesthésiée ! – des cathos homos qui ont la force de perdurer/supporter le compromis, qui peuvent articuler pratique amoureuse et pratique religieuse sans être trop tiraillés : je ne sais pas comment ils font. Moi, je suis une vraie girouette quand je me force à croire en l’ « amour » homo et que je m’éloigne de la continence – qui est tout sauf un opium.

 

Tu me fais chier parce que tu me fais passer aux yeux des mondes païen et ecclésial pour un gars compliqué, torturé, indécis, lunatique, incasable, hypocrite, méchant, homophobe, dangereux, usant, qui n’a pas toujours eu la cohérence de couper court avec les applis de rencontres ou d’avoir un chemin exemplaire et droit, alors que, une fois tout donné à toi, je redeviens simple, fiable, cohérent, joyeux et reposant.

 

Tu fais chier de m’être autant essentiel, indispensable et de t’imposer insolemment comme maître. J’ai l’air d’un esclave enchaîné à une superstition. Super, la réputation !

 

Tu fais chier parce que tu es implacablement et incorrigiblement victorieux de mon coeur : pas seulement le premier, mais l’Unique qui prend toute la place.

 

Je ne te remercie pas ! Je me force à te demander pardon. Je te supplie de me foutre éternellement ta Paix. Raboule ton Eucharistie, dépêche-toi de vivre ta seconde Passion, d’expirer, de vivre ton ultime et définitive Résurrection à la vue de tous, et qu’on en finisse. J’attends juste que ma vie passe vite. Alors accouche !
 
 
 

14e entretien-vidéo avec Nathalie Cardon (avril 2018) « Homosexualité, la priorité niée dans l’Église »

 

Nouvelle vidéo (d’actualité) sur l’homosexualité en tant que priorité niée dans le monde et dans l’Église. Vous pouvez retrouver le court article écrit, mais également le lien vers mon livre Homosexualité, la priorité niée.
 

En compléments de cette vidéo, voici aussi un lien vers mon livre Homo-Bobo-Apo entièrement consacré à la Nouvelle Religion mondiale. Vous pouvez également retrouver toutes les autres vidéos tournées avec Nathalie Cardon : vidéo 1 sur Macron aux Bernardins, vidéo 2 sur La Manif Pour Tous, vidéo 3 sur la transidentité, vidéo 4 sur la bisexualité, vidéo 5 sur Demain Nous Appartient, vidéo 6 sur les établissements scolaires, vidéo 7 sur les groupes pastoraux d’accompagnement, vidéo 8 sur Mylène Farmer et la Bête, la vidéo 9 sur le Synode des jeunes, la vidéo 10 sur la Bête Hétérosexualité, la vidéo 11 sur la Bataille d’Armageddon, la vidéo 12 sur l’émission The Voice, la vidéo 13 sur la Réacosphère (1ère partie ; 2e partie) ; la vidéo 14 sur l’homosexualité priorité niée; et la vidéo 15 sur la Honte.

Affaire Barbarin : tu es coupable du crime que tu n’as pas commis


 

Je me répète, mais maintenant, la « Justice » française obéit de plus en plus aux fantasmes. On le voit dans l’affaire du cardinal Barbarin qui vient d’être condamné à 6 mois de prison… mais c’était déjà le cas pour le procès pour homophobie de Marc-Yvan Teyssier. Ces hommes ne sont pas punis pour les faits qu’ils auraient commis : ils trinquent pour les faits que d’autres personnes ont posés à leur place et qu’ils auraient « laissés faire » et « encouragés » (donc quasiment commis), bref, pour les fantasmes/les conséquences excessivement attribués à leurs paroles et à leurs actes, ou plutôt ici non-actes. Je sais bien que les péchés par omission existent, mais quand même ! Beaucoup de nos magistrats ont quitté le réel pour rejoindre l’émotionnel fantasmatique. Désormais, dans nos tribunaux, sont traités en procès des crimes-bidon se superposant aux vrais crimes (crimes pédophiles, viols, suicides, etc.), et portant des noms de la novlangue manichéenne surréagissante : « incitation à la haine », « préjudice d’angoisse ou moral », « injure publique » « provocation à la haine », « non-dénonciation », etc. Tu es jugé coupable d’un acte que tu n’as pas posé, mais que tu connaissais inconsciemment pendant qu’il était posé, et que tu aurais pu/voulu inconsciemment poser. Mais bien sûr… (Ça fait beaucoup de « inconsciemment » !).