Risposta a Giorgio Ponte


 

È assurdo! Siamo omo E gay! Giorgio, sei finalmente come tutti gli omosessuali, che dicono di essere ipocritamente « omo ma non gay » (gli omosessuali borghesi Dolce & Gabbana) per distinguersi dall’homo ambiente, dividerlo a metà, méttersi a posto una rispettabilità e giustificare una forma di omofobia. Non hai capito niente ! Io sono homo o gay (e in particolare un uomo e Figlio di Dio). Anche tu ! Smettila di seguire la neolingua Courage o Cardinale Sarah!

2e entretien-vidéo avec Nathalie Cardon (avril 2018) : « La Manif Pour Tous : le désastre non-identifié par les cathos »

L’heure du bilan sur le « mariage gay » et La Manif Pour Tous (LMPT) a sonné. Voici une nécessaire interview-vidéo qui revient sur la mobilisation contre la Loi Taubira, et qui prouve que LMPT a bien été homophobe. Merci de la visionner avec attention et de la partager.
 

 

À l’époque, en 2013, plus comme une demande pressante que comme une réelle conviction intime, je disais sur les plateaux télé et radio, pour sauver La Manif Pour Tous du naufrage que je devinais, et aussi pour rassurer les catholiques et les encourager à parler quand même d’homosexualité, que « LMPT n’était pas homophobe ». Je dirais l’inverse aujourd’hui. La Manif Pour Tous a été et reste un mouvement homophobe, qui n’a pas traité du « mariage » gay, qui a refusé d’écouter les personnes homosexuelles, et qui n’a pas compris l’importance de l’homosexualité dans le débat public international et ecclésial. Je suis toujours convaincu qu’il fallait s’opposer à cette loi gay friendly ET homophobe… mais pas comme ça a été fait. Et le pire est devant nous puisque l’anticléricalisme mondial se choisit déjà l’homosexualité et LMPT comme alibis pour attaquer les catholiques.
 

Je reviens donc avec mon amie journaliste Nathalie Cardon sur le traumatisme qu’ont été et que constitueront les Manifs Pour Tous dans un futur proche. Le visionnage de cette interview est urgent. Il est de votre responsabilité d’en faire quelque chose. Merci pour ceux qui le comprendront.
 

N.B. 1 : Pour ceux parmi vous qui veulent compléter ou creuser le sujet, vous avez l’article correspondant à cette vidéo (« Pourquoi La Manif Pour Tous est un vrai désastre »), ainsi que les autres vidéos lourdaises : vidéo 1 sur Macron aux Bernardins, vidéo 2 sur La Manif Pour Tous, vidéo 3 sur la transidentité, vidéo 4 sur la bisexualité, vidéo 5 sur Demain Nous Appartient, vidéo 6 sur les établissements scolaires, vidéo 7 sur les groupes pastoraux d’accompagnement, vidéo 8 sur Mylène Farmer et la Bête, la vidéo 9 sur le Synode des jeunes, la vidéo 10 sur la Bête Hétérosexualité, la vidéo 11 sur la Bataille d’Armageddon, la vidéo 12 sur l’émission The Voice, la vidéo 13 sur la Réacosphère (1ère partie ; 2e partie) ; la vidéo 14 sur l’homosexualité priorité niée; et la vidéo 15 sur la Honte.
 

N.B. 2 : Pour commander mon livre Homo-Bobo-Apo ou l’écouter en audio, c’est ici.

Le Pape n’aurait pas été gay friendly?

Cf. Voir aussi mon autre article sur le limogeage des 34 évêques chiliens.
 

 

À ceux parmi les catholiques qui se victimisent en ce moment, hurlent à la désinformation par rapport aux propos du Pape concernant l’homosexualité (j’avais d’ailleurs annoncé depuis longtemps que le Pape François serait attaqué sur ce sujet précis, et non tant sur la pédophilie…), je leur réponds que c’est quand même probable que ses propos aient été « gays friendly », c’est-à-dire pro « identité » homo (au mieux), pro « amour » homo (au pire).
 

Il faut oser regarder la faiblesse argumentative du Pape et ses maladresses objectives par rapport à l’homosexualité. Je ne sais pas s’il a dit à ce jeune homme « Dieu t’a fait comme ça, et il t’aime tel que tu es ». Ce qui est sûr – car c’est filmé -, c’est que le Pape François n’a pas pris toute la mesure de la souffrance et de l’irréalité de la condition/ »identité » homo. Dans l’avion de retour des JMJ de Rio (ok, ça date un peu, mais quand même : ça reste une ânerie), il a déclaré : « Le problème n’est pas cette tendance. Le problème, c’est d’en faire du lobbying. » C’est faux. La tendance est déjà un problème. Quand bien même elle se s’actualise pas, ne se pratique pas, ne se politise pas. Et ça, il ne l’a pas dit. Donc je ne crois pas que le mec homo ait tant déformé que ça les propos du Pape, malheureusement.
 

Ce petit événement médiatique ne doit pas nous paniquer. C’est écrit et c’est bientôt la Fin des Temps. Nous devons aimer le Pape tel qu’il est, voir que c’est lui aussi un pécheur (comme nous), et l’aider à l’être moins, sans nous draper dans la victimisation ou la révolte antipapale.

Le cardinal Sarah est bien franc-maçon et obéit à un christo-centrisme luciférien


 

Deux ans après sa visite à Chartres, le cardinal Sarah récidive. Il a à nouveau servi la même soupe aux catholiques traditionalistes et aux scouts d’Europe, qui ont avalé comme du petit lait son discours radical et guerrier inconsistant. C’était il y a 3 jours au pèlerinage de Chartres, lors de la messe de la Pentecôte. Les catholiques n’y voient que du feu puisque le cardinal parle de tout ce qui a l’air catholique : la Croix, l’Eucharistie, Jésus, la Vierge, les prêtres, l’Esprit Saint. Il salue même le Pape François à la fin de son homélie. Discours très bien huilé.
 

Oui. Il y a un vrai problème dans son homélie, et plus largement dans sa conception du Christ : il fait de Jésus une ampoule, une lumière (lui dira « LA Lumière »). Or, ceci ne sera vrai que dans l’ordre de l’éternité et de la Parousie. Avant, le Christ est mêlé aux ténèbres, au point de s’y identifier. D’un point de vue chronologique, temporel, Jésus n’apparaît pas encore dans l’éclat lumineux de sa Gloire. Il est même mélangé à la boue, au péché, à l’obscurité, à l’ignominie de la Croix des coupables : « Dieu l’a fait péché pour nous. » (2 Co 5, 21) La Lumière de Jésus n’a donc rien à voir avec l’évidence spirituelle et éblouissante que beaucoup d’éclaireurs lancés sur les routes du Martyre Catholique par le cardinal rouge voient en elle avec des étoiles jansénistes et conquérantes dans les yeux. La dialectique lumière/ténèbres du cardinal Sarah, même si elle rassure car elle a l’air clinquante, dynamique, vigoureuse et christocentrée, est en réalité très simpliste, binaire, manichéenne, luciférienne. À l’entendre, il y a ceux qui appartiennent à la Lumière (Jésus), c’est-à-dire lui et ceux qui l’écoutent, et puis les autres, ceux qui sont enténébrés dans l’obscurantisme post-moderne occidental, et qu’il faut d’urgence aller convertir et éclairer. L’égaré, à ses yeux, c’est toujours l’autre. Jamais lui ! Au fond, le cardinal Sarah déteste le monde, notre époque, et nos contemporains, sous le prétexte pourtant très johannique que nous sommes dans le monde mais pas DU monde : « N’aimez pas le monde, ni ce qui est dans le monde ! » ; « Nous vivons dans ce monde de tumulte, de laideur, de tristesse ».
 

Le cardinal Sarah déroule dans son homélie la plupart des 12 obsessions de la Réacosphère que j’ai développées dans mon article sur le sujet. Par exemple l’obsession pour la lucidité, la Vérité et la Réalité (« Il faut être lucide et réaliste. », « Chemin de la Vérité). On retrouve aussi chez lui l’obsession millénariste et civilisationniste aussi pour « la Force » (mot qu’il répète plusieurs fois : « Vous, les jeunes, vous êtes FORTS ! La Parole de Dieu demeure en vous ! »), autrement dit pour l’énergie et la puissance.
 

De plus, le cardinal Sarah reprend à son compte les trois champs lexicaux les plus courants de la Franc-Maçonnerie (lumière-textile, architecture, et humanisme/spiritualisme intégral) contre laquelle il croit pourtant s’opposer : « Chers pèlerins de France : regardez cette cathédrale. Vos ancêtres l’ont construite pour proclamer leur Foi. Tout, dans son architecture, sa structure, ses vitraux, proclament la joie d’être sauvé et aimé par Dieu. » ; « Toi, Peuple de France, réveille-toi, choisis la Lumière, renonce aux ténèbres ! » ; « La liturgie ne doit pas être une occasion de déchirement. » ; « Le Christ est notre Orient, notre Tout, notre unique horizon. » ; « Laïcs engagés dans la vie de la Cité », « Cher Peuple de France, ce sont les monastères qui ont fait la civilisation de ton pays. Ce sont les personnes – les hommes et les femmes – qui ont accepté de suivre Jésus jusqu’au bout, radicalement, qui ont construit l’Europe chrétienne. Parce qu’ils ont cherché Dieu seul. Ils ont construit une civilisation belle et paisible, comme cette cathédrale. », « Peuple d’Occident, retournez à vos racines ! Retournez à la Source ! Retournez au Monastère ! », etc. On a la totale !
 

Là où j’identifie le plus la Franc-Maçonnerie dans le discours du cardinal Sarah, c’est dans sa révolte et son esprit conquérant. En effet, le catholicisme est fondé sur le renoncement (à soi, au mal). Or le cardinal appelle beaucoup, à l’instar du monde, au non-renoncement, à la désobéissance, à la rébellion, à l’opposition : « N’ayez pas peur ! Ne renoncez pas ! » ; « Soyez de ceux qui prennent la direction opposée ! Osez aller à contre-courant ! ». Il glorifie également la franchise, l’entièreté (« Dites à Dieu un ‘Fiat’ sans condition. » ; « Quand Dieu appelle, Il est radical. Il nous appelle tout entiers, jusqu’au don total ! »), ainsi que la sagesse, l’intelligence (sagesse divine en apparence… mais d’une manière si humaine et zélée qu’elle finit par ressembler à la sagesse humaine défendue par Lucifer, ange qui brille par son intelligence, et qui a voulu précisément remplacer l’Amour par l’intelligence) : « Vous, parents, Dieu nous a fait gardiens intelligents de l’ordre naturel ! » Par ailleurs, la Franc-Maçonnerie vénère la nature. C’est exactement ce que fait le cardinal, même si lui le fera au nom d’une « nature-création de Dieu », d’un familialisme anti-idéologies (Gender) : « Nous devons rejeter ce monde des idéologies qui nient la Nature humaine et détruisent les familles ! » ; « Vous avez vaincu le Mauvais. Combattez toute loi contre-nature que l’on voudrait vous imposer ! Opposez-vous à toute loi contre la Vie et contre la Famille !.
 

Au bout du compte, le cardinal Sarah ne voit pas Jésus comme le crucifié, le faible, mais comme un monument humain victorieusement lumineux à ériger et à célébrer par ses propres actions de vénération muette et « humble » en son honneur. Il en parle comme d’une force énergétique dont il veut souligner, par son exhortation et sa poigne, toute la magnificence et la hauteur (« le souci premier de la Gloire de Dieu »), il en parle comme d’un bâtiment, comme d’un objet et comme d’un esprit tout-puissant. Il évoque « la Grandeur de Dieu », souligne la supériorité du statut sacerdotal, salue plus le cérémonial matérialiste et cultuel de vénération de la Divinité que la Divinité elle-même (« Frères, aimons ces liturgies qui nous font goûter la présence silencieuse et transcendante de Dieu. » ; « La liturgie est le lieu où l’Homme rencontre Dieu face à face. La liturgie est le moment le plus sublime où Dieu nous apprend à reproduire en nous l’image de son fils Jésus-Christ. »). Par exemple, il insiste beaucoup sur la sobriété et la codification du culte (« avec noble simplicité, sans surcharge, sans esthétique factice et théâtrale »), réclame « une célébration liturgique recueillie, pleine de respect, de silence, et empreinte de sacralité », dans le droit fil de la « la Tradition apostolique ».
 

Judas faisait exactement pareil : il était maladivement attaché à la forme, à la mise en scène (y compris une mise en scène de la sobriété) et au matériel, plus qu’au fond. Il était plus soucieux du (je cite le cardinal) « Sens du sacré » (autrement dit, de la sacralité, du cérémoniel) que du Sacré en lui-même (Jésus) : je vous renvoie à l’onction de Béthanie (Jn 12, 5). Le cardinal Sarah est, à mon sens, un nouveau Judas. Il emploie de jolies formules, qui font christiques, évangéliques et sacrificielles, mais derrière se tapit une vénération maçonnique et luciférienne de l’Altérité absolue, autrement dit de l’hétérosexualité, de l’Autre (qui est un des noms bibliques du diable) : « Aimer vraiment, c’est mourir pour l’Autre. ». Jésus n’a jamais dit ça.
 

La lumière que le cardinal Sarah défend avec une froideur et une intransigeance qui lui sont maintenant coutumières, n’est pas le Christ. C’est plutôt la luminescence du frigo. L’électricité ou l’électrochoc injonctif du pharisien ou du chef des prêtres qui harangue leur foule de soldats. La lumière aussi luciférienne, prométhéenne, puisque dans son homélie de Chartres, il est obsédé par l’idée de « porter » la Lumière à « ceux qui l’attendent » (« Toi, laïc, n’aies pas peur de porter à ce monde la Lumière du Christ ! » ; « Vos patries ont soif du Christ ! » ; « Demandons à la Vierge Marie un cœur ardent à annoncer aux Hommes la Bonne Nouvelle ! » ; etc.). Or, le vrai disciple du Christ n’a pas la prétention d’apporter la lumière aux autres pour les éclairer : il attend que ce soit les autres, et Jésus en eux, qui l’éclairent. Le sens de l’illumination et de l’Annonce est complètement inversé ! Donc je vous demande avec insistance de vous méfier du discours et des propos antéchristiques du cardinal Sarah. Je me fous d’être le seul à le dire. Ma conscience et mon amour de l’Amour-Vérité qu’est Jésus m’y obligent. L’Esprit Saint aussi !
 

La Nuit des Musées à Paris, et autres événements récents : ça y est, les démons sont lâchés

La période est propice à toutes les craintes (… mais aussi à l’Espérance puisque Jésus va bientôt se montrer à tous) tant les manifestations démoniaques, les rituels satanistes, l’occultisme, ont pignon sur rue, débarquent à la télé, et sont plébiscités par une large part de la population désormais.
 

Pour éviter les procès en exagération ou en complotisme paranoïaque, je vais prendre 6 événements récents, qui montrent l’ampleur de l’infiltration de la Franc-Maçonnerie et des démons dans nos structures politiques, culturelles, artistiques, et même ecclésiales : le mariage de Meghan et Harry, la diffusion du téléfilm en 3 parties Au-delà des murs sur ARTE, et mes visites dans 4 musées parisiens (le Musée Grévin, le Quai Branly, le Musée de la Franc-Maçonnerie, et enfin la Fondation Louis Vuitton), Je vous encourage bien sûr à compléter ce descriptif par la lecture ou l’écoute de mon livre Homo-Bobo-Apo et d’autres articles.
 

1) Le mariage de Meghan et du mari de Meghan (Harry) :


 

C’était le samedi 19 mai 2018. Meghan Markle a refusé d’obéir à son mari le prince Harry… et le monde a applaudi cet affront comme un merveilleux sacre, un beau serment.
 

 

Notre époque associe de plus en plus l’obéissance à la soumission. Et à tort. Ou alors à tort quand le mot « soumission » est lui-même connoté négativement comme une destruction ou un rapport de force dominant-dominé. La preuve : Meghan Markle refuse d’« obéir » à son mari. Elle se contente de répondre « I will », en contournant la formule requise. Et ça fait sourire tout le monde, tout en se donnant des airs de défi, de conquête, de militance féministe, de pied-de-nez aux conventions « patriarcales », de modernité et d’émancipation. Alors qu’il n’y a pas, pour une femme, de réelle liberté sans soumission, sans consentement à appartenir, sans obéissance (à Dieu, à travers notamment son mari). Avec Meghan, nous avons affaire à une sorte de Princesse Disney, rebelle, effrontée, faussement impertinente, presqu’à une louve déguisée en brebis.
 

2) Le téléfilm Au-delà des murs (2016) de Marc Herpoux :

La Bête ne se cache plus…


 

Jeudi 17 mai 2018 a été rediffusé un téléfilm du genre « fantastique », sur la chaîne ARTE. Tous les ingrédients des rituels satanistes s’y trouvaient (la maison labyrinthique habitée par « les autres », les personnages masqués et cornus, les oiseaux morts, les tatouages 666, les morts vivants, les portes rouges, le détournement de la Bible, les revenants dans les placards, les colonnes noires, la Veuve, les fillettes vierges, le Minotaure, les bougies, la tête de la Bête sur la tapisserie du mur, etc.) sans être dénoncés (évidemment !) puisque ces abysses infernales où se retrouvent les âmes des mortels avec les âmes des défunts du passé (un soldat de la Première Guerre mondiale, Julien) sont présentées comme le lieu de prédilection de l’expérience de l’Amour véritable : Julien et Lisa – femme du présent – vont connaître ensemble leur unique amour existentiel en enfer. « Je veux que tu restes ici avec moi jusqu’à la Fin des Temps » déclare à la fin de cette mini-série Sophie, la jeune sœur de Lisa, que cette dernière n’a pas été capable de sauver de la noyade narcissique mise en scène par les réalisateurs bobos d’ARTE, fascinés par la mort et la damnation. Oui : ces téléfilms sont bien des signes démoniaques inconscients de Fin des Temps.
 

 

 

 

3) Musée Grévin :


 

Je me suis rendu récemment au fameux Musée Grévin de Paris, situé sur les Grands Boulevards. À la base, c’était uniquement pour me faire estampiller avec la statue de Mimie Mathy (pour la couverture de mon prochain livre sur Joséphine Ange gardien). Eh puis finalement, ça a fini en mitraillage photographique de tous les indices de Franc-Maçonnerie et d’anticatholicisme observables dans ce musée : promotion ouverte de la magie noire, du chamanisme (avec le « Palais des Mirages », de forme circulaire, avec des mises en scène et des éclairages mettant en relief le spiritisme animiste vaudou), de la médiumnité (Nostradamus trône en bonne place), reprise des codes maçonniques traditionnels (la « Salle des Colonnes » avec le fameux pavé mosaïque, les enluminures, les dorures et les jeux lumineux partout, les loges de toutes sortes, etc.), cultes des libertaires (par exemple, Jean de la Fontaine ou Victor Hugo sont célébrés comme des grands défenseurs de la « Liberté » ; la Déclaration des Droits de l’Homme et l’abolition de l’esclavage sont placés au centre de la visite du musée), vénération non-voilée des Lumières et des Illuminati (les écriteaux placés à côté des statues de Voltaire et de Diderot nous indiquent que « c’est dans les salons littéraires du XVIIIe siècle que l’on rencontre les plus beaux noms de la pensée française. »). Et comme par hasard, qui sont les seuls à s’en prendre plein la gueule ? Les catholiques ! Le roi saint Louis n’est plus appelé « saint » et est dépeint ironiquement comme un faux humble et un ignoble monarque idéalisé par les obscurantistes chrétiens : « La légende le montre administrant la justice sous un chêne à Vincennes. Incarnant la modération, la droiture et la paix, il a l’image du souverain ‘idéal’. Économe jusqu’à la privation, il dépensa pourtant des fortunes en reliques et en vaines croisades (il succombera d’ailleurs lors du siège de Tunis). D’une piété fervente, il mena une vie d’ascète mais se montra intraitable envers les ennemis de la religion : joueurs, duellistes, prostituées… »). Jeanne d’Arc, quant à elle, perd aussi son titre de « sainte ». Il est même indiqué que c’est le méchant « évêque de Beauvais, Pierre Cauchon, qui a présidé son procès ». Des tableaux sinistres du Moyen-Âge sont représentés à Grévin (salles de tortures peu éclairées), comme si cette période n’avait été qu’obscurantisme et persécutions orchestrées par l’Église. Bien sûr, personne ne sera étonné de voir la diabolisation de l’Inquisition, présentée comme une Gestapo à la sauce médiévale : « Du XIIIe au XIVe siècle en France, l’Inquisition, institution judiciaire ecclésiastique, pourchasse les hérétiques et veut les contraindre à abjurer leur foi. Les inquisiteurs, des religieux impitoyables, ne reculent devant rien : emprisonnement, privation de nourriture, tortures… tous les moyens sont bons pour faire avouer les suspects. » Aux antipodes de ce qu’était la véritable inquisition, un tribunal créé pour que le peuple se soit pas livré à une auto-tyrannie sans loi et ait accès à une procédure légale de jugement en cas de délits. Le Musée Grévin, en gros, c’est le laboratoire alchimique des créateurs francs-maçons de Frankensteins post-modernes. J’attends avec impatience l’arrivée des chimères et les cyborgs.
 

 

 

 

 

 

4) Expo Enfers et Fantômes d’Asie au Musée du Quai Branly :


 

Pour débuter mon circuit de visites de la Nuit des Musées le 19 mai 2018 (j’en avais prévu 3 : le Quai Branly, la Franc-Maçonnerie et la Fondation Vuitton), je me suis rendu dès 18h à l’exposition sur la monstruosité et l’enfer vu par les Asiatiques. Plusieurs choses m’ont sidéré : d’abord, la totale absence de représentativité de la vision de l’enfer adoptée par les grandes religions monothéistes en Asie (or, c’est un continent qui, face à la vacuité du bouddhisme et des cultes sataniques animistes, connaît une énorme vague de conversions à l’Islam et au catholicisme, justement : le parti pris de cette expo était donc implicitement anticlérical et antichristique) ; ensuite, la totale décomplexion de ce musée à promouvoir ouvertement des pratiques diaboliques auprès du grand public (on nous explique – je cite – « Comment devenir un monstre ? », de quelle manière rentrer en lien avec les défunts et les entités démoniaques, on nous montre des amulettes, des poupées ligotées, les accessoires d’emprise démoniaque… et tout ça, sous l’excuse du « culturel », du ludique, du zen, du folklorique, du rigolo, du plaisir de se faire peur, etc.) ; enfin, l’affluence massive de visiteurs à cet événement (la queue d’attente pour rentrer n’en finissait pas). Ce succès, cet engouement pour la laideur et le mal folklorisé, cet attrait général pour les enfers et l’au-delà vidé du Christ, montrent combien nos contemporains sont complètement naïfs et paumés dans leur spiritualité, et qu’ils sont prêts à vivre des rituels satanistes et des expériences paranormales puisque la sorcellerie a désormais pignon sur rue.
 

 

 

 

 

 

 

5) Musée de la Franc-Maçonnerie au Grand Orient de France :


 

J’ai poursuivi ma Nuit des Musées avec une visite qui me tenait à cœur : le Musée de la Franc-Maçonnerie, rue Cadet à Paris. J’ai encore appris beaucoup de choses sur le mode de pensée des francs-maçons. Déjà, la visite guidée a commencé fort : notre sympathique conférencière a arrêté mon petit groupe de 30 personnes devant l’écriteau d’une phrase attribuée à Antoine de saint Exupéry : « Si tu diffères de moi, frère, loin de me léser, tu m’enrichis. », et m’a fait un plaisir immense puisqu’elle a démarré en disant clairement ce que je me tue à expliquer dans tous mes écrits, et notamment dans mon livre Homo-Bobo-Apo, sur la Franc-Maçonnerie : que la Franc-Maçonnerie repose sur l’hétérosexualité, c’est-à-dire sur un culte de l’altérité absolue, une idolâtrie pour les différences en elles-mêmes (au détriment de la différence des sexes couronnée par le mariage religieux et de la différence Créateur-créatures à savoir Jésus et l’Église Catholique). En effet, la conférencière a déclaré (et je l’ai enregistrée sur mon téléphone portable) : « C’est un peu un de nos fondamentaux en Franc-Maçonnerie : nous allons à la recherche de la Différence de l’Autre/l’autre. » CQFD. « La différence de l’autre est essentielle. » a-t-elle insisté un peu plus tard. À noter que « l’Autre », dans la Bible, est un des noms du diable. Cette passion des francs-maçons pour l’hétérosexualité, la diversité, la différence, cache donc un culte satanique.
 

Par ailleurs, plusieurs réflexions et découvertes me sont venues pendant la visite. J’ai relevé diverses réalités de la Franc-Maçonnerie : notamment la contradiction dans le discours franc-maçon entre les intentions et les actes (la conférencière nous a soutenu mordicus que l’infiltration de la Franc-Maçonnerie dans les médias et les partis politiques était un mythe complotiste – « On ne discute pas de politique en loge. »… alors que dans les couloirs du GODF étaient placardées les affiches de la prochaine « Tenue blanche » privée de la ministre Marlène Schiappa programmée le 2 juin prochain) ; le déni de la structure hiérarchique pyramidale (Pour les francs-maçons, leurs 33 grades ou degrés n’existent pas, la distinction entre maîtres/compagnons/apprentis n’est pas verticale et n’est qu’une affaire d’approches et d’« expériences différentes ») ; l’antifascisme fasciste (Les francs-maçons sont antifascistes et sont persuadés, comme l’a affirmé ma conférencière, que « les fascistes veulent casser du maçon »… sans réaliser qu’eux-mêmes sont fascistes, même dans le sens historique et intentionnel du mouvement : ils défendent les faisceaux de lumière, les processus et les marches, les confréries libertaires, à l’instar des fascismes historiques. D’ailleurs, dans un des temples que nous avons visités, j’ai même vu plein de faisceaux de licteurs, sachant que les licteurs romains étaient des Hommes dits « libres ») ; l’anticléricalisme franc-maçon, qui passe par l’auto-victimisation (les maçons soutiennent que c’est l’Église Catholique qui seule leur en veut, alors qu’eux pensent la « respecter » : notre conférencière nous a soutenu que « les francs-maçons n’étaient pas des bouffeurs de curés » et que « la seule religion qui est contre eux, c’était l’Église Catholique. Les autres religions, non. ») ; l’intérêt des francs-maçons pour les thématiques de la Nouvelle Religion énergétique mondiales (le boboïsme – une soirée « Jazz et maçonnerie » va avoir lieu prochainement – ; les pierres vivantes – « Chacun d’entre nous est une pierre brute, pour construire cette Humanité meilleure et éclairée. » nous a sorti la conférencière ; le dithéisme – « J’ai mes côtés noirs et mes côtés blancs… comme en loge… et j’essaie de m’améliorer. » a déclaré la conférencière en se référant au Pavé Mosaïque ; le culte des sens – dans un des temples que mon groupe a visité, j’ai vu dans un des frontons un triangle de verre où était inscrit le mot « les Sens » – ; le handicap – une soirée « Société civile et Handicap » consacrée justement au handicap aura bientôt lieu le 31 mai 2018 – ; l’écologie – un colloque public au CNAM sur « Transition énergétique et Humanisme » se déroulera le 9 juin prochain – ; le revenu universel – notre conférencière nous a dit qu’un groupe de travail de sa loge planchait en ce moment sur la création du « Revenu Universel Inconditionnel » – ; le féminisme – notre conférencière, à diverse reprise, n’a pas caché son militantisme féministe… ainsi que sa passion pour les chats ! – ; l’égalité hommes-femmes ; le transhumanisme, etc. Notre conférencière nous a d’ailleurs avoué qu’elle était en faveur de l’euthanasie et qu’elle faisait partie du collectif Mourir dans la dignité…) ; l’intellectualisme élitiste et la déconnexion avec le Réel chez les francs-maçons (par exemple, j’ai appris qu’au Grand Orient, qui est l’obédience la plus importante numériquement en France, et qui se targue de favoriser le brassage socio-professionnel et le non-classement des personnes sur la base de leur salaire ou de leur métier… en réalité, il y a très peu d’ouvriers, et la moyenne d’âge est de 59 ans, donc très élevée).
 

Ce qui me marque dans la Franc-Maçonnerie, c’est également la dépersonnalisation des membres des loges : ils ont beaucoup de mal à dire « je » ou à parler en leur propre nom dès qu’il s’agit d’aborder les questions intimes et collectives (sexualité, religion, politique, opinions personnelles, etc.) ; entre eux, ils ne se demandent pas quel métier ils font, ni leur nom entier, mais uniquement à quelle loge ils appartiennent. Le processus d’identification s’arrête là. Et ils font passer cette destruction ou cet effacement de l’identité pour une procédure ou un protocole associatif « égalitaire » et « fraternel ». Preuve de ce lavage de cerveau, de ce déni de la personne, de cette dépersonnalisation, en Franc-Maçonnerie : les organisateurs qui nous accueillaient et assuraient les visites de La Nuit des Musées ne portaient pas de badge nominatif. Ils étaient réduits à leur fonction : « Accueil », « Conférencier », « Sécurité » (d’ailleurs, dans le staff de surveillance, il n’y avait que des Noirs : pour un mouvement anti-colonialiste et anti-racisme comme la Franc-Maçonnerie, ça fait plutôt sourire…). Ils diront que c’est par manque de moyens, ou pour l’aspect pratique, qu’ils n’affichent pas leur nom et prénom sur leur badge… mais en réalité, ça dit plus profondément une négation de la personne au sein des obédiences maçonniques.
 

Enfin, une chose m’a frappé en visitant les locaux du Grand Orient de France : c’est la manière dont les francs-maçons arrivent à convaincre leur auditoire du bien fondé de leur œuvre/association (même s’ils prétendent « ne vouloir convaincre personne » et « ne pas faire de zèle »). Ils arrivent à rallier à leur cause en particulier les jeunes (il y avait ce soir-là beaucoup de trentenaires, de geeks, et même des familles avec des jeunes enfants), les personnes homosexuelles, (j’ai vu plusieurs « couples » gays parmi les visiteurs), et – plus surprenant – les catholiques (soixante-huitards comme tradis). Dans mon groupe, je me suis effectivement retrouvé nez à nez avec un couple (homme-femme) de paroissiens de l’église saint-Éloi à Paris, très séduit par la Franc-Maçonnerie, qui m’a reconnu, et qui m’a dit qu’il était en faveur du « mariage gay » (preuve que la porte d’entrée dans la Franc-Maçonnerie est bien l’hétérosexualité, au sens bisexuel et gay friendly du terme, et non l’initiation officielle). La moisson des âmes, dans ce genre d’événements, est donc abondante ! Les francs-maçons ne se gênent pas, et séduisent à fond !
 

 

La corniche triangulaire avec « les sens »…


 

 

 

6) Fondation Vuitton :

J’ai fini mon « marathon de musées » avec la Fondation Louis Vuitton, en plein cœur du Bois de Boulogne, car elle fermait à 1h du matin (plus tard que les autres). Il y avait une file d’attente monstrueuse, et un certain nombre de personnes homos dans le public de visiteurs, dont un « couple » tendrement enlacé et complice juste devant moi. Bref, c’était Boboland (je me serais cru à Lyon). Pour ce qui est de la visite en elle-même, pas grand-chose à en dire, si ce n’est que c’était très planant, très New Age, très Nouvelle Religion mondiale, très franc-mac : les œuvres exposées (dont certaines me faisaient penser aux parodies de la vacuité de l’art contemporain par les Inconnus) avaient pour thème « le Vivant », l’énergie, l’or, la lumière (et ses dérivés : il était question de luminescences, d’« irradiances »), l’écologie, les migrants, l’architecture, l’animisme et l’animalisme, etc. Yves Klein a par exemple signé une toile qui représente exactement la Bête de l’Apocalypse. La Fondation Louis Vuitton : un beau miroir américanisé de la Fin des Temps.
 

L’Oiseau bestial de Klein


 

Plénitude amnésique…


 

L’or dans la main


 

 

 

El despido de los 34 obispos chilenos : ¿ un resbalón del Papa Francisco ?


 

La reciente decisión del Papa Francisco de despedir a los 34 obispos chilenos me preocupa mucho. Porque parece un golpe de ira injusto de un jefe en pánico. Como cuando un profesor sin autoridad, tan desbordado por una clase, decide arbitrariamente de castigar a todos, incluso a los alumnos que no han hecho nada, en lugar de tomar sanciones más moderadas y más adaptadas al caso por caso y de arremeterse contra los verdaderos alborotadores. En el caso episcopal chileno, es probable que seamos testigos de un verdadero resbalón del Papa, de una redada punitiva excesiva y altamente ambigua.
 

De hecho, acabo de leer el artículo completo de El PAÍS donde Juan Carlos Cruz, hombre homosexual, y antigua víctima del cura pedófilo chileno Fernando Karadima, cuenta la acogida excesivamente complaciente que recibió del Papa Francisco : « En Santa Marta, El Papa nos trató como reyes en Santa Marta y a los obispos como niños. […] Con respecto a mi homosexualidad, me dijo ‘Juan Carlos, que tú seas gay no importa. Dios te hizo así y te quiere así y a mí no me importa. El Papa te quiere así, tú tienes que estar feliz con quien tú eres.’ » Si estas palabras han sido realmente pronunciadas, y si no son el resultado de una extrapolación del testigo o del periódico izquierdista EL PAÍS, estamos de mierda hasta el cuello. Os lo digo sin tapujos.
 

Ya pensaba escribir algo sobre el asunto chileno. Pero la conclusión del artículo (la justificación papal de la homosexualidad) me horroriza. La situación es mucho más grave de lo que pensaba. ¿ Cómo puede el Papa decir tales cosas ? El hecho de que una persona no haya sido escuchada, de que se haya puesto injustamente en duda su palabra, de que ella haya sido la víctima de un fallo eclesial objetivo en un momento dado, de que hubo una falta de apreciación y de juicio papal, de que ella sea homosexual, etc., no implica necesariamente después que se deba aflojar con ella ni justificar su conducta homosexual. Parece ser que el Papa Francisco esté seriamente equivocado acerca de la homosexualidad ; y su excesiva complacencia hacia las víctimas, su intransigencia hacia los culpables, no me parecen acertadas.
 

Yo sabía desde hace mucho tiempo que la presunción de pedofilia sacerdotal era la nariz postiza de la justificación de la homosexualidad (cf. el capítulo 1 de mi libro Homo-Bobo-Apo), y que un mea culpa que se alarga, se exagera o se radicaliza en rechazo despiadado de los « verdugos » para comprarse una bondad y una imagen de padre comprensivo con las « víctimas » (la característica del reino del Anticristo es que se centrará en las víctimas y se apartará del perdón hacia los verdugos) amenazaba algún día con conducir a una justificación de la pseudo « identidad homo » o incluso del « amor » homosexual. Pero tan rápido, y en tan altas instancias, no me lo esperaba.
 

Esta foto ni siquiera es un fake…


 

N.B. : He aquí la traducción de este artículo en francés.
 

N.B. 2 : A los que me tratan de mentiroso o de desinformador, el documento de los obispos chilenos demuestra que la decisión tomada fue iniciativa del Papa, y no de los propios obispos : « siguiendo sus indicaciones » ; « Siguiendo la recomendación del Santo Padre ».

Limogeage des 34 évêques chiliens : un dérapage du Pape François ?


 

La récente décision du Pape François de limoger les 34 évêques chiliens me préoccupe beaucoup. Car ça ressemble à un coup de sang injuste d’un chef paniqué. Comme lorsqu’un prof sans autorité, tellement débordé par une classe, décide arbitrairement de punir l’ensemble de la classe, même les élèves qui n’ont rien fait, plutôt que de prendre des sanctions plus mesurées et plus adaptées au cas par cas, et de s’en prendre aux réels fauteurs de trouble. Dans le cas épiscopal chilien, on vient vraisemblablement d’assister à un vrai dérapage, à une rafle punitive démesurée et très ambiguë.
 

En effet, je viens de lire en entier l’article en espagnol de EL PAÍS, où Juan-Carlos Cruz, homme homosexuel, et jadis victime du prêtre pédophile chilien Fernando Karadima, raconte l’accueil démesurément complaisant qu’il a reçu du Pape François : « À Santa Marta, le Pape nous a traités comme des rois, et les évêques comme des enfants. […] Concernant mon homosexualité, il m’a dit : ‘Juan-Carlos, le fait que tu sois gay n’importe pas. Dieu t’a fait comme ça et t’aime ainsi, et personnellement je m’en moque. Le Pape t’aime tel que tu es, tu dois être heureux tel que tu es.’ » Si ces propos ont bien été prononcés, et s’ils ne sont pas le fruit d’une extrapolation du témoin ou du journal gauchiste EL PAÍS, on est dans une merde monstre. Je vous le dis.
 

Je pensais déjà écrire quelque chose sur l’affaire du Chili. Mais la conclusion de l’article (la justification papale de l’homosexualité) m’horrifie. La situation est bien plus grave que je ne le croyais. Comment le Pape peut-il dire des choses pareilles? Ce n’est pas parce qu’une personne n’a pas été écoutée, que sa parole a été injustement remise en doute, qu’elle a été victime à un moment donné d’une faute ecclésiale, qu’il y a eu une erreur d’appréciation et de jugement papale, qu’elle est homosexuelle, etc., qu’ensuite il faut tout lui passer et justifier sa conduite homo. Le Pape François se trompe gravement sur l’homosexualité ; et sa trop grande complaisance envers les victimes, son intransigeance envers les coupables, ne me semblent pas justes.
 

Je savais depuis longtemps que la présomption de pédophilie sacerdotale était le faux nez de la justification de l’homosexualité (cf. le chapitre 1 de mon livre Homo-Bobo-Apo), et qu’un mea culpa qui s’éternise, s’exagère ou se radicalise en rejet des « bourreaux » pour se racheter une bonté et une image de père compatissant auprès des « victimes » (la caractéristique du règne de l’Antéchrist, c’est qu’il fera la part belle aux victimes et s’écartera du pardon des bourreaux) risquait tôt ou tard d’aboutir à une justification de la pseudo « identité homo » voire de « l’amour » homo. Mais aussi vite, et en aussi haute instance, je ne m’y attendais pas.
 

Je précise que cette photo n’est même pas un « fake »…


 

N.B. : Ici la traduction de cet article en espagnol.
 

N.B. 2 : Concernant l’authenticité des propos du Pape cités dans le journal espagnol, on peut la remettre en doute. Mais il faut regarder la réalité en face : le Pape n’est pour l’instant pas ajusté ni formé ni bien positionné par rapport à l’homosexualité (cf. mon article). On peut jeter le soupçon sur l’extérieur, sur les progressistes (genre le père James Martin)… mais à un moment donné, il va falloir admettre que le Pape se plante. Car l’accueil papal récent de Marin pour avoir secouru un « couple » homo, les propos papaux sur l’homosexualité qui ne constituerait pas un problème en elle-même mais uniquement quand elle se lobbyiserait, le « Qui suis-je pour juger? » sans rappel de la Vérité, tout ça, ce n’est pas James Martin ni « les autres »…
 

N.B. 3 : À ceux qui me traitent de menteur ou d’affabulateur (parce que je dis que l’initiative est papale : le pape François n’a pas fait que ratifier une décision extérieure à lui : il l’a prise et fortement conseillée), lisez le document officiel des évêques chiliens qui démontre que la décision fut prise par le Pape, et non par les évêques eux-mêmes : « en suivant ses indications » ; « en suivant les recommandation du Saint Père ».

Océane Rose-Marie devient Océan et « change de genre » : le choc

 

Je suis sous le choc en apprenant cette transition. J’ai connu Océane Rose-Marie (la fameuse « lesbienne invisible ») il y a 9-10 ans. Elle avait demandé à me rencontrer personnellement parce que ce que j’écrivais sur l’homophobie l’interpellait (elle s’est prise de plein fouet la violence du monde homosexuel, et le désamour qui y règne), et nous avions pris un pot tous les deux. Je l’avais fait venir aussi à la radio Homo Micro, avant qu’elle ne se radicalise et ne s’enfonce dans les luttes politiciennes pro-gays (« mariage gay », « Gay Games », médias homos, etc.).
 

C’est une femme de coeur, sensible, intelligente. Et je suis peiné en découvrant qu’elle a entamé une transition qu’elle dit « genrée » mais qui en réalité est sexuée, car je vois toute la souffrance (non-réglée et mal réglée) qu’il y a derrière (peines de coeur, crise identitaire, mal-être corporel, révolte, drogue, etc.). Je vois dans ses yeux une tristesse et un désarroi que je ne lui connaissais pas avant (même si ce constat me vaudra sans doute de la dérision ou un agacement, un procès en misérabilisme). Et cette découverte est terrible pour moi. Je n’aime pas voir les gens que j’apprécie souffrir et se détruire (en se persuadant faussement de se construire et d’être eux-mêmes).

 

Je ne vous demande pas, en postant cette publication, de la juger elle, ni de juger de son acte. Je voulais juste laisser jaillir mon coeur et ma peine.

 

Prochainement, dans les vidéos lourdaises à venir, il y aura une vidéo dédiée à la transidentité et à la transsexualité, justement (avec, pour base, cet article « Le raz-de-marée de la transidentité« ).

Marlène Schiappa programmée pour une tenue blanche franc-maçonne

Hier soir, au Grand Orient de France (loge franc-maçonne la plus importante numériquement du pays). Sur les panneaux d’affichage, Marlène Schiappa (la ministre de l’égalité homme-femme) programmée prochainement et sous haute surveillance pour une tenue blanche… Et après ça, ils nous jurent leurs grands maîtres qu’ils ne font pas de politique et que le Gouvernement Macron gay friendly n’est absolument pas franc-maçon ! LOL. J’ai tant de choses à vous dire que je vais m’arrêter là. Je poursuivrai dans un article plus complet sur la Nuit des Musées que j’ai passée. Tout ce que je peux vous dire, c’est que je ne me suis absolument pas planté concernant l’hétérosexualité (en tant que culte de l’altérité absolue) comme unique pilier de la Franc-Maçonnerie mondiale.
 

 

J’ai aussi eu la confirmation hier soir que cautionner le « mariage » gay en étant catholique c’est inconsciemment comme rentrer en Franc-Maçonnerie. En effet, dans mon groupe de visite (une trentaine de personnes), à la toute fin, un couple (homme-femme) de paroissiens de l’église saint-Éloi est venu me parler, en me disant : « Votre tête nous dit quelque chose… : j’ai l’impression de vous avoir déjà vu. » Une fois démasqué, j’ai dit qui j’étais. Ça m’a interloqué – positivement au départ – de voir des catholiques « pratiquants » être présents en plein coeur des locaux du GODF, car c’est rare et je pensais vraiment être le seul parmi les visiteurs. J’ai su après que ce couple de sexagénaires était en faveur du « mariage gay », et j’ai donc compris ce que j’avais déjà eu l’occasion de vérifier depuis un moment : que beaucoup de catholiques, sans s’en rendre compte, effectuent l’air de rien une incursion vers la Franc-Maçonnerie, et d’autre part, que la porte d’entrée de cette incursion (même pour des catholiques pratiquants, même pour des gens qui ne se sentent pas homos!) c’est leur croyance en l’ « amour » homo et leur confusion entre différence des sexes et « hétérosexualité ». Il n’y a pas d’autre porte. Le Seigneur a voulu que je vois concrètement, en chair et en os, des catholiques rentrer en Franc-Maçonnerie hier soir. Pas au sens encore de « cooptation » mais déjà au sens de « visitation » et d’ « adhésion de coeur, d’idée ».

L’homosexualité n’a rien à voir avec le transhumanisme !

 

Non non non. L’homosexualité n’a rien, mais absolument rien à voir avec le numérique et le transhumanisme technologique, me soutiennent la plupart des « catholiques ». C’est moi qui ferais une fixette égocentrique sur « mon » sujet, et prendrais mon cas pour une généralité… hum hum. #QuandOnEstConsOnEstCons