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Podcast audio sur l’anti-catholicisme dans les dessins animés des années 1980 en France

Voici un podcast de décryptage des dessins animés des années 1980 diffusés sur les chaînes de télé françaises (Youpi l’école est finie ! sur La Cinq, Récré à deux sur Antenne 2, Amuse trois sur FR3, Le Club Dorothée sur TF1, etc.), avec l’angle insolite du catholicisme : « L’anti-catholicisme dans les dessins animés des années 80 ».
 

 

Philippe Ariño vous démontre que cela fait au moins 40 ans que les dessins animés jeunesse nous poussent à mépriser Jésus et la religion catholique, au profit de la religion énergétique.

 

Ce podcast se découpe en 3 parties :

1 – Les dessins animés clairement anti-catholiques

2 – Les dessins animés de la Nouvelle Religion mondiale, fondés sur l’Énergie et l’Or

3 – Les rares dessins animés « cathos-friendly » voire carrément cathos.

 

Vous pouvez retrouver d’autres podcasts de décryptages de Philippe, sur Youtube, comme par exemple celui sur les goûts musicaux homosexuels, celui sur la série Manifest, celui sur la série Sex Education ou encore celui du discours alchimique du Cardinal Sarah.
 

Richard Branson au Venezuela + les conseils en « communication » de Valentina Alazraki au Synode sur les abus sexuels


 

Deux mauvaises nouvelles que quasiment personne ne percevra comme mauvaises et ne dénoncera : l’une concernant la situation tendue au Venezuela, l’autre à propos du Synode sur les abus sexuels qui se tient actuellement au Vatican.
 

Tout d’abord, la seule présence de Richard Branson (ancien patron de Virgin) au concert de charité en faveur de Juan Guaidó hier prouve la corruption des soi-disant « aides humanitaires » données à l’International au Venezuela : les grands pontes des multinationales sont en train de profiter d’un pays en faiblesse et de se partager le gâteau en imposant la Blockchain.
 

 

Enfin, j’ai écouté l’allocution de la mexicaine Valentina Alazraki au Synode sur les abus sexuels, spécialiste en « communication », qui a donné comme principal conseil de com’ aux cardinaux et au Pape François de ne surtout parler que des victimes et des enfants dans le cadre des affaires pédophiles… ce qui est la dernière chose à faire. La force de l’Église, c’est l’amour des ennemis, et c’est de voir l’évolution de certaines victimes en bourreaux. Seuls les Antéchrists focalisent sur les victimes. Les conseils de Valentina Alazraki me font exactement penser à la dramatique interdiction de parler d’homosexualité dans le cadre de la lutte contre le « mariage gay » (alors que c’eût été la solution), interdiction formulée par certains évêques que j’avais entendus lors de colloques d’organisation des Manifs Pour Tous en Italie il y a 5 ans. Ces recommandations « stratégiques », loin de résoudre le problème, l’accentuent, même si elles ressemblent à de la prudence et de la sagesse habillée en technicité d’urgence. C’est terrible. La seule sortie de crise des affaires de pédophilie au Vatican n’est pas la focalisation (pédophile) sur les enfants ni l’affichage théâtral d’une affliction repentante identificatoire aux victimes, mais le pardon des bourreaux ainsi que le traitement de l’homosexualité (réelle revendication des attaquants de l’Église sur la pédophilie. La pédophilie n’est qu’un prétexte).
 

 
 

Publicité de PayLib annonçant la Marque de la Bête décrite dans l’Apocalypse de saint Jean


 

Cette publicité de PayLib – sur le paiement par smartphone et sans contact – illustre à elle seule que la Marque de la Bête (décrite dans l’Apocalypse de saint Jean) est bien réelle et imminente : c’est un scanner sur la main droite et sur le front. Et regardez bien jusqu’au bout le protagoniste se livrant à la Blockchain (sorte de Cloud cosmique extraterrestre) : c’est bien la Bête humanisée, avec sa queue de lézard. On y est, les amis. C’est bientôt la Fin du Monde.
 

Même pendant les vacances d’été, le Gouvernement Mondial envoie vos enfants à la mine!


 

Même pendant les vacances d’été, le Gouvernement Mondial pense à vos enfants. Il les envoie à la mine ! Il y a dix jours, Anne Hidalgo assurait face aux starts-upers de la Station F qu’elle ferait de l’apprentissage de l’encodage informatique dans les écoles une priorité nationale à l’Éducation Nazionale. Et là, ce matin, la radio Europe 1 promotionne elle aussi la Franc-Maçonnerie (cf. la partie du chapitre II de mon prochain livre consacrée aux pierres précieuses) en parlant d’une application Apple « ludique » – Swift Playground – apprenant aux enfants à programmer/encoder comme les mineurs de Blockchain, en leur donnant l’illusion qu’ils créent leur propre site internet et leurs propres algorithmes : le jeu met en scène un personnage, Octet, à la recherche d’une pierre précieuse ; la pierre précieuse, en Franc-Maçonnerie (j’explique pour les néophytes), c’est la carotte qui prend la place du cœur. Sympa.
 

N’achetez plus et ne vendez plus, la Bête (Blockchain) s’en charge pour vous


 

Des publicités du bitcoin Ethereum nous engagent actuellement à rentrer dans la Blockchain (à travers l’appli eToro) et à y devenir trader pour que, par sécurité et bénéfice matériels, nous n’ayons plus à nous soucier de ce que nous allons acheter ou vendre. Quand je vous disais que la Blockchain était la « Marque de la Bête » dont nous parle l’Apocalypse de saint Jean, sans laquelle nous ne pourrons – si nous nous y soumettons – « plus rien acheter ni vendre » car elle se chargera de tout cela à notre place…
 

« À tous, petits et grands, riches et pauvres, hommes libres et esclaves, l’image de la Bête fait mettre une marque sur la main droite ou sur le front, afin que personne ne puisse acheter ou vendre, s’il ne porte cette marque-là. » (Ap 13, 16-17)

Bienvenue en Franc-Macronnerie !

 

Très intéressante, cette soirée d’inauguration de l’université de starts-up Station F » animée par Macron :

 

La mairesse de Paris, Anne Hidalgo, a insisté sur « l’optimisme et l’espoir » (les deux mots d’ordre du boboïsme) et veut faire de l’« apprentissage du code » aux élèves la priorité future de l’Éducation Nazionale.
 

L’encodage, c’est vraiment le travail d’écriture. D’écriture numérique. Dans le discours des transhumanistes, il s’agit pour chacun d’entre nous de graver ad vitam aeternam sa signature ou son nom codé sur le registre qu’est la Blockchain. Or, qui écrit sur le marbre ou sur les Tables de la Loi, sinon Dieu et ses prophètes ? Les francs-maçons technologistes mettent beaucoup l’accent sur l’écriture (le fait d’écrire). Ils emploient très souvent les expressions « écrire sa vie », « graver sa propre empreinte », « inscrire son nom dans l’Histoire », « se tatouer », « faire des hiéroglyphes », « calligraphier », etc. D’ailleurs, beaucoup de Doodle Google représentent un scribe muni d’un crayon ou d’un graveur.
 

Doodle Google du 30 juin 2017 : quand on parle du loup !


 

Pendant la soirée, les deux lexiques de la Franc-Maçonnerie, à savoir l’architecture et la lumière, étaient présents : « Comment ne pas remercier l’Architecte qui fait cet événement ? Jean-Michel Wilmotte. » (Roxanne Varza)

 

Quant à Macron, il ne parle pas de Dieu mais d’un « esprit » : « Ce qui nous rassemble, c’est cet Esprit entreprenarial. »

 

Bienvenue en Franc-Macronnerie !

Méthode Serpent d’Airain


 

J’ai décidé, concernant les Fins dernières, d’adopter la méthode « serpent d’Airain » de Moïse. Montrer le mal qui s’enroule dans l’Église, montrer la Bête dans l’Église, et faire qu’à sa vue, le maximum de gens soient guéris. Il nous faut regarder la Bête (et ses noms d’emprunt : « hétérosexualité », « Franc-Maçonnerie », « Boboïsme », « Antéchrist », « Blockchain », « homosexualité ») en face ! Et il nous faut arrêter les mots qui ne nomment pas le mal (« Gender », « transhumanisme », « GPA », « Cyborg », « homme augmenté », « Espérance », « vulnérabilité », « limites », etc.) et qui sont de l’esbroufe catholique inopérante.

Le rouage satanique derrière les attentats (rouage mis en place par ceux qui les déplorent) : le cas de Manchester


 

Toute action du Mauvais offre et possède, à la base, une lecture et une explication surnaturelles qui lui sont concomitantes. Par exemple, l’interruption du concert des Eagles of Death Metal au Bataclan par les 4 djihadistes pile sur la chanson « Kiss the Devil » (Embrasse le diable). Ou encore, hier soir, l’attentat de Manchester à l’issue du concert « Dangerous Woman » d’Ariana Grande. Le diable signe ses forfaits avec les humains qui lui obéissent parfois (et loin de moi l’idée de dire que la chanteuse en question est un suppôt de Satan, ni qu’elle aurait contribué/mérité ce qui s’est passé). Le monde, rejetant Dieu et l’existence des forces du mal, prend à tort cette lecture surnaturelle pour une justification des faits, un déni des événements, un terrible affront, un ignoble refus d’empathie, une culpabilisation des victimes. Alors qu’une fois comprise et accueillie, elle apporterait la vraie paix et une réponse à ce qui, sans elle, reste une « absurdité », une « folie terroriste » ou une « barbarie », et provoque le même défilé (bien humain) d’indignations. Nous vivons, plus qu’une guerre humaine, un conflit spirituel et surnaturel. Que nous y croyions ou non.
 

Peu de personnalités et de gens semblent prêts à tirer les bonnes conclusions (la conversion en profondeur de notre mode de vie, de consommation, la conversion au Christ) d’un tel drame pointe. Au contraire : la plupart de nos contemporains se drapent dans l’irrationnel, l’émotionnel et la victimisation, pour s’excuser de ne pas changer : « C’est une fois de plus notre mode de vie, notre culture qui ont été attaqués. » déclare par exemple notre Ministre de l’Intérieur Gérard Collomb (Ariana Grande, c’est notre « culture »… ?? Ok… Alors nous avons du souci à nous faire !) Certains vont user de termes spirituels mais de manière très manichéenne, et sans spiritualiser pour autant le combat. Par exemple, le Daily Mail titre sa Une « Le Massacre des Innocents », en lien avec le massacre des saints Innocents de la Bible ainsi qu’en hommage à la jeunesse clairement visée par l’attentat (entre parenthèses, est-ce « innocent » de s’identifier à Ariana Grande ? Ou d’amener son enfant à son concert ?). Autre exemple : le Premier Ministre britannique Theresa May réunit son plan Cobra, sorte de cellule sécuritaire de crise, pour faire face à la logistique préventive de l’événement. La lecture analytique spirituelle est en revanche absente, voire interdite. Le silence s’imposerait, dans ces cas-là.
 

Le seul qui, semble-t-il, adopte la grille de lecture adéquate est le maire de Manchester, Andy Burnham, puisqu’il a immédiatement qualifié l’attentat d’« acte diabolique ». Par ailleurs, au-delà de la responsabilité directe qu’on doit moralement attribuée au kamikaze (et à ses intentions sataniques), il n’est absolument pas faux, sans tomber dans les excès du complotisme, de voir une « stratégie » et une « manipulation » derrière cet homicide. En effet, il y a fort à parier que ceux qui tiennent les ficelles de ce meurtre de masse perpétré par un djihadiste, ce sont les starts-up du Gouvernement Mondial qui entendent imposer, sous le prétexte de la sécurité et de la lutte contre le terrorisme, leur maillage de surveillance technologique à l’ensemble de la planète. Quand j’entends par exemple la réaction du député LR Claude Goasguen, cela ne fait aucun doute : « Il faut aller plus loin. Il faut améliorer la technologie. » Les attentats sont les pivots et les sordides alibis du totalitarisme technologiste de la Blockchain planifié par l’Antéchrist.