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Jonathan Cohen, le génie fatigué

Je ne sais pas si, comme moi, vous voyez défiler sur votre fil d’actualité des teasers de la nouvelle série « La Flamme » parodiant The Bachelor ou Mariés au premier regard (parodie qui a l’air bien drôle, au passage). Mais regardez l’acteur Jonathan Cohen, comment il s’exprime au « naturel » : bobo à souhait, accent de charretier parisien mais anglosaxonisé, désinvolture travaillée, ton d’intellectuel fatigué, « adorant » ou « détestant » tout (comme le bourgeois, en fait), prenant visiblement des drogues, ayant l’air blasé et méprisant dès qu’il va se risquer à l’expression d’un enthousiasme (il regarde peu dans les yeux), le mec imbus de sa personne, qui se prend pour le roi de la Terre, et qui se la joue « outsider » ou pourfendeur dégoûté du système médiatique qui l’a érigé en « star » (un peu finalement comme tous les Yann Barthès fabriqués par Canal +) : franchement à gerber, ce personnage qu’il joue sincèrement. Il me fait d’ailleurs penser à des attitudes de certains membres boboïsés de mon propre entourage qui se croient plus intelligents que les autres. Au secours! C’est quand même effrayant. #MondeDePlusEnPlusToxiqueDeLaTélé #LaBêteEstLà #Bobos #LaFlamme
 

 

Alexandre Astier : Prophète ! (… de la Bête « Curiosité »)


 

Bienvenue à la Fête du Boboïsme qu’est le con-finement ! Les bobos (c.f. mes livres Les Bobos en Vérité et Homo-Bobo-Apo) – y compris catholiques – se cherchent en ces temps de panique et d’incertitude des Hommes providentiels auxquels se raccrocher (comme les morpions aux poils de la Bête). En ce moment en France, il y a bien sûr le Dr Didier Raoult (proposant une solution humaine) qui récolte un fort succès auprès des sphères bobos « alternatives ». Mais il y a aussi le Maître des bobos français, l’humoriste de Kaamelott (la série de Canal + qui ne m’a jamais fait rire) Alexandre Astier, au discours souvent « laconique », désabusé, aigri, cynique, condescendant, pince-sans-rire et résigné. Astier est le chouchou des bobos gauchistes (les droitards privilégient plutôt Jean Dujardin, Gaspard Proust, Pierre Desproges, Éric Zemmour, Fabrice Luchini). Il est considéré par les bobos comme un génie, comme un sage en même temps qu’un justicier et un sauveur. Une amie a posté cette vidéo de lui où il « philosophe ». Attention…
 
https://www.facebook.com/Huzy.J/videos/10222259765827206/
 

Vous pouvez retrouver le même extrait, en meilleure qualité, de 31’56 à 36’30 :
 

 

Et puis comme Astier a parlé de virus et de bactéries soi-disant « avant l’heure », c’est en plus un grand visionnaire ! Un grand prophète !
 

Personnellement, j’aimerais m’appesantir sur ce court extrait d’interview pour vous montrer combien les célébrités qui en ce moment dénoncent la Bête – mais sans l’Espérance catholique qui seule permettrait de la terrasser – la suivent et la soutiennent sans s’en rendre compte. Car vraiment, dans le discours d’Alexandre Astier, c’est un festival.
 

– La Bête de l’Apocalypse, comme je le signale ici, se caractérise entre autres par un Humanisme intégral qui se dégoûte lui-même à force d’avoir tout misé sur l’Homme et sur ses « droits ». La misanthropie humaniste transpire dans tous les mots de l’humoriste-philosophe. Il fait preuve de misanthropie (haine de l’Homme) sous prétexte de défendre la Nature et de lutter contre l’anthropocentrisme. En d’autres termes, Astier remet en question la primauté et la sacralité de Humains (en Jésus) sur les autres espèces du vivant.
 

– Astier insiste énormément sur le concept de curiosité : « On a des trucs très curieux » ; « Au-delà du level, y’a quand même la curiosité. Mais est-ce qu’on tombe sur des curieux ? » ; « On a des trucs très curieux. » ; « Je ne suis pas persuadé que la curiosité soit la première intelligence. » ; « On va exploser dans un torrent de curiosité. » ; « La curiosité est-ce que ce serait pas un symptôme ? » ; etc. J’avais déjà repéré depuis un certain temps que la Bête dans nos médias s’insérait dans nos coeurs et nos têtes par ce mot-là (par exemple lors du dernier concours de Miss France 2020 – des candidates se définissaient de manière très queerisante comme « curieuses » – ou dans des téléfilms tels que « La Bête curieuse » ; La curiosité est à Astier ce que la singularité est à Ray Kurzweil : un synonyme de la Bête). Mais là, c’est flagrant : « Si jamais nous on est curieux, est-ce du point de vue d’un tiers ce ne serait pas juste une maladie ? » Il est en train de décrire la Bête (le propre de la Bête c’est bien qu’elle est curieuse et pleine de curiosité, non ?) comme un élément étranger, monstrueux, qui s’additionne à notre Humanité sacrée au point de la contaminer/de fusionner avec elle, comme une excroissance cancéreuse logique et bien méritée venant illustrer/punir notre orgueil/consumérisme humain.
 

– Astier, dans cet extrait, traîne en procès l’intelligence humaine, sous prétexte de dénoncer les abus du gnosticisme ou de l’intellectualisme : « On a cette espèce de cerveau énorme. Et si tout ça était un défaut… » ; « Je ne suis même pas sûr que d’un point de vue planétaire l’intelligence soit une bonne chose en fait. » Plus que ça : il traîne en procès l’Humain : « On est le cancer, on est le virus de la Planète sur laquelle on est. »
 

– Il se met, comme tout vrai bobo (et finalement aussi comme cet « Autre » qu’est Lucifer : une Bête-outsider chimérique mi-homme mi-extraterrestre : « Je pense qu’un extraterrestre il se demanderait même qu’est-ce que les Humains foutent… »), à la place du spectateur ex-nihilo contemplatif, navré de la supposée « bêtise humaine » dont il s’extrait, et qui vient dire, en séparant les 2 camps d’« abrutis humains » qui s’étripent et qui n’ont pas son intelligence : « Eh les gars, c’est pas un peu fini c’te guéguerre absurde de celui qui a la plus longue ?? Et si on gagnait tous en humilité, et nous arrêtions de nous prendre pour les centres du Monde, et revenions à la Nature, à l’innocence des bêtes, à l’état sauvage… mais finalement bien moins sauvage et bien plus civilisé que notre humanité ? »
 

– Astier développe une vision très mécaniste (et donc franc-maçonne) de l’Humanité (mécanisme souvent retraduit dans le jargon des initiés par la notion de « Destin » et de « Sens de l’Histoire » : la quenouille, la rouerie de la montre ou du métier à tisser, la construction architecturale, l’alchimie, l’écriture d’un livre, etc. Ce n’est pas Macron, notre « Maître des Horloges » national, qui me désavouera là-dessus !) : « L’Histoire de cette Planète, c’est une horloge de 12 heures. » Ça me rappelle, dans l’idée, ce documentaire ultra bobo (et désenchanté) diffusé sur ARTE qui montre l’Humanité comme un soi-disant « accident », une poussière d’étoile et une insignifiance (limite une « erreur » !) dans l’Histoire du Monde. Or c’est faux, puisque Dieu a décidé d’habiter tout Homme (en Jésus) et non un arbre ou un animal ou le Cosmos, et c’est une volonté d’Amour ; pas un accident ni une erreur.
 

 

– La cosmovision d’Alexandre Astier obéit à l’héliocentrisme cosmique (culte solaire et du Cosmos) : l’acteur est d’ailleurs filmé dans la Salle Picard de l’Observatoire de Paris, entouré d’astrolabes, de mappemonde et de téléscopes. Ce n’est pas non plus un hasard qu’il porte une casquette avec « EXO » : l’exobiologie est une des « sciences » préférées des adeptes de la Nouvelle Religion mondiale. Ces derniers ne croient pas/plus que Dieu se soit fait homme en Jésus, mais au contraire qu’il existe d’autres formes de vie et de divinités dans le Cosmos. Ça, je l’ai entendu de mes propres oreilles dans des conférences menées par d’éminents exobiologistes !).
 

– Astier termine son discours homicide (donc anti-Humain) en nous ressortant tous les poncifs de la Nouvelle Gouvernance mondiale (l’unité – « On n’a pas d’Unité de l’espèce. » -, la boîte à outils maçonnique – « On ne va pas vivre très longtemps : on n’a plus les outils pour faire ça. ») et en signant la chronique d’une mort annoncée de l’Humanité en soutenant ensuite, par un lavage de mains pilatien au gel hydroalcoolique – qu’il ne fait que rester factuel car c’est l’Humanité toute seule qui s’est tirée une balle dans le pied : « On ne va pas vivre très longtemps ». Et l’Éternité humaine promise par Jésus, c’est quoi ?
 

– Bien évidemment, on s’en serait douté, après avoir flingué l’Humain et son intelligence au profit d’un culte naturaliste où la Bête est reine et « teeellement plus humaine, paradoxalement, que les Hommes », Astier conclut son prophétisme cartésien de malheur en jetant l’opprobre et la faute sur « les religions ». Ben voui… le bouc-émissaire pratique d’un Monde athée – ou plus déiste mais antithéiste – qui justement perd la boule parce qu’il ne croit plus en Dieu, et qui attribue ses conneries aux institutions religieuses qui lui auraient permis de ne pas les faire. « Le problème, c’est les religions. C’est de la barbarie complète. »
 
 
 

Je vais donc, chers amis, vous mettre sérieusement en garde contre cette inversion récurrente et antispéciste Hommes/animaux qu’on entend désormais chez énormément de faux prophètes d’aujourd’hui, acclamés pourtant par la foule (y compris catholique), et vous demande de vous tenir en alerte sur le langage de la Bête décrite par l’Apocalypse. Formez-vous, lisez le chapitre II de mon livre Homo-Bobo-Apo. Sinon, la Bête va vous bouffer tout crus, et en plus, avec votre inconscient consentement ! Alors au travail !
 

Podcast audio sur l’anti-catholicisme dans les dessins animés des années 1980 en France

Voici un podcast de décryptage des dessins animés des années 1980 diffusés sur les chaînes de télé françaises (Youpi l’école est finie ! sur La Cinq, Récré à deux sur Antenne 2, Amuse trois sur FR3, Le Club Dorothée sur TF1, etc.), avec l’angle insolite du catholicisme : « L’anti-catholicisme dans les dessins animés des années 80 ».
 

 

Philippe Ariño vous démontre que cela fait au moins 40 ans que les dessins animés jeunesse nous poussent à mépriser Jésus et la religion catholique, au profit de la religion énergétique.

 

Ce podcast se découpe en 3 parties :

1 – Les dessins animés clairement anti-catholiques

2 – Les dessins animés de la Nouvelle Religion mondiale, fondés sur l’Énergie et l’Or

3 – Les rares dessins animés « cathos-friendly » voire carrément cathos.

 

Vous pouvez retrouver d’autres podcasts de décryptages de Philippe, sur Youtube, comme par exemple celui sur les goûts musicaux homosexuels, celui sur la série Manifest, celui sur la série Sex Education ou encore celui du discours alchimique du Cardinal Sarah.
 

Train maya


 

Sur ce logo, vous retrouvez exactement les 5 éléments formant la Nouvelle Religion mondiale : la Bête technologique arrivant au nom de la solidarité pour tous, de l’écologie, et de l’héliocentrisme (culte solaire) inca. C’est la thèse que je développe pour Joséphine ange gardien, également concernée par les Incas. Ça a l’air fou, mais c’est la vérité.
 

10e entretien-vidéo avec Nathalie Cardon (avril 2018) : « Hétérosexualité : la Bête de l’Apocalypse »

Nouvelle interview « Hétérosexualité : la Bête de l’Apocalypse », réalisée avec la journaliste Nathalie Cardon, et qui est capitale pour comprendre la dangerosité du terme « Hétérosexualité », mais aussi pour ne pas fuir l’explication de ce dernier, car elle nous permet de rentrer pleinement dans la Fin des Temps et avec confiance :
 

 

Nous sommes allés au CŒUR du problème mondial (l’idolâtrie actuelle pour la Différence). Pluie de grâces pour ceux qui la diffuseront et oseront la partager sur les réseaux ! Vous pouvez retrouver la version écrite de cette vidéo.
 

En compléments de cette vidéo, voici aussi un lien vers mon livre Homo-Bobo-Apo entièrement consacré à la Nouvelle Religion mondiale. Vous pouvez également retrouver toutes les autres vidéos tournées avec Nathalie Cardon : vidéo 1 sur Macron aux Bernardins, vidéo 2 sur La Manif Pour Tous, vidéo 3 sur la transidentité, vidéo 4 sur la bisexualité, vidéo 5 sur Demain Nous Appartient, vidéo 6 sur les établissements scolaires, vidéo 7 sur les groupes pastoraux d’accompagnement, vidéo 8 sur Mylène Farmer et la Bête, la vidéo 9 sur le Synode des jeunes, la vidéo 10 sur la Bête Hétérosexualité, la vidéo 11 sur la Bataille d’Armageddon, la vidéo 12 sur l’émission The Voice, la vidéo 13 sur la Réacosphère (1ère partie ; 2e partie) ; la vidéo 14 sur l’homosexualité priorité niée; et la vidéo 15 sur la Honte.

La publicité Whirlpool reprend exactement les 4 critères de la Bête de l’Apocalypse


 

Vous vous souvenez de ce que je vous ai dit sur la Bête de l’Apocalypse ? Elle est 4 choses :

– elle est l’hétérosexualité (culte de la Différence)

– elle a une marque (la puce électro luciférienne, le 666 sur la main et le front, le W, la Blockchain)

– elle est l’humanisme intégral (un pacifisme sans le Christ, tourné vers l’amélioration et la perfection)

– elle est centrée sur la passion (pas la Passion du Christ, mais les goûts et la volonté individuelle)
 

Ça se vérifie complètement dans la publicité de Whirlpool.
 


 

Ça marche aussi avec Honda :
 

Publicité de PayLib annonçant la Marque de la Bête décrite dans l’Apocalypse de saint Jean


 

Cette publicité de PayLib – sur le paiement par smartphone et sans contact – illustre à elle seule que la Marque de la Bête (décrite dans l’Apocalypse de saint Jean) est bien réelle et imminente : c’est un scanner sur la main droite et sur le front. Et regardez bien jusqu’au bout le protagoniste se livrant à la Blockchain (sorte de Cloud cosmique extraterrestre) : c’est bien la Bête humanisée, avec sa queue de lézard. On y est, les amis. C’est bientôt la Fin du Monde.
 

Les chantres actuels de l’ADN et du « Tout génétique »

L’idée que nous serions notre ADN, nos propres tables de la Loi, une programmation naturelle, un processus intouchable et inéluctable avec sa cohérence propre (parce qu’hérité y compris comme un don de Dieu), revient de plus en plus souvent dans les discours de notre monde d’aujourd’hui (je l’ai même entendu récemment dans des sphères catholiques – c’est pour vous dire ! – quand des personnalités carriéristes qui veulent tout régenter ne souffrent pas la moindre contradiction : « C’est dans l’ADN de notre association. » = traduction « Pas touche ! » ou « Ta gueule »). Écoutez par exemple les publicités de CISCOQu’est-ce qui nous rend humains ? Avancer ensemble. C’est dans notre ADN. »), ou encore de la voiture électrique Audi e-tronEn y injectant l’ADN Audi »). Un robot ou une voiture aurait des « gènes », serait une personnalité hybride mi-humaine mi bestiale : voyez-vous cela !
 

Ces chantres du « Tout génétique » sont en réalité des ennemis de l’Esprit Saint, des adeptes de la Bête technologique, même si par ailleurs ils peuvent tenir un discours très spirite, christique ou holistique. Ils veulent surtout imposer leur volonté à tous sous couvert de « réalité », d’« instinct/intuition/inspiration » ou de « respect de la nature des choses ». C’est assez terrible, cet orgueil s’habillant de pragmatisme, d’humanisme, de spiritualisme.
 


Le portable-ange-gardien ainsi que la foi aux fils et aux rubans


 

L’Esprit Saint a beaucoup d’humour. Je suis, depuis quelques jours, en train de bosser sur la place du téléphone portable dans la série Joséphine ange-gardien, et tente même de démontrer que Joséphine EST le portable, et pas seulement son ambassadrice. Associer le téléphone portable à un ange-gardien, ça peut paraître complètement con. Et pourtant, hier, j’ai eu une confirmation de cela en regardant le film « Non-stop » (2014) de Jaume Collet-Serra, diffusé sur TF1. En effet, l’assassin de l’avion, qui exécute un à un les passagers toutes les vingt minutes, use de son portable comme si ses textos avaient le pouvoir de tuer. Il est incarné par Zack White, un programmeur de smartphones, se rendant invisible pour réaliser ses forfaits, avec l’aide d’un complice. Bill Marks, le flic à bord, chargé de l’enquête, reçoit les avertissements-notifications des crimes par anticipation, sur son propre téléphone. Et quand il demande au hacker anonyme qui il est, celui-ci lui répond ironiquement par SMS « Je suis votre ange-gardien. » CQFD. Nouvelle confirmation – en parallèle de Joséphine – que le portable-ange-gardien est l’autre nom du diable.
 

 

Par ailleurs, concernant cette fois la Marque de la Bête (de l’Apocalypse), en lien – c’est le cas de le dire – avec mon chapitre sur la lumière-textile et sur le bracelet électronique (dont j’ai beaucoup parlés dans Homo-Bobo-Apo), il est étonnant de voir que, chez les francs-maçons de la Nouvelle Religion mondiale, le bracelet, la montre ou le fil de tissu, portés au poignet, est humanisé et divinisé. Toujours dans le film « Non-stop », Bill Marks (Marx ?), le héros, porte, sous forme de porte-bonheur qui conjurerait ses peurs (notamment sa phobie de l’avion et des décollages), un ruban lui entourant la main, et appartenant initialement à sa fille, comme une attache inter-générationnelle. Et pour délivrer Becca, une fillette de l’avion sur qui Bill transpose sa propre relation avec sa fille, de ses angoisses, il lui donne son fil bleu en le lui présentant comme « un ruban magique avec de grands pouvoirs », et en lui demandant de « croire en lui » (il parle du ruban). La Foi aux fils et aux rubans, vous ne connaissiez pas ?